(Minghui.org)
J’ai 63 ans et j’ai obtenu la Loi en 1996. Je suis allé à Beijing, faire appel pour Dafa et j’ai été illégalement condamné à un an de travaux forcés. Je me suis perdu sur mon chemin à cause de l’attachement d’affectionner ma famille. Cependant, j’ai gardé un esprit indifférent lorsque j’ai eu à faire face à l’interférence perverse qui a suivi et en conséquence les membres de ma famille ont changé d’attitude envers Dafa
Aider les gens à comprendre ce qu’est vraiment le Falun Gong en pratiquant les exercices et en étudiant la Loi dans des endroits publics.
En 1999, le régime du PCC a lancé la campagne pour éradiquer le Falun Gong et beaucoup de gens ont eu peur. J’ai pensé à comment faire mieux pour clarifier la vérité au public. Maître a dit dans « Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de Boston en 2002 » :
« Clarifier la vérité et sauver les êtres, les forces anciennes n'osent pas s’y opposer, l’important est que l'état d'esprit au moment de faire des choses ne leur permette pas de pénétrer par une faille. »
J’ai reconnu que faire les exercices et étudier la Loi en public est une manière d’aider les gens à comprendre les faits sur le Falun Gong. Je suis allé dans certains endroits publics, en particulier les parcs de la ville, faire les exercices et lire la Loi, à voix haute. Certains passants se sont arrêtés pour me demander ce que je faisais et je profitais alors de l’opportunité pour leur clarifier la vérité. Certain d’entre eux étaient des policiers en civil mais ils ne m’ont causé aucun problème.
Fin 2004, après qu’un pratiquant local ait été arrêté, un policier m’a suivi. Il a pris des photos de moi et a appelé trois policiers en renfort. Après un certain temps, une foule s’est amassée autour de nous. Je n’ai pas eu peur de la police et j’ai traité la situation comme étant une bonne opportunité pour clarifier la vérité. Plus tard, la police est partie sans m’arrêter, puisque la foule me soutenait.
Distribuer les dépliants Falun Gong ouvertement dans des zones rurales.
Dans le but d’aider à couvrir certaines zones où il y avait peu de pratiquants pour y clarifier la vérité, j’ai décidé de distribuer des dépliants et/ou vdc, etc informatifs dans des zones rurales. Comme il y avait de plus en plus de criminalité, j’ai pensé que cela provoquera plus de suspicion et d’attention si j’essayais de le faire de nuit. Au lieu de ça, j’ai décidé de sortir pendant le jour et de distribuer mes matériaux en faisant du porte à porte. Quelquefois, je clarifiais la vérité aux gens que je rencontrais. Certains étaient très contents d’accepter mes matériaux mais il y avait parfois des interférences. Un jour, un garçon a ordonné à son chien de m’attaquer. J’ai dit au chien dans mon cœur : « Tous les êtres sont venus sur terre pour la Loi, ne fait donc pas de mal. » Le chien s’est effectivement arrêté juste devant moi.
J’ai visité de nombreuses écoles dans des zones rurales. Le résultat, c’est que beaucoup de professeurs et d’étudiants ont compris la vérité et certains d’entre eux ont même démissionné du PCC et de ses organisations affiliées. Je suis allé à huit communes en trois mois et j’ai distribué à peu près 9,000 dépliants. Avec l’attention bienveillante de Maître et les pensées droites de mes compagnons de pratique, je suis rentré chez moi sans danger chaque fois.
Croire en Maître et dans la Loi, nier la persécution
En 2005, le bureau 610 local a arrêté un pratiquant de Dafa dans chaque district, moi inclus. Ils nous ont emmenés au centre de lavage du cerveau, où nous avons fait une grève de la faim pour protester contre la persécution illégale. Nous avons envoyé des pensées droites pour supprimer la perversité. Je n’ai pas coopéré avec la police et j’ai insisté pour pratiquer les exercices, réciter la Loi et clarifier la vérité. Le chef de la police savait qu’ils ne pourraient pas me forcer, à me retourner contre Dafa, ils m’ont donc envoyée au tristement célèbre centre de lavage du cerveau de Sanshui. Sur le chemin, j’ai clarifié la vérité au personnel qui m’y escortait. Deux heures plus tard, j’ai été relâché. Un des membres du personnel là m’a dit : « Nous devons vous libérer. Je ne veux pas être responsable de vous faire ça. »
En 2007, on m’a dénoncé à la police lorsque j’ai clarifié la vérité près d’un bâtiment gouvernemental et un centre commercial. J’ai été emmené au poste de police, avec la main droite menottée. Je me suis assis sur une chaise et j’ai envoyé des pensées droites avec ma main gauche. Puis je leur ai expliqué les faits en ce qui concerne le Falun Gong et certains policiers ont dit que mes mots étaient sensés. A 21 h, j’ai été transféré au centre de détention, où j’ai pratiqué les exercices jusqu’à trois heures du matin et envoyé des pensées droites toute les heures pendant la journée. J’ai aussi écrit les poèmes de Maître de Hongyin sur les tableaux pendant la nuit. Certains détenus m’ont suivi et ont aussi fait les exercices, et certains ont récité les mots : « Falun Dafa est bon.» Certains voulaient même devenir pratiquants. Pendant l’interrogatoire de la police, je leur ai clarifié la vérité et certains d’entre eux ont changé d’attitude envers Dafa. Plus tard, j’ai été envoyé au camp de travaux forcés de Sanshui avec une peine de deux ans et demi. Cependant, je suis resté dans le camp pendant seulement une nuit, et après ça, j’ai été de nouveau ramené au centre de détention. Avec l’aide des pensées droites de mes compagnons de pratique, j’ai été relâché après trois mois et quatre jours.
En me rappelant mon chemin de cultivation, je sais que j’ai encore beaucoup de déficiences, mais j’intensifierai mon étude de la Loi et je travaillerai bien avec mes compagnons de pratique pour aider à sauver plus d’êtres.
Traduit de l’anglais en Angleterre le 5 février 2008