(Minghui.org)

1ère partie : http://clearwisdom.net/emh/articles/2008/3/12/95266.html

2ème partie : http://clearwisdom.net/emh/articles/2008/3/14/95330.html

3ème partie : http://clearwisdom.net/emh/articles/2008/3/16/95408.html

4ème partie : http://clearwisdom.net/emh/articles/2008/3/18/95451.html

5.- S’échapper des camps de travaux forcés dans une autre dimension

Les camps de travaux forcés que j’ai vus dans les autres dimensions ressemblent à ceux de cette dimension. La seule différence est que les camps là-bas contiennent encore plus d’êtres pervers et couvrent des régions plus grandes que ceux d’ici.

Le camp là-bas avait en son centre un grand étang rempli de sang. Autour de l’étang, il y avait des démons en uniformes de gardiens. De nombreux monstres surveillaient. Ils surveillaient l’étang de sang très étroitement. Les pratiquants de Dafa étaient à l’intérieur de la piscine, couverts de sang. Chaque pratiquant était recroquevillé, dormaient à l’intérieur d’un œuf, comme des bébés qui ne sont pas nés. Les bébés tirent leurs nutriments de leur mère, alors que les pratiquants à l’intérieur des œufs saignaient, perdaient leur sang. Les démons et les monstres suçaient le sang comme une source d’énergie.

Si un pratiquant dans notre dimension à la surface se réveillait et que ses pensées droites émergeaient, alors l’œuf dans l’autre dimension se brisait et le pratiquant à l’intérieur se réveillait. J’aimerais vous dire comment mes pensées droites m’ont permis de m’échapper du camp de travaux forcés que j’ai rencontré dans une autre dimension. Je sens que c’est exactement pareil que lorsque les pratiquants s’évadent des camps de travaux forcés et des prisons de notre dimension. Nous comptons sur nos pures pensées droites et notre foi absolue en Dafa.

En me réveillant à l’intérieur de l’oeuf, j’ai vu une profonde coupure sur mon cou qui saignait abondamment. J’ai voulu immédiatement sortir de là. Je ne voulais pas qu’ils me persécutent mais les monstres qui travaillaient m’ont immédiatement trouvée. J’ai dit mentalement : «  Mie! » (Éliminés) « Vous ne pouvez pas faire un son. » Ils se sont effectivement arrêtés de faire du bruit. Ça paraît très simple, mais cela requiert une confiance totale; pas la moindre parcelle de doute. J’ai cru de tout mon cœur qu’ils ne pouvaient pas et qu’ils ne feraient pas de bruit. Ma croyance était aussi certaine que de savoir qu’après le coucher du soleil, il va faire noir. Comme je l’ai compris à l’époque, seules des pensées absolument fermes et droites pouvaient faire que ça marche.

Après avoir traversé cela, je suis arrivée à une grosse barrière en métal. J’ai envoyé des pensées droites pour que la barrière s’ouvre. J’ai cru fermement que je pouvais l’ouvrir, et qu’elle s’ouvrirait automatiquement. Alors la barrière s’est vraiment ouverte, reflétant ma conviction totale. Je me suis enfuie. J’ai regardé vers le bas, à basse altitude et j’ai vu de nombreuses couches d’êtres pervers. Ils portaient des fusils comme s’ils patrouillaient. J’ai voulu que mes pensées droites me rendent invisible à leurs yeux. S’il vous plaît, rappelez-vous que cette croyance était absolue; je savais que mes pensées droites allaient rendre la chose possible, juste aussi sûrement que je savais que l’eau sort du robinet quand je l’ouvre. Je n’avais pas même l’ombre d’un doute ou d’une hésitation. Alors je me suis évadée de la surveillance des êtres pervers.

J’ai continué à envoyer des pensées droites et je suis arrivée face à un mur à l’extrême limite du camp. Je me sentais un petit peu fatiguée, et sans le savoir, j’ai relâché mes pensées droites. Les êtres pervers m’ont vue immédiatement. Ils ont braqué leurs fusils sur moi et ont ouvert le feu. Je me suis rappelé que Maître une fois a dit que dans ses premières années quand il enseignait la Loi, les êtres pervers avaient voulu le geler, et qu’il s’était fait lui-même plus froid que les êtres pervers. Je savais que les balles étaient dures; ainsi j’ai pensé que mon corps serait plus dur que les balles; que les balles n’avaient pas la possibilité de pénétrer mon corps; ce tir de balles contre moi était comme lancer des œufs contre une pierre. A la fin, aucune balle n’a pu pénétrer mon corps. Je suis arrivée finalement devant une clôture de fils électriques. La clôture était très dense comme une toile d’araignée très serrée. Pendant que j’envoyais des pensées droites, j’ai pensé : «  Je peux vous traverser, clôture, et quand je vais apparaître devant vous, vous vous dissiperez simplement. Je me suis précipitée sans aucune hésitation et je suis vraiment passée au travers, comme si la clôture électrique n’avait pas existé. Je m’étais évadée du camp complètement !

Je n’ai pas arrêté d’envoyer des pensées droites pendant toute cette expérience. J’ai gardé mon état d’esprit de croyance absolue que mes pensées droites allaient atteindre le but projeté et comme je comprends cela, c’est pour cette raison que j’étais assurée du succès. La pensée d’échouer n’existait pas. Seul, le résultat que j’attendais était le résultat que je voulais. J’ai renforcé mes pensées droites et je n’ai pas même eu l’ombre d’une hésitation.

Si nous ne nous accrochons pas à nos notions humaines, nous sommes assurés de réussir. Nos pouvoirs divins sont puissants.

Ici, j’aimerais suggérer que les pratiquants envoient collectivement des pensées droites pour renforcer celles de ceux qui sont encore détenus. Nous devrions tous fermement aider les pensées droites de ceux qui sont détenus, pour qu’ils puissent s’enfuir. Si nous croyons tous fermement que ceux qui sont détenus sont capables de sortir, ils sortiront sans aucun doute. Je connais une femme qui était surveillée étroitement et à qui on avait mis des chaînes. Elle a fini par s’évader du centre de détention avec le pouvoir de ses pensées droites. Comment a-t-elle fait cela ? Elle a grossi l’ouverture par laquelle on lui apportait la nourriture pour qu’elle soit de la taille d’un homme et elle est sortie par l’ouverture en rampant. C’est comme si de multiples couches de barrières n’existaient pas et tous les gardiens n’étaient seulement que des hommes de paille.

Il y a de si nombreux exemples de ce type. Compagnons de pratique, pourquoi n’utilisons-nous pas nos pouvoirs divins pour nous évader des centres de détention ? Pourquoi doutons-nous de l’efficacité de nos pouvoirs divins ? Nous ne devrions pas partir du principe que nos pouvoirs divins n’existent pas, simplement parce que nous ne pouvons pas les voir, ni les sentir. Quand nous voulons utiliser nos pensées droites pour sortir, nous pouvons réussir. Même les êtres pervers ne peuvent pas l’empêcher, parce que ce pouvoir nous a été conféré par Dafa.

(À suivre)