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L’aspect créé par l’humain dans le désastre du tremblement de terre en Chine

Mercredi 18 juin 2008

(Minghui.org)


« Maman, je suis ici maman, je suis ici  ! » Dans les instants qui ont suivi le séisme du 12 mai qui a renversé des milliers de salles de classe à l’intérieur et autour de la province du Sichuan en Chine, de tels appels pouvaient être entendus lorsque les mères appelaient leurs enfants, enterrés dans les décombres des cours d’écoles. Plusieurs réponses à fendre le cœur étaient entendues de par les débris. En pensant à ces derniers cris d’appel à l’aide désespérés d’enfants, nous les parents sommes remplis d’extrême tristesse, nos enfants ont été perdus dans les ruines. Ces pauvres petits, où sont-ils maintenant ?

I. Étaient-ils vraiment incapables de prédire le séisme, ou est-ce que les autorités ont conspiré à cacher la vérité ?

Il y a beaucoup de preuves indiquant que ce tremblement de terre majeur avait été prédit par plusieurs spécialistes, et que la preuve avait été rapportée aux hauts niveaux du Parti communiste chinois auprès des représentants gouvernementaux. Par exemple :

1. Geng Qinguo, un scientifique chinois spécialisé en séismes, avait prédit que la région d’Aba aurait un tremblement de terre avec une magnitude de plus de 7 sur l’échelle de Richter. Il a clairement indiqué que « La plus forte probabilité d’un dangereux tremblement de terre de plus de 7 sur l’échelle de Richter serait à l’intérieur d’une période de 10 jours avant et après le 8 mai. » Il a rapporté cela à des représentants de hauts niveaux à plusieurs reprises.

2. Le 26 et 27 avril, le Comité pour la prédiction des désastres naturels, qui est affilié avec la Société de science planétaire chinoise, a fait une prédiction semblable et a soumis un rapport écrit au département chinois du tremblement de terre le 30 avril.

3. Le 9 mai, les scientifiques de l’Angleterre et d’autres endroits ont averti les représentants du Parti communiste chinois (PCC) d’un possible tremblement de terre de haute magnitude.

II. Pourquoi les édifices du gouvernement sont plus solides que les écoles?

Avant que le PCC s’empare de la Chine, il y avait un militaire dictateur de Sichuan qui avait reçu l’ordre suivant : « Si les bureaux des édifices du comté sont meilleurs que ceux des écoles, le chef du comté sera tiré à mort sur le champ. » Pendant les deux tremblements de terre qui se sont produits à Kobe, Japon, en 1995, et dans le comté de Niigata, Japon, en 2007, aucun édifice scolaire ne s’est écroulé, et ainsi les écoles ont pu servir d’abris temporaires après les tremblements de terre. Cependant, pendant le séisme du 12 mai, les édifices scolaires se sont effondrés et les enfants ont été tués. Ils ont été enterrés sous des édifices scolaires construits à la légère, faits avec du ciment renforcé de grillage à poule au lieu de barres d’acier. Cependant les beaux bureaux gouvernementaux étincelants autour des écoles sont restés debout. Cela était encore plus dévastateur pour les nombreux parents ayant perdu leur seul enfant.

III. Les routes étaient-elles vraiment bloquées, ou les autorités ont-elles intentionnellement retardé les efforts de secours ?

Les autorités ont continué à mettre l’emphase sur le fait que les routes étaient bloquées à cause de la pluie, ainsi le personnel de l’armée pour les secours pouvait seulement se déplacer lentement. Ils ont rejeté beaucoup d’offres de support des autres pays. Ils ont raté la période la plus critique des  premiers 72 heures pour rendre fructueux les efforts de secours. Cependant certaines victimes ont réussi à s’échapper de la région touchée par le tremblement de terre par eux-mêmes à l’intérieur de 10 heures, incluant des femmes et des touristes.

IV. Pourquoi détourner l’attention du public et calomnier le Falun Gong ?

Après le tremblement de terre, le PCC savait qu’il serait mis sous la loupe en regard de son rôle à exacerber le désastre. Il n’avait pas réagi aux avertissements du tremblement de terre, et il avait procédé trop lentement pour avoir des travailleurs pour secourir dans la région touchée. Pour éviter l’intense critique publique, Zhou Yongkang (le directeur du comité politique et judiciaire en Chine) a utilisé une stratégie typique dont il s’est servi à plusieurs reprises dans le passé. Il s’agit de détourner l’attention du public des fautes du gouvernement, en incitant la haine contre  un bouc émissaire innocent (dans ce cas, le Falun Gong), et porter le blâme sur le bouc émissaire, dans ce cas encore, le Falun Gong.

Ainsi, des scènes similaires aux événements effrayants de la « Révolution Culturelle » se sont déployées aussi loin qu’à Flushing, New York, aux Etats-Unis. Les représentants consulaires chinois ont même admis avoir incité la haine dans les foules du Chinatown de Flushing. Pendant plusieurs jours, leurs brutes ont incité les foules en émotion à entourer et à attaquer les pratiquants de Falun Gong. Ils arrivaient à faire bouger les foules en leur mentant, en leur disant que « Les pratiquants de Falun Gong interfèrent avec les tentatives d’accepter des dons pour les victimes du tremblement de terre. »

1. Dans les événements diffusés sur CCTV (la station de télé officielle régie par le PCC), le soi-disant événement pour les « dons » près du centre de service pour démissionner du PCC à Flushing, New York, n’avait pas de bannières pour des dons quant au tremblement de terre ni de boîtes de dons. Il n’y avait pas de tel événement en réalité. Ces personnes qui alléguaient faire des dons sur place semblaient extrêmement excitées et contentes, ce qui serait inhabituel dans de telles circonstances. Il n’y a pas eu de scène indiquant que les pratiquants de Falun Gong empêchaient les gens de faire des dons ou qui prenaient des boîtes de dons.

2. Les activités des pratiquants de Falun Gong n’avaient rien à voir avec le tremblement de terre : L’événement du 17 mai était pour soutenir les 30 millions de Chinois qui avaient démissionné du PCC, et le permis avait été obtenu du département de police avant que le tremblement de terre ne se produise. Aussi, avant que l’événement se produise, les participants au ralliement ont fait deux minutes de silence pour les victimes du tremblement de terre. Pourtant, ils ont été faussement accusés d’ « interférer avec les dons pour le séisme ».

3. « Le Ciel élimine le PCC » n’est pas « Le Ciel élimine la Chine » : La bannière qui apparaissait durant l’événement incluait les mots « Le Ciel élimine le PCC » et « Le Ciel bénit la Chine », cependant, CCTV les a changés en « Le Ciel élimine la Chine ».

4. Plusieurs fauteurs de troubles ont été arrêtés : Le centre de service pour démissionner du PCC existe à Flushing depuis les quatre dernières années. Cela n’est pas apparu seulement après le tremblement de terre. Pendant plusieurs jours après le 17 mai, les fauteurs de trouble qui s’étaient préparés ont violemment battu et abusé verbalement les pratiquants de Falun Gong au centre de service. La plupart des fauteurs de trouble ont été arrêtés par les officiers de la police de New York. Cependant, le média du PCC a menti, prétendant que « les pratiquants de Falun Gong ont été arrêtés ».

Par la suite, Peng Keyu, le consul général du consulat chinois à New York, a admis pendant un interview qu’il avait lui-même planifié ces activités et attaqué les pratiquants de Falun Gong. Les conversations enregistrées de Peng Keyu ont été publiées sur le site Internet de « l’Organisation mondiale pour investiguer la persécution du Falun Gong » et ont été exposées au monde entier.

V. Qui est responsable pour le « désastre humain » du 12 mai 2008 ?

Tandis que le désastre a frappé la Chine le 12 mai, le régime chinois ne s’est pas mobilisé pour secourir les victimes du tremblement de terre, mais a utilisé le consulat d’outre-mer pour planifier et mobiliser des attaques contre le Falun Gong à Flushing, New York, incitant la haine et détournant l’attention des fautes du PCC dans le cadre du tremblement de terre. Ils voulaient fuir la responsabilité pour la piètre qualité d’un grand nombre d’écoles effondrées et échapper aux accusations de la part des parents des enfants morts. Le public veut connaître la vérité, cependant, et traduire en justice les responsables.


Traduit de l’anglais au Canada le 16 juin 2008