Les tortures endurées par une femme au foyer, Mme Liu Guihua
(Minghui.org) Mme Liu Guihua est une femme au foyer. Avant qu'elle ne pratique Falun Dafa, elle était très faible et souffrait de plusieurs maladies dont un problème de dos et des migraines. Parfois la douleur était si grande qu'elle ne pouvait pas sortir du lit ni changer de position. Elle avait également une très grosse tumeur dans son abdomen, la faisant paraître comme si elle était enceinte de cinq ou six mois. Elle pleurait souvent en raison de son malheur et de la douleur qu'elle supportait. Elle avait beaucoup de questions sur la vie ce qui l'a amenée à étudier le bouddhisme, le christianisme et des nombreux genres de Qigong. On lui a présenté Falun Dafa en 1996. Grâce à Dafa, elle a commencé à comprendre la véritable signification de la vie, et miraculeusement la tumeur dans son abdomen a commencé à diminuer et finalement a disparu. Elle a manifesté les symptômes d'une fausse couche et saigné pendant neuf jours, finalement son corps a éliminé un caillot sanguinolent à la forme d'un navet. Pour la première fois, elle a enfin ressenti l'état d'un corps sans aucune maladie. Elle a été très reconnaissante envers Maître Li et Dafa. Le 20 juillet 1999, Jiang et ses complices ont commencé à persécuter brutalement Falun Dafa. Ils ont utilisé les médias d'état, radios, télévisions, etc. pour calomnier Dafa et les pratiquants. Finalement, ils ont interdit une cultivation pratique aussi droite. Mme Liu Guihua a ressenti une grande tristesse et a décidé de se rendre à Pékin faire appel au nom de Falun Dafa. Avant la nouvelle année chinoise en janvier 2000, Mme Liu Guihua a pris un train pour Pékin pour aller sur la Place Tienanmen. Quand elle est arrivée, elle a vu quelqu'un pratiquer les exercices. Elle était sur le point de les rejoindre, mais elle a été immédiatement été arrêtée et embarquée à bord d'une voiture de police blanche. Plusieurs autres pratiquants chinois du nord-est étaient déjà dans cette voiture, ils tous ont été détenus au département de police de Tienanmen, avec d'autres pratiquants de tout le pays. Il y avait des ouvriers, des fermiers, des étudiants, certains étaient des personnes âgées de soixante à soixante-dix d'ans, et d'autres étaient des enfants. Ils ont récité tranquillement Lunyu . Quand la police a mené des fouilles corporelles, ils ont trouvé un livre Zhuan Falun sur une jeune fille et ont voulu le confisquer. Chacun a essayé d'arrêter les policiers et de leur apprendre les faits au sujet de la persécution, mais la police n'écoutait pas. Deux heures plus tard, des agents de son bureau de liaison local à Pékin sont venus chercher Mme Liu Guihua. Elle y a été détenue pendant 7 jours avant d'être renvoyée dans sa ville à la veille du nouvel an chinois. La police n'a pas voulu la laisser rentrer chez elle. Au lieu de cela, sous une fausse accusation, elle a été enfermée dans la section de sevrage du tabac du centre de réadaptation de la ville de Jinchang dans la province de Gansu. La police a essayé d'y tenir une classe de lavage de cerveau, mais chacun a fait une grève de la faim pour résister. Alors tous les détenus du Falun Gong ont été forcés à courir, répéter des slogans, et à faire des exercices militaires (une manière commune de torturer les prisonniers en Chine). Mme Liu a été détenue là pendant 15 jours. Elle n'a pas été libérée avant que sa famille ait versé des " frais de pension" au centre de réadaptation » Le 2 janvier 2001, le commissariat de police de la route Binghe dans l'agglomération de Jinchang l'a trompée et mise en garde à vue. Elle n'avait alors sur elle qu'un fin vêtement d'intérieur et une paire de pantoufle. Elle a été détenue au centre de détention de Jinchang avec plusieurs autres pratiquants. Trois jours plus tard elle a été emmenée au camp de travail forcé de Pingantai dans la province de Gansu et elle a été affectée à la septième section où la persécution a continué. On lui a coupé les cheveux contre sa volonté, l'a forcée à réciter les « règlements pour les prisonniers », à assurer une lourde charge de travail, à répéter des slogans tout en travaillant, à se mettre en ligne et à chanter des chansons diffamatoires, elle a même été forcée à chanter quand elle faisait la queue pour les repas. Chaque pratiquante était suivie par deux cangues personnelles (1). Les pratiquantes étaient suivies même pour aller aux toilettes, et elles n'étaient pas autorisées à parler entre elles. Le jour elles étaient forcées à travailler… la nuit, on leur faisait réciter les « règlements pour les prisonniers » jusqu'à minuit. Celle qui refusait était punie en devant rester debout toute la nuit. Elles étaient également forcées à regarder des vidéos diffamant Falun Dafa. Chaque semaine, elles devaient rendre des comptes et devaient passer un examen mensuel et assister à une conférence hebdomadaire. La police a appris de nombreuses méthodes de torture des autorités au notoire camp de travail forcé de Masanjia. Les prisonniers avaient l'ordre de maudire ou de battre les pratiquants. Mme Liu a eu les mains menottées dans son dos et son corps entier a été ligoté avec une corde puis les menottes attachées aux barreaux d'acier des fenêtres. Ses orteils touchaient à peine la terre et la police hurlait et la maudissait. Après une période de temps, un kyste s'est développé sur son pouce droit, elle a été emmenée à l'hôpital pour une opération afin de libérer le pus. Néanmoins, après qu'elle soit retournée au camp, elle a de nouveau été forcée à effectuer de lourdes tâches, et ses deux pouces sont devenus insensibles. Afin de résister à la persécution, Mme Liu criait souvent « Falun Dafa Hao* ! » (Falun Dafa est bon !) Et elle allait dehors méditer avec d'autres pratiquantes pendant l'heure des repas. Elle n'a pas été libérée avant octobre 2001. Le 15 avril 2004, Mme Liu Guihua a été arrêtée à la maison d'un pratiquant par Ma Yongguo (Homme) et d'autres policiers. Ils étaient de la division de sécurité d'état de ville de Jinchang, du département de Police et du commissariat de la route Binghe. La police a prétendu qu'ils venaient pour réparer la chaudière, mais quand ils ont ouvert la porte, les pratiquants ont vu la policière Chen Jinjin de la division de sécurité d'état et d'autres policiers. La police a essayé de pousser Mme Liu dans la voiture, elle a résisté et a crié « Falun Dafa hao ! »Un policier des services de police, Li Jianqing (femme), l'a immédiatement battue à terre, lui causant un hématome sur sa tête. Alors ils l'ont traînée au département de police pour une soi-disant « déposition écrite ». Le jour suivant, sans le moindre mandat, la police est entrée par effraction dans sa maison en utilisant un marteau, et ils ont fouillé sa maison et laissé un grand désordre. Ils ont emporté tous les livres et VCD de Falun Gong. Plus tard, Mme Liu Guihua a été amenée au centre de détention. Ils ont essayé de lui arracher une confession à plusieurs reprises. Pendant les dix jours, elle a été torturée si méchamment qu'elle avait de la difficulté respirer et a vomi du sang. Elle a été amenée à l'hôpital de Bazhi. Sur le chemin, elle a continué à crier « Falun Dafa Hao ! » et a dire aux gens la vérité au sujet du Falun Gong. La police n'a eu d'autre choix que de la traîner de nouveau au centre de détention. Ils l'ont libérée après qu'ils aient extorqué deux mille dollars à sa famille. Il ya beaucoup d'autres bonnes personnes comme Mme Liu Guihua dans la ville de Jinchang, qui sont persécutées simplement parce qu'elles pratiquent Falun Dafa. (1) « Cangues personnels » quelqu'un désigné pour surveiller étroitement et amener un changement dans le comportement des pratiquants.
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