(Minghui.org)
Mme Liang Xiulan, âgée de 42 ans travaille dans un hôpital de médecine
chinoise de la ville de Qian'an, province du Hebei. Elle a été la cible de
fréquentes persécutions par l'Équipe de sécurité nationale de ville de Qian'an.
Plus tôt cette année par example, Liang Xiulan a été arrêtée, battue et
torturée avec des matraques électriques par Peng Minghui et d'autres policiers.
En juillet 2000, la maison de Liang Xiulan a été fouillée par Wang Shiwu et d'autres. Elle a été arrêtée et emmenée au commissariat de police, où elle a été détenue pendant deux jours et une nuit. Elle a été libérée après que la police lui ait eu extorqué 2.000 yuans. Le 25 décembre 2000, Liang a été arrêtée encore parce qu'elle avait communiqué avec d'autres pratiquants. Peng Minghui a mené un groupe de fonctionnaires pour saccager sa demeure. Des fonctionnaires ont forcé l'époux de Liang, un policier lui-même, à battre et à gifler sa propre épouse. Effrayé de faire face au même destin qu'elle, il les a joints en persécutant son épouse . Liang a été détenue dans un centre de lavage de cerveau pendant 28 jours et n'a été libérée que lorsqu'elle ait été contrainte à renoncer à sa croyance. Plus tard, Geng Jiyang a amené des gens pour saccager sa maison et pour la harceler.
D'ici 2005, Mme Liang a repris sa pratique du Falun Gong, et les autorités ont recommencé à la harceler, à la saisir et à la détenir plusieurs fois.
Le 21 mai 2008, Mme Liang a été remarquée lorsqu'elle parlait aux gens publiquement au sujet de la persécution qu'elle et d'autres pratiquants de Falun Gong ont eu à faire face. Elle et plusieurs autres pratiquants ont été arrêtés sur le coup. Liang a des ordinateurs et des imprimantes chez elle, donc son cas a été référé à l'Équipe de sécurité nationale. Le 22 mai, Peng Minghui a ordonné à Fu Yonglai d'emmener Liang au centre de lavage de cerveau, où une personne du nom de Yang l'a giflée à répétition. Fu Yonglai lui a indiqué violemment, « Nous le comptons comme suicide si nous vous tuons, ainsi ça ne nous dérange pas. Allez-y et dites-le au monde entier ce que nous faisons de sorte que notre chef sache que nous avons bien fait notre boulot. » Ils ont menotté ses mains à deux chaises de fer séparées, une main sur chacune. Fu Yonglai et un autre gardien lui ont fait subir des chocs par matraques électriques. Un autre gardien l'a tenue pour arrêter ses mouvements. Elle ne pouvait pas l'endurer et sa tête a frappé le plancher.Une bosse plus grosse que son poing s'est développée à partir de l'enflure immédiat, lui rendant la vision difficile. Fu Yonglai l'a tirée par les cheveux pour la relever afin de lui faire subir davantage de chocs.. Quand il se fatiguait il prenait un somme. Les menottes de Liang lui ont coupée profondément les poignets causant de l'enflure et du saignement.
L'après-midi suivant, Ha Fulong a amené deux gardiens et a retournée Mme Liang à la scène de sa torture . Ils l'ont menottée les mains derrière le dos avec une menotte. Le visage de Liang a fait face vers le haut, et on lui a placé une chaise dessus. Un gardien s'est assis sur la chaise et un autre l'a tenue et deux autres ont pris des matraques pour lui faire subir des chocs au vagin. L'autre lui a donné des chocs au cou et aux seins. Ils ont torturé Liang jusqu'à ce qu'elle ait des bleus partout. Ses bras et ses jambes étaient d'un bleu-noir partout et jusqu'à ce jour, les jambes de Liang sont toujours noires. Après la torture de Liang, Hu Fulong a ri et ils sont tous allés au restaurant pour célébrer.
Plus tard, ils ont emenés Mme Liang à un centre de détention. La tension artérielle de Mme Liang était très haute et elle était étourdie. Un jour, elle est tombée au sol. Son corps tremblait et elle faisait de la fièvre, alors la police craignant le pire l'ont libérée. Lorsque la fille de Liang est venue la chercher, elle n'a pas reconnu sa mère. Après deux mois de retour à la maison, les gens du procuratoriat l'ont de nouveau harcelée et Fu Yonglai et d'autres gens de son département ont harcelé sa famille plusieurs fois.
Maintenant, elle a quitté la maison pour éviter de plus amples persécutions. Son époux est trop malade pour travailler et a un besoin urgent de secours médicaux.
Traduit de l'anglais au Canada le 6 septembre 2008