Par Tian Zhen
Nous sommes sur le point de vendre les billets pour les spectacles 2008/2009 de Divine Performing Arts . J'étais venue à New York l’an passée pour aider à la vente des billet et j’ai travaillé dur pour ça, tout comme à Taiwan. Je distribuais une information clarifiant les faits à propos duFalun Gong et de la persécution sans précèdent, des spectacles de Divine Performing Arts, des séries de compétition de NTDTV et d’autres documents aux gens qui s’asseyaient près de moi dans le métro.
Malheureusement je suis devenue moins diligente avec le temps et j’ai complètement arrêté au milieu de cette année tout en étant encore à New York. Parfois je me demandais : "Que s’est-il passé? " et: "Pourquoi est-ce que j’ai soudainement arrêté de prendre part à cet effort? " Après avoir regardé à l’intérieur, j’ai réalisé que c'était causé par l’attachement à la peur.
Un jour j’ai lu une histoire sur le site Pure Insight: "Chercher un Maître. " L’auteur nous parlait du Maître. Le Maître a parlé à quelqu’un pendant huit heures dans un train afin de lui offrir le salut. Comme le Maître était bienveillant ! J’ai eu beaucoup de remords pour ma propre conduite.
J’ai réalisé que je manquais de compassion. Si le fait de sauver les êtres vivants était ma première priorité, je n’aurai peur de rien. Je ne craindrais pas d'être embarrassée que les gens refusent les documents.
Un jour dans le métro, une personne semblant être d’Amérique du sud s’est assise près de moi. En voyant ses vêtements, j'ai pensé qu’il serait pas intéressé par Divine Performing Arts. Puis, je me suis rappelé que je ne devrais pas juger une personne d'après l'apparence et j’ai décidé de lui donner un dépliant. Comme je n’avais pas donné de documents dans le métro depuis longtemps, cette petite tâche m'a semblé aussi difficile que la première fois que j’ai téléphoné en Chine. Je me suis rappelé que ma peur était mon manque de compassion à sauver les êtres vivants. Quand j’ai finalement surmonté ma peur, ma compassion a surgi et j’ai dit "Bonjour", je lui ai donné mon premier dépliant pour le spectacle 2009. La personne a attentivement lu le dépliant. Je pense que le Maître m’a encouragé. Puis je lui ai montré le livre de photos de la Divine Performing Arts. Il était fasciné par les jolies photos et a demandé des informations sur l’achat des billets avant de sortir du métro. Comme mon anglais n’est pas très bon, je lui ai demandé d’appeler la ligne des réservations.
Peut-être que cette année une personne de plus verra le spectacle de Divine Performing Arts suite à ce simple "bonjour" et à notre conversation. Je sais que le Maître m’a encouragée. Je suis sincèrement reconnaissante envers Maître.
Je souhaite que les autres pratiquants qui hésitent à participer à la vente des billets puissent réaliser qu’ils manquent de compassion. En réalisant leurs insuffisances, ils vaincront leur peur et feront partie de cet effort grandiose de rectification de la Loi !
Le 29 novembre 2008