(Minghui.org)
Le 24 janvier 2009
WESTCHESTER, NY.-- Deux célèbres sopranos, une, récipiendaire de l’honneur de l'Alpha Kappa Alpha (AKA), l'autre, une critique célèbre soprano colorature ont baigné dans la beauté de la performance d’ouverture du Spectacle du Nouvel An chinois de Divine Performing Arts [Splendor] vendredi soir, au Performing Arts Centre, Purchase College [Université d’État de New York].
Mme Gaither-Graves et Mme Davis (Suman Srinivasan/The Epoch Times)
Toutes
deux ont déclaré
à l’unisson que la présentation avait été
« unique et très, très fascinante! »
Dre
Gaither-Graves, une soprano classique inscrite avec d'autres femmes
AKA de renommée mondiale, comme la chanteuse de jazz Ella
Fitzgerald, Gladys Knight, et Alicia Keyes, pour n’en nommer
que quelques-unes, a prisé le spectacle.
« Nous
avons beaucoup apprécié la performance de ce soir -
très belle, très jolie. Les couleurs, les costumes et
les décors sont magnifiques, et, bien sûr, j'ai été
très emportée par le tambour, étant [moi-même
impliquée] dans la musique et tout», dit-elle.
Les
instruments de percussion ont joué un rôle intégral
dans la riche culture antique de la Chine. Dans le spectacle, ils ont
fourni le rythme d'une danse dynamique exigeant une grande
flexibilité et un travail aérien dignes d’une
occasion de fête.
Dre
Gaither-Graves a commenté sur l’agilité et la
gracieuse beauté des artistes féminins.
«
Les danseurs sont très élégants et extrêmement
révélateurs dans ce qu'ils racontent dans leurs
histoires » dit le DreGaither-Graves.
Soprano
colorature Mme Davis s’est empressée d’ajouter,
«J'aime les fleurs, j'aime les éventails ... leurs
sourires, ils ont donné l’impression qu’ils
s’amusaient - brio. »
Mme Davis faisait
référence à un numéro dans le cadre du
programme «Accueillir le printemps », une danse qui
inaugure avec joie la nouvelle saison après un dur froid
hivernal. Des mouvements exacts et des explosions de couleurs forment
la base pour cette danse des éventails.
Dre
Gaither-Graves a parlé ensuite au sujet de «Dignité
et compassion», une scène dépeignant
l'emprisonnement d'une pratiquante de Falun Gong prisonnière
de conscience cruellement torturée et sur le point de mourir
pour une croyance [soi-disant] illégale
en Chine aujourd’hui
« C’était
très professionnel. Je l'ai très bien apprécié,
beaucoup, beaucoup, car ça touchait l'humanité et
l'idée de pouvoir sentir la compassion les uns envers les
autres, apportant la paix et le pardon qu’on exprime comme être
humain »
En tant que chanteuse, le Dre Gaither-Graves a loué le soliste soprano, ténor, et
baryton, qui, avec accompagnement au piano, ont chanté des
airs passionnés qui évoquent un sens de spiritualité
qui fait renaître la pensée et la croyance
traditionnelles chinoises.
«Parce que c’est une
expression émotionnelle, une expression humaine, je pense
qu'ils ont très bien chanté du fond du cœur, de
l'âme», de dire le Dre Gaither-Graves.
Mme
Davis, qui est peut-être mieux connue pour ses débuts au
‘Metropolitan Opera’ en tant que « Reine de
la Nuit » dans la production de Marc Chagall «La
Flûte enchantée», a acclamé l'ensemble des
aspects du spectacle de DPA.
«Je me suis régalée-
- la présentation est tellement importante. C'est ce que vous
ne pouvez pas donner à votre public, ce dont on ne peut
capter, ils l’ont senti ...ils ont senti chaque mot. Ils [les
artistes de DPA] savaient exactement ce qu'ils faisaient. C'est
quelque chose par lequel ils ont voulu faire passer une
déclaration. »
Toutes
deux ont félicité les animateurs en disant qu’ils
étaient « mignons ».
«Ils
aiment ce qu'ils font et ils le communiquent si bien au public»,
a dit Mme Davis.
Les
deux chanteuses ont également été émues
par cet orchestre « unique et délicat ».
Dre
Gaither-Graves a dit que les instruments à cordes et à
percussions ont joué en harmonie et en unisson, créant
une expression rythmique qui complimente les danseurs.
.Les
deux artistes ont aussi applaudi les arrière-plans numériques
époustouflants qui ont ajouté un sentiment
d'émerveillement à chaque mise en scène.
Je
pense que la toile de fond, l’arrière-plan, la façon
dont les artistes- interprètes ont été capables
de se présenter directement de la toile et d’y
retourner, tout a été très très
fascinant, » a conclu le Dre
Gaither-Graves.
De
la cloche qui annonce l'ouverture de chaque scène aux
séquences de tambours envoûtantes, les solos
attendrissants de l’erhu, le son des flûtes de bambou
hypnotique tout au long, les arrière-plans numériques
dernier cri, et l'expressivité de l'orchestre - - tout a
offert à ces chanteuses une expérience inoubliable.
Traduit de l'anglais au Canada le 25 janvier 2009