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La police essaie de prendre d'assaut le domicile d'un pratiquant, trois filles demandent de toute urgence de l'aide (Photos)

18 octobre 2009

(Minghui.org)

(Un correspondant de Tianjin)

À 16 h, le 29 septembre 2009, un groupe d'agents du poste de police de Yanliu, ville de Tianjin, s'est présenté devant la grille d'entrée du domicile de M. Hao Yin. Ils ont annoncé aux trois filles à l'intérieur qu'ils voulaient faire une perquisition de domicile.

Lorsque les filles (Xiaojing, Xiaoyan, and Xiaojiao) ont refusé d'ouvrir la grille à l'entrée, plusieurs agents ont frappé maintes fois à la porte tandis que d'autres agents ont grimpé le mur devant et les ont menacées. Quand les filles ont crié à l'aide à leurs voisins, les agents sont descendus du mur et sont partis.

La mère des filles, Mme Gao Yan'e, a été dénoncée parce qu'elle parlait du Falun Gong aux gens et plus tard elle a été condamnée à trois ans de prison. Plus tôt cette année, le père des filles, M. Hao Yin, a été arrêté sans motif, sa maison ayant été saccagée, et plus tard il a obtenu une peine de travaux forcés.

Alors qu'il était détenu dans un centre de détention local, il a réussi à s'enfuir. Afin d'éviter d'être persécuté et toute possible arrestation, il n'est pas retourné à son domicile. Par conséquent, ses trois filles sont restées toutes seules à la maison, et leur frère cadet vit à l'école.

Malgré la tribulation que la famille a déjà endurée, les policiers sont quand même venus pour les harceler, en particulier avant et après le soi-disant jour sensible du « 1er octobre ». Les agents grimpaient souvent le mur et cognaient à la porte d'entrée. Parfois, il n'y avait que quelques policiers qui se présentaient, tandis que d'autres fois, on pouvait voir plus de dix policiers. Les filles ont si peur qu'elles verrouillent la porte chaque jour.

Durant son emprisonnement, Mme Gao Yan'e a été si brutalement torturée qu'elle ne pouvait plus voir avec un de ses deux yeux et elle ne pouvait pas entendre avec une de ses oreilles. Lorsque les trois filles sont allées à la prison pour demander la libération de leur mère, les gardes ont refusé de la libérer. De plus, ils ont interdit aux filles de rendre visite à leur mère.

La lettre ci-dessous, écrite par les trois filles, a été publiquement affichée dans le village local, ainsi que la photo de Zhao Songwei, sous-directeur du poste de police de Yanliu. Une personne avec la pensée droite a rapporté la nouvelle à Clartés et Sagesse.





Des policiers du poste de police de Yanliu, comté Ji, ont planifié de faire une entrée par effraction le soir dans le logement de M. Hao. Mais quand les filles ont crié à l'aide à leurs voisins, les policiers ont été trop embarrassés pour entrer dans la cour.

Nous espérons que toutes les bonnes personnes viendront en aide à cette famille et demanderont directement leur aide aux habitants du village Weizhuangzi.

« À 4 h 45 du matin, le 29 septembre 2009, un groupe d'agents du poste de police de Yanliu, comté Ji, a frappé à notre porte d'entrée et nous a donné l'ordre de l'ouvrir, disant qu'ils voulaient entrer pour fouiller notre domicile. Certains policiers frappaient à la porte, tandis que d'autres étaient debout sur le mur et nous menaçaient pour qu'on ouvre la porte. On a crié à nos voisins, leur demandant de l'aide. Par conséquent, les agents n'ont pas osé sauter du mur. On ne sait pas s'ils ont l'intention de revenir pour nous harceler. Puisque nous, les filles, ne sommes pas capables de nous défendre, nous demandons sincèrement à nos voisins de venir à notre secours, si c'est nécessaire. Merci!

Xiaojing

Xiaoyan

Xiaojiao

Zhao Songwei, sous-directeur du poste de police de Yanliu : 86-13512956918 (portable)

Zhao Guanfu, directeur : 86-13342089688 (portable)

Traduit au Canada de l'anglais.