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Une expérience sur l'envoi des pensées droites pour affronter les arrangements des forces anciennes

28 novembre 2009 |   Écrit par Rongrong, une pratiquante de Falun Gong de la province du Hebei

(Minghui.org)

Depuis 1999, quand la persécution du Falun Gong a commencé, j’ai été « illégalement détenue » de nombreuses fois. En 2002, j’ai été soumise pendant un an aux travaux forcés et j’ai été « transformée ». Après être retournée à la maison, avec l’aide des compagnons de pratique, la Compassion du Maître et le pouvoir de Dafa, j’ai recommencé [à pratiquer] et j’ai continué ma cultivation jusqu’à aujourd’hui.

Aujourd’hui, j’aimerais partager avec les compagnons de pratique une expérience sur l'envoi des pensées droites pour défier les arrangements des forces anciennes.

Une nuit, le 10 août 2009, j’ai eu subitement une douleur atroce à l’estomac. J’ai réveillé mon fils (un jeune pratiquant) pour lui demander d’émettre des pensées droites avec moi. De plus, j’ai continué à chercher à l’intérieur pour trouver mes lacunes. Dans le passé, quand je faisais quelque chose de mal, une fois que je réalisais que c’était mal, je me corrigeais rapidement moi-même et tout allait bien. Mais cette fois, c’était différent, je ne pouvais pas identifier où était mon problème. La douleur à l’estomac est devenue de plus en plus grave. Je n'arrêtais pas de changer de position pour soulager ma douleur. Enroulée sur moi-même, je me suis effondrée sur mon lit. Pendant un moment j’ai eu la sensation que ma respiration s’était arrêtée et que j’allais mourir. Je ne pouvais pas rester ainsi plus longtemps, alors j’ai demandé à mon fils d’aller chercher la pratiquante A pour lui demander de venir et d'envoyer des pensées droites avec nous. Quand la pratiquante A est arrivée, alors que j’étreignais la main de mon fils, je me suis senti lui dire vraiment : « Je te laisse mon fils; prends soin de lui », mais j’ai senti que ce n’était pas mon vrai moi et alors je ne l’ai pas fait. Dans cet état, j’ai alors vomi et j’ai eu la diarrhée de temps en temps et cela a duré de 23 h à 4 h du matin. La pratiquante A a appelé le pratiquant B pour lui dire de venir pour envoyer des pensées droites ensembles. Ils ont persisté jusqu’à 6 h du matin à émettre ensemble de fortes pensées droites en même temps. Ce n’est qu’après m'être débattue sur mon lit, après avoir vomi et avoir eu la diarrhée que j’ai commencé à me sentir mieux.

Les pratiquants C et D sont eux aussi venus. Quand nous avons partagé nos expériences, je me suis soudainement rappelée qu’un compagnon de pratique m’avait demandé de coordonner une chose mais en fait, j’avais tout oublié à ce sujet. Après un moment, la douleur a diminué et elle a fini par s'arrêter.

A la tombée de la nuit, la douleur a repris. J’ai rapidement demandé à mon fils de demander au voisin (un pratiquant) de venir. En même temps, nous avons informé les pratiquants de l’entourage d’envoyer des pensées droites tous ensemble. Nous avons envoyé des pensées droites, de cette façon, de 9 h à 10 h. Après nous nous sommes arrêtés pour partager nos expériences. J’avais une pensée : « Je ne reconnais pas les arrangements des forces anciennes. Je suis une disciple du Maître. Je veux prendre la voie arrangée seulement par le Maître. » Mes compagnons de pratique ont tous dit : « Maître ne reconnaît pas les arrangements des forces anciennes, alors nous ne devons pas les reconnaître nous non plus. Toutes les pensées déviées et les attachements humains doivent être rectifiés avec la Grande Loi [Dafa]. Après discussion, nous avons encore envoyé de fortes pensées droites.

Sans parler de la douleur que j’avais à l’estomac, je n’avais qu’une pensée : « Maître, je suis votre disciple, il n’y a que vous seul qui puissiez arranger mon futur. Tous les autres arrangements, je ne les accepte pas ! » A ce moment-là, une pensée a surgi dans mon esprit : « J'irai mieux à minuit. » J’ai regardé l’horloge et j’ai vu qu’elle indiquait à peu près 23 h et j’ai rapidement changé mon esprit. « J'irai mieux à 23 h. » Quand je me suis étendue sur mon lit, je ne sentais plus aucune douleur. C’est de cette façon que, sous la protection du Maître, mes compagnons de pratique et moi-même, ensemble, nous avons affronté les arrangements des forces anciennes. Nous avons émis tous ensemble de fortes pensées jusqu’à minuit, avant qu’ils ne retournent chez eux.

À travers cet incident de bataille avec la perversité, j’ai compris ceci : pendant les tribulations nous ne devons pas oublier de « regarder à l’intérieur », nous ne devons pas sous estimer l’immense pouvoir de « s'élever intégralement et de se sublimer intéglement. » (Zhuan Falun) Quand je me sens extrêmement souffrante et presque susceptible d’être confuse, chaque pensée que j’ai, je dois essayer très fort de les différencier pour savoir si elles sont mes pensées véritables de mon vrai moi et ainsi éviter que la perversité ne tire profit de mes lacunes. Nous devons fondamentalement défier tous les arrangements des forces anciennes perverses. Si nous ne pouvons pas faire ainsi, il en résultera que nous seront pris par les forces anciennes perverses quand nous seront confus. Ceci créerait de grandes pertes dans le salut des êtres. Les pratiquants qui prennent part à l’émission des pensées droites doivent avoir une mentalité stable et être droits et ne devraient être touchés par aucun attachement humain.

En même temps, j’ai aussi cette compréhension. Ce n’est que lorsque nous étudions la Loi [Fa] davantage, que nous étudions bien la Loi et que nous utilisons la Loi pour jeter une base solide pour la cultivation que nous pourrons alors fondamentalement défier les arrangements des forces anciennes perverses et prendre la voie de cultivation arrangée par le Maître. A partir d’aujourd’hui, je dois strictement exiger de moi-même de bien faire les « trois choses » et suivre le Maître de près pour atteindre la plénitude de perfection et retourner chez moi avec le Maître.

Ceci est ma compréhension personnelle après avoir expérimenté cette tribulation. Je partage ici avec mes compagnons de pratique et s’il y a quoique ce soit d’inapproprié, je vous en prie, ayez la bienveillance de me l’indiquer.

Le 6 septembre 2009