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Les actions justes des pratiquants de Dafa clarifient la vérité

28 novembre 2009 |   Écrit par Ah Zhen

(Minghui.org)

Mme Li, est une pratiquante de Dafa entre deux âges, Même si elle a déjà pris sa retraite il y a plusieurs années, elle a laissé une impression durable auprès de ses superviseurs et ses collègues.

Mme Li a commencé sa pratique du Falun Dafa en 1996. Elle a supporté la responsabilité de fournir en matériel le site de pratique et de faire jouer la musique des exercices pour les pratiquants tous les jours. Tôt le matin, Mme Li et son mari, qui est aussi pratiquant de Dafa, emportaient au site de pratique un grand sac rempli de livres de Dafa.

À son lieu de travail, tout le monde respectait Mme Li. La suivre n’est qu'un seul exemple.

Auparavant, la salle des toilettes au travail étaient si sale qu'il n'y avait pas de place pour se tenir debout. Peu importe comment le superviseur faisait d’efforts pour motiver les gens à la nettoyer, personne ne voulait le faire. Après avoir constaté cela, Mme Li s'est portée volontaire pour nettoyer les toilettes.

La première journée qu'elle a nettoyé les toilettes, les rebuts étaient partout. Un autre pratiquant et elle-même ont rempli plusieurs seaux de papier hygiénique usagé et ils les ont enlevés de la salle de toilettes. Ils ont arrosé à grande eau et ont passé la lavette jusqu'à ce que tout soit propre. Avec leurs efforts, les toilettes anciennement très sales sont devenues très propres. Depuis lors Mme Li s'est chargée de la maintenance de la propreté de la salle de toilettes et elle l'a fait pendant dix ans. Son superviseur a été ému par cela, et il continué à augmenter son salaire.

Mme Li suit diligemment les principes d’Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Peu importe combien qu'elle a sacrifié, elle ne s'inquiétait pas pour les gains et les pertes. Elle a donc reçu des compliments mérités de ses superviseurs et de ses collègues.

Mme Li travaillait chez une entreprise d'impression. Chaque jour avant le début du travail, les employés chargés de distribuer le papier donnaient toujours une quantité fixe de papier. Ils ont établi un règlement strict au niveau de la quantité de papier distribué, afin d'éviter le détournement et le gaspillage. Cependant, ils n'ont jamais appliqué ce règlement à Mme Li, ni à certains autres, pratiquants de Dafa, car ils leur faisaient confiance. Ils savaient que les pratiquants de Dafa ne prendraient jamais avantage de la propriété publique, et que s'il y restait du papier à la fin, les pratiquants le ramènerait sans en garder même une feuille pour eux-mêmes.

Après que la persécution contre le Falun Gong ait débuté, chaque fois que la police locale est allée sur les lieux de travail de Mme Li pour l’harceler, ses superviseurs la défendaient toujours. Plus tard, elle a été arrêtée alors qu’elle était en chemin vers Beijing pour aller faire appel pour le Falun Gong et a été illégalement détenue au Camp de travail forcé de Masanjia. Pendant qu'elle était là, ses superviseurs lui ont gardé son poste, empêchant que d’autres ne le prennent. Car le poste de Mme Li était bon, quelqu'un a essayé d'offrir un pot-de-vin au superviseur, dans le but de se l’approprier, mais le superviseur gardait toujours le poste pour elle, car il craignait qu'il n'y ait plus de bon poste pour Mme Li lors de son retour éventuel. Son superviseur a attendu jusqu'à ce qu'elle ait été relâchée du camp de travail et il lui a ensuite redonné son poste.

Quand Mme Li a pris sa retraite, son superviseur a prolongé son emploi et ceux des autres pratiquants de Dafa. Mais, il n'a pas engagé les travailleurs retraités qui n'étaient pas pratiquants de Dafa.