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Grandir dans Dafa

18 décembre 2009

(Minghui.org)

Sixieme conference de partage d’experiences par Internet pour les pratiquants de Chine

Bonjour Maître ( Shifu) ! Bonjour compagnons en cultivation du monde entier!

Je suis honoré d’avoir l’opportunité de participer à la Sixième Conférence de Partage d’Expérience par Internet pour les pratiquants en Chine. Après avoir lu depuis si longtemps les articles sur le site web Minghui, les expériences partagées par les compagnons de pratique avec une telle sincérité et une telle révérence m’ont profondément touché .J’ai ressenti que les propos de chacun reflétaient son royaume ou son niveau de cultivation et les informations transmises influent aussi sur les lecteurs. Les articles de partage écrits avec un esprit pur peuvent avoir un bon effet sur les lecteurs et contribuer à l’objectif d’une conférence de partage d’expérience Par conséquent, avant d’écrire cet article, je me suis débarrassé de toute pensée impure dans mon esprit afin de participer à cette conférence sacrée avec la mentalité la plus pure possible.


Un-Moment-inoubliable-à-jamais
En juillet 1998, j’ai suivi mes parents et j’ai commencé la pratique du Falun Gong. Cela m’a semblé très naturel d'obtenir la Loi. Cependant, je ne lisais pas réellement la Loi et je ne faisais pas les exercices très souvent. Je les faisais comme une tâche que mes parents supervisaient. En dépit de cela, Maître m’a toujours protégé. Une expérience m'a laissé une profonde impression. Un jour dans une rue animée, un tricycle m'a roulé sur les pieds. Cependant, je n'ai ressenti aucune douleur ni n'ai été blessé, j’ai seulement senti quelque chose me rouler sur les pieds.

J’aime me remémorer ces jours d’avant le 20 Juillet 1999 bien qu’à ce moment-là, je n'ai pas su les chérir. À cette période, il y avait plusieurs lieux de pratique et plusieurs endroits d’étude de la Loi en groupe afin que tout le monde lise la Loi et pratique les exercices ensemble. Les sites d’étude de la Loi et de pratique des exercices étaient mis à disposition par des pratiquants et des assistants chaleureux. Parfois, les assistants volontaires utilisaient leur propre argent pour louer les endroits afin que tout le monde puisse voir les vidéocassettes des Conférences de Loi du Maître et les instructions des exercices. Quelques fois, ils louaient de grands théâtres et les gens des villes voisines venaient regarder les vidéocassettes. Dans ces cas-là, les pratiquants locaux laissaient les sièges de l’avant pour les pratiquants des villes voisines. C'était une manifestation de leur cœur.

Chaque mois, il y avait un groupe de pratique matinal très important. J’y ai seulement participé quelques fois, et ensuite la persécution a commencé. Au dernier groupe de pratique s'étaient joints aussi les pratiquants des villes voisines - plus de 1000 pratiquants y participaient. La scène n’était pas chaotique et personne ne parlait à voix haute. Après être arrivés sur le site, nous avons tous trouvé nos places par nous-mêmes et nous avons formés naturellement des rangées en lignes droites.

A ce moment-là, je n’avais rien ressenti de particulier. Plus tard, comparé à ce que j'ai vu dans les activités de l’école où les professeurs se mettaient en rage, incapables d'obtenir que les élèves se mettent en rangs, j'ai compris que le fait que 1000 personnes (incluant des enfants et des personnes âgées de 60 ou 70 ans, des femmes sans instruction, et des paysans) forment des rangées droites et nettes, sous la coordination de quelques organisateurs, ne pouvait être obtenu que si chacun y mettait son cœur. L’événement était vraiment spectaculaire, et de nombreux passants s'étaient arrêtés pour regarder. La scène est restée vivace dans mon esprit.

Par la suite, en traversant la persécution cruelle, ces quelques souvenirs inoubliables m'ont fait prendre conscience que je devais chérir les relations prédestinées entre pratiquants.

Je me souviens encore que c’était un dimanche soir quand je me suis rendu sur le site du groupe de pratique pour la dernière fois. La lumière était faible et peu de gens étaient venus. A cause d’interruptions par différentes personnes, nous n’avons pas été capables de finir les exercices et chacun est rentré chez lui. Quelques soirs plus tard, j'ai vu mon mère secouer la tête en regardant la télé. Je ne savais pas ce qui s’était passé et je me souviens seulement que mon père m'a dit sérieusement, quoiqu’il arrive, nous devions continuer à croire que " Falun Dafa est bon ".


Grandir au sein de l’épreuve et des difficultés
Je me souviens qu’un jour, à l’improviste, mon père m'a dit qu’il voulait quitter la ville et il m'a appris à cuisiner. Ma mère n’étant pas à la maison durant la journée, c'était donc la première fois que je me faisais moi-même la cuisine. Je me souviens que mon père m’a dit un tas de choses mais je ne peux pas retrouver les détails dans ma mémoire. Je ne me rappelle pas non plus combien de jours il est resté absent. Cependant, je me souviens qu’à son retour, la maison ne connaissait plus la paix .Des gens en uniforme avait pris l’habitude de venir nous harceler. Très souvent, ils venaient en bandes et commençaient à fouiller et à jeter les choses tout autour aussitôt entrés. Quelques uns ont entouré mon père ; ils ont placé des stylos et du papier sur la table essayant de pousser mon père à signer quelque chose. Ils ont essayé toutes sortes de ruses. Puis j’appris que mon père était allé à Beijing en appeler en faveur du Falun Gong. Progressivement, j'ai compris combien il était absurde que le Parti Communiste Chinois (PCC) n’autorise pas les gens en Chine à croire en Vérité, Compassion et Tolérance. LE PCC veut que les pratiquants promettent de ne plus pratiquer le Falun Gong, ne pas aller à Beijing et ne pas écouter leur conscience.

A l’époque, ce que j’entendais le plus était : " Nous ne voulons pas être dérangés par ceux qui frappent, défoncent et pillent. Pratiquer le Falun Gong est aujourd'hui (le délit) numéro. S’il y a des pratiquants d’ici qui vont faire appel, nous ne serons pas capables de conserver nos emplois ».A l’époque, nous ne comprenions pas que cette persécution irrationnelle ne devait pas être reconnue. Néanmoins, mon père n’a jamais faibli dans sa croyance, quelque fût la force de la pression ; il n'a pas signé une seule lettre. Je ne comprenais pas très bien, mais je sentais qu’il avait raison.

Durant ces journées, nous étions très attentifs au bruit de la sonnette à notre porte. Aussitôt que nous entendions le bruit de la sonnette, la première chose que nous faisions était de cacher les livres de Dafa, les cassettes de la musique des exercices et les photos de Maître. Quelquefois, nous étions réveillés encore et encore par la sonnette en plein milieu de la nuit. Cela a duré jusqu’à l’arrestation de mon père chez un compagnon de pratique. Il a été accusé de « trouble à l’ordre social » et envoyé en camp de travail forcé. Après çà, la maison est redevenue paisible mais il y avait encore des difficultés. Je détestais ces gens en uniforme .Quand je voyais les véhicules de police ou les fonctionnaires du PCC en uniforme, je les haïssais et les fixais avec les dents serrées.

A cette époque, j’ai du arrêter d’aller à l’école. Du fait que j’étais trop jeune et ne pouvais pas trouver un travail convenable. Je restais à la maison et je lisais la Loi. Au début, il y avait des mots que je ne comprenais pas, j’avais donc recours au dictionnaire. Cependant, cela n’affectait pas ma compréhension de la Loi. Grâce à l’apprentissage de la Loi, mes capacités se sont accrues et mes pensées se sont élargies de manière indescriptible. La haine dans mon esprit a dont été graduellement dissoute.

Progressivement, j'ai compris ce qui était entrain de se passer et j’en ai déduit que ces « agents du maintien de l’ordre » obéissant aux ordres du PCC étaient les gens les plus pitoyables. Chaque personne est venue dans ce monde pour la Loi, et ils ont probablement beaucoup souffert dans leurs vies passées juste pour venir obtenir la Loi aujourd’hui. Malgré cela, nombre d’entre eux ont agi en s'y opposant, et beaucoup se sont perdus dans ce monde d’illusions .Ils ont cru aveuglément aux rumeurs sans vraiment y réfléchir. Ils se montrés hostiles à l’égard de Dafa et ont oublié le but originel de leur venue dans ce monde. A chaque fois que je pensais à cela, j’étais inquiet pour ces gens-là qui ne connaissaient pas encore la vérité. De mon mieux, j’essayais de dire la vérité à ces personnes.

Durant les deux précédentes années, quand la perversité était prête à tout, les matériaux de clarification de la Vérité étaient en approvisionnement insuffisant dans notre localité. J’ai appris que le matériel disponible était imprimé dans des boutiques de photocopies. Beaucoup de magasins de photocopies n’osaient pas imprimer le matériel pour nous. Ceux qui osaient demandaient des prix élevés. Ma mère normalement ne nous parlait pas de la source de ces documents, elle pensait probablement que nous, enfants, serions incapable de bien contrôler nos propos. Nous aussi, nous ne posions aucune question à propos de ce que les compagnons de pratique faisaient spécifiquement. Nous allions simplement et quotidiennement distribuer le matériel de clarification de la vérité.

A l’époque, nous n’avions que des flyers en recto. Parfois, nous faisions aussi nos propres affiches. Nous avions trouvé du papier jaune et mis une matrice en dessous. Avec un feutre, nous tracions sincèrement les lettres. De temps à autre, des pratiquants apportaient aussi des posters imprimés. Occasionnellement, il y avait des posters en couleurs mentionnant « Falun Dafa se propage dans le monde entier ». A ces moments-là, nous étions très enthousiastes.

Ma mère avait une forte mentalité de peur, sans doute parce que les adultes ont plus de notions ordinaires. Elle s’inquiétait à chaque fois que nous sortions et elle nous parlait sans cesse de la manière de distribuer les dépliants, de placer une affiche et de le faire en toute sécurité. Néanmoins, quand nous étions dehors, la seule chose à laquelle nous pensions était de rendre visible le matériel à un maximum de personnes. Logiquement, nous choisissions les principaux carrefours, les arrêts de bus et les panneaux d’affichage des commissariats de police. En faisant la distribution et afin d’éviter de doubler les efforts avec les autres compagnons, nous allions à des endroits un peu plus éloignés et isolés, autrement nous trouvions des quartiers résidentiels qui semblaient plus luxueux sous une plus étroite surveillance.

Avant de sortir distribuer les documents, habituellement nous les lisions d'abord. Nous recevions souvent de la documentation destinée au personnel du PCC et nous ne comprenions pas pleinement pourquoi des pratiquants imprimaient tant de documents qui n’étaient pas pour le gros de la population. Plus tard, nous avons compris qu’il n’y avait rien d’accidentel à ce que nous recevions ces documents. Nous les portions aux quartiers résidentiels des gens travaillant pour l’organisation du PCC.

A cette période, nous avons rencontré diverses situations. Par exemple, après avoir suivi des personnes entrant sous une porte de contrôle électronique, nous n'avons pas pu ressortir (certaines portes électroniques ont besoin d’une clé pour être ouvertes de l’intérieur).Cependant, quand cela se produisait, il y avait toujours quelqu’un pour ouvrir la porte. Je n’ai jamais parlé à ma mère de ces événements. A ce moment, ma mère portait la lourde charge de la famille entière et nous ne voulions pas l’inquiéter. Nos parents ne nous demandaient pas de faire quoi que ce soit. La même chose était vraie pour nombre de compagnons de cultivation, nous faisions ainsi parce que chacun de nous voulait dire la vérité à un maximum de personnes du plus profond de son cœur.

Durant ces années, ma famille était très pauvre et profondément endettée. Notre famille vivait dans des conditions difficiles. Pourtant, nous menions nos vies avec un esprit solide—la Loi du Maître avait ouvert nos vieilles mémoires poussiéreuses et nous protégeait tout le temps. Il y a eu des fois où nous marchions dans l’obscurité sur la route, et des fois où nous n’étions presque pas capables de reconnaître le chemin. Pourtant, nous n’avions pas peur de nous perdre parce que nous croyions fermement, qu'où que nous allions, nous serions en mesure de retourner à la maison. Nous croyions fermement que le Maître était à nos côtés.

Ces quelques dernières années, nous avons arpenté les rues principales et les petites allées, et parfois sommes allés à bicyclette à travers la campagne. Les routes vers les villages avoisinants nous sont devenus familières. Mon vélo a été remplacé par une grande bicyclette, je grandissais et n’étais plus une petite fille. Au début, j’avais besoin de compagnie mais maintenant je vais souvent seule dans ces lieux pour distribuer les documents. Je peux évidemment sentir, qu’avec l’avancement de la rectification de la Loi, l’environnement s’est amélioré et que déjà les autorités n’osent plus venir nous harceler. La situation de ma famille s’est aussi améliorée. La dette, qui paraissait si grande, a été miraculeusement soldée et nous avons été capables de subvenir aux dépenses du centre de documentation par nous-mêmes. A présent, nous pouvons éditer différentes brochures, des CD de clarification de la Vérité et imprimer les Neuf Commentaires sur le Parti Communiste Chinois.

J’en suis venue à comprendre par mon expérience, que tant que nous suivons les enseignements du Maître, il n’y a pas de barrière que nous ne puissions dépasser. Maître a arrangé les chemins pour nous en accord avec la capacité et la situation de chacun. Nous savons que, pour nous, l’environnement courant, détendu n’est pas fait pour profiter d’une vie ordinaire, et notre vie familiale est relativement très simple. Mais nous utilisons les meilleurs matériaux incluant les machines, l’encre, les disques CD, etc, pour produire les documents.

Je n’avais pas de contact avec beaucoup de pratiquants. Cependant, les compagnons en cultivation lisaient l' hebdomadaire Minghui et je lisais attentivement chaque édition. La diligence des pratiquants m’a aidé à voir mes insuffisances. Je ne cessais de me rappeler à moi-même qu'indépendamment de l’âge, le critère de cultivation est le même pour tous. Le pur univers ne peut admettre même une seule particule qui ne satisfasse au critère.

Depuis plus d’un an, ayant accès à Internet, j’ai lu chaque jour les articles de partage d’expérience sur le site Minghui. Je sens que je me suis beaucoup améliorée. Ici, je recommande bien entendu à tous les pratiquants ayant accès à Internet, de lire ces articles. Ou, au moins, d’émettre le souhait de lire le site Minghui, comme l’ont spécifié de nombreux compagnons de cultivation. J'avais ce souhait auparavant mais à l'époque je ne prenais pas le sujet au sérieux, en fait, j’en considérais la possibilité comme trop éloignée. Pourtant ce souhait s'est réalisé comme « par hasard ».


Abandonner-le-sentiment-d’infériorité
Parfois, je me suis demandé quel aurait été mon chemin de cultivation si cette persécution n’avait pas eu lieu. Mes parents accordent une grande attention à la connaissance et à l’éducation. Sans doute aurais-je complété mon cursus et au moins atteint le bac .Cependant, la persécution avait éclaté, et j’ai arrêté l’école. En société avec autant de personnes compétentes, je me sentais quelque peu inférieure. Dans mon travail, je me sentais déconsidérée. Dès que je démarrai le travail en premier, je travaillais dur de manière à masquer mon manque de compétences. Je travaillais diligemment. Cependant, ce qui 'est produit était à l’opposé de mes attentes. Plus je voulais faire les choses avec droiture, plus je commettais d'erreurs et je me sentais encore plus déconsidérée.

Quand je voyais certains compagnons de cultivation compétents être l'épine dorsale de leurs projets, des pensées assaillaient brusquement mon esprit : « Pourquoi le Maître m’a choisi moi, quelqu’un sans capacités particulières ? ». Je me sentais comme un grain de sable, indigne d’intérêt, et qui n'était pas indispensable au vaste univers. La raison invoquée était la pensée de ne pas avoir bien étudié la Loi .Le Maître a dit : « Aux yeux des divinités, ce n’est pas que les grands êtres soient précieux et que les petits êtres ne le soient pas » (Enseignement et Explication de la Loi à la Conférence de Loi du New - York Métropolitain, avril 2003, traduit de l'anglais). Actuellement, les personnes de ce monde représentent en majorité des systèmes immenses. Une personne d’un statut social inférieur peut avoir une origine très significative. Les vies ayant obtenu la Loi sont enviées par toutes les vies de l’Univers. Pourquoi devrai-je m’inquiéter des apparences ? Si une personne banale ou même de basse extraction ou bien encore une personne très maladroite peut bien cultiver, la chose essentielle est de valider Dafa.

Après avoir continué à regarder en moi et plus profondément, j’ai trouvé que j’avais un attachement à la renommée et que je voulais être mieux que les autres. Je poursuivais la renommée, et je voulais que les autres me respectent et accordent beaucoup d’attention à ma personne. En fait, quand je n'avais que la Loi à l'esprit et ne pensais qu'à bien faire les choses. (Au lieu de me soucier de ce qu’autrui pourrait penser de moi), je faisais bien les choses et suscitais l’admiration chez ceux avec qui j'entrais en contact. Quant à ceux dont je pensais qu'ils m'avaient méprisée, je les traitais avec un esprit sincère. Ensuite, je me rendais compte que la situation n’était pas ce que j’avais imaginé ; cela n’était dû qu’à ma façon de penser.


Conclusion
En regardant en arrière le chemin de cultivation parcouru, beaucoup d’impressions expérimentées se sont effacées et dispersées et ça n'est plus la peine d’y penser. Cependant, les expériences de la protection du Maître sont réapparues devant mes yeux. Quand j'ai voulu partager une ou deux expériences singulières, je n'ai pas su par où commencer. Tout cela peut être communiqué par la compréhension vécue et non par les mots.

Pendant ma cultivation, je me suis souvent sentie troublée, léthargique et déprimée. J’étais incapable de faire ce que Maître dit :

« C’est pourquoi on dit qu’en continuant à cultiver et pratiquer comme au début, on parviendra assurément au fruit juste." (Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de la grande région de New York 2009).

En particulier, tout récemment, comme la situation est plus facile sous divers aspects, j’ai commencé à avoir la mentalité de rechercher la facilité et le confort sans le savoir. Après avoir étudié les dernières conférences de Maître, j’ai trouvé en moi nombre d’insuffisances et que j’étais bien loin des requêtes du Maître. Le Maître continue à attendre que les disciples de Dafa deviennent matures rapidement.

Je me souviens, qu’au commencement de la persécution, mon frère a vu avec son troisième œil des larmes couler sur le visage du Maître. Je ne comprends pas encore totalement la signification de ce qu’il a vu et je me sens incapable de connaître l’effort que le Maître a fait pour nous. La seule chose, que je sais, est que nous, disciples, nous n’avons aucun moyen de payer en retour ce que le Maître a fait pour nous. La seule chose que nous puissions faire est de cultiver diligemment.

Je remercie sincèrement le Maître pour son salut miséricordieux !

Merci aux compagnons en cultivation pour leur aide ininterrompue ! Merci pour les articles de partages écrits par les pratiquants du monde entier que je n’ai jamais rencontrés. Ces articles m’ont grandement aidé durant les journées difficiles. Merci pour les efforts des compagnons de cultivation qui tiennent le site Internet Minghui !

Continuons de chercher à cultiver diligemment ensemble avec tous les compagnons de pratique!
Heshi!

Traduit de l’anglais en France