(Minghui.org)
Le
11 février 2009, Divine
Performing Arts
International
Company (DPA) a présenté son premier spectacle en matinée
au Hitomi Memorial Auditorium de Showan Women's University, Tokyo au
Japon. L'auditorium était rempli. DPA présente des
spectacles pour la troisième année au Japon.
Les
récits historiques dans le spectacle de DPA ont attiré le jeune public.
Un député japonais : une interprétation époustouflante
Le député Jin Matsubara a assisté à la première à Tokyo et a été ébahi par le spectacle. Il a déclaré : « Je constate que l'écran à l'arrière-plan est high-tech. Ce spectacle culturel est époustouflant. Quand vous regardez le spectacle de DPA, il vous fait oublier vos occupations quotidiennes pour vous transporter dans le monde de l'art. »
M. Matsubara a été impressionné par le programme et les costumes des artistes. Il a cité les exemples du Triomphe du Roi des singes et du poète Li Bai et a mentionné qu'il aimait lire l'œuvre Pèlerinage vers l'Ouest quand il était jeune. « J'aime les poèmes du poète Li Bai et je les lis. Je n'étais pas au courant du poème et du fait qu'il était ivre. J'ai beaucoup appris. »
Conseiller municipal de Tokyo : en ravivant la culture traditionnelle chinoise, DPA fait quelque chose de précieux
Le conseiller municipal de Tokyo, M. Tsuchiya, et un autre conseiller ont assisté ensemble au spectacle de DPA. M. Tsuchiya a déclaré : « La culture japonaise et la culture chinoise ont des similarités. En fait, on doit admettre que la culture traditionnelle chinoise est le frère aîné de la culture japonaise. C'est vraiment dommage qu'une telle culture n'existe plus dans la Chine actuelle. Dans des endroits où la liberté d'expression et de pensée n'existent pas, la culture est tout simplement une forme superficielle sans aucune connotation profonde. »
« Le spectacle de DPA redéfinit le sens profond de la culture chinoise. C'est précieux et est de grande valeur », a-t-il ajouté.
Un autre conseiller municipal a assisté au spectacle pour la troisième fois consécutive. Sa femme et lui ont assisté au spectacle le 11 février. Il a dit : « Aujourd'hui, je suis ému à nouveau en regardant le spectacle. »
« La crise financière actuelle est en fait une crise spirituelle. Après avoir vu le spectacle, les gens se demandent c'est quoi réellement la crise ? Le spectacle d'aujourd'hui suscite la réflexion chez les gens sur la raison pour laquelle ils sont ici. Quelle est la mission et quel est le rôle qu'on devrait jouer ? C'est un spectacle à considérer ! La crise économique est sévère. Mais le spectacle nous fait comprendre que c'est la crise spirituelle qui est la plus grande crise », a-t-il expliqué.
L'ancienne première dame d'Indonésie : les danseurs de DPA sont comme des « papillons qui dansent »
Le 11 février, la première dame d'Indonésie, Dewi Soekarno, a apprécié le spectacle de DPA qui a eu lieu au Hitomi Memorial Auditorium à Tokyo.
Mme Soekarno est une figure de proue de l'industrie du film japonais et la troisième des neuf femmes du premier président d'Indonésie, Soekarno (1901-1970). Vers la fin des années 50, Mme Soekarno était âgée de 19 ans lors qu'elle a rencontré Soekarno qui avait 57 ans, lors d'une visite d'État de l'ex-président au Japon.
La
première dame d'Indonésie, Dewi Soekarno, a apprécié
le spectacle de DPA.
Après avoir vu le spectacle de DPA, Mme Soekarno a dit : « C’était vraiment élégant et gracieux. Les mouvements, bien que très difficiles, n’en étaient pas moins harmonieux. Les danseurs masculins ont montré un très haut niveau de technique. C’est ce que j’ai très fortement ressenti. Les toiles de fond utilisaient aussi une technologie de pointe ; c’était vraiment fantastique ».
« J’ai aussi été époustouflée par les costumes de la deuxième danse ; de couleur blanche et les ceintures roses. Ça ressemblait vraiment au liseron d’eau blanc. Je pouvais facilement imaginer la fleur blanche en regardant la danse. C’était réellement beau ».
Elle se référait à L'épanouissement de l’udumbara, un numéro basé sur la fleur légendaire udumbara, qui ne fleurit qu’une fois tous les trois mille ans. Le bouddhisme dit qu’elle indique l’arrivée dans le monde d’un grand sage ou d’un grand éveillé.
« Les costumes sont conçus avec beaucoup d’idées et de riches et splendides soies chinoises. Lorsque les danseuses agitent leurs manches, la manière dont elles flottent montre que [les costumes] utilisent une soie vraiment belle et originale, des costumes très beaux et très nobles ».
Elle a aussi adoré les costumes dans Le phénix mystique.
« Je viens de parler des costumes semblables au liseron d’eau. Outre cela, j’ai aussi aimé une autre danse avec les manches flottantes, comme des papillons virevoltant, vraiment, vraiment merveilleux ! ».
« Ces danseurs ont de longues jambes et des visages délicats, il se déplaçaient ensemble harmonieusement. C’était extrêmement beau. Aussi, les mouvements d’épaule, et leur façon de marcher – chaque pas ne faisait aucun bruit – très doux et souple. On voit rarement de telles choses au Japon et il est évident que c’est la véritable culture chinoise. »
Mme Soekarno réside aujourd’hui à Tokyo, mais elle a vécu dans de nombreux autres pays à travers le monde depuis le décès de son mari, dont la France, la Suisse et les États-Unis. Elle possède aujourd’hui sa propre affaire de bijouterie et de cosmétiques et fait de temps en temps une apparition dans divers spectacles télévisés. Elle a également servi de juge pour des concours de beauté, y compris Miss international 2005 tenu à Tokyo.
Elle a trouvé que la soirée était unique et a souhaité dire quelques mots aux gens de cette culture : « Vous devriez être fiers d’être Chinois car vous avez une merveilleuse culture. Vous pouvez même garder votre fierté en restant à l’étranger, parce que votre pays a la culture la plus raffinée du monde. »
L'ambassadrice du tourisme à Okinawa assiste au spectacle deux fois le même jour
Michiko Nakada, l'ambassadrice du tourisme à Okinawa, une danseuse et chanteuse, a regardé le spectacle de DPA deux fois le 11 février au Hitomi Memorial Auditorium à Tokyo, une destination populaire du public pour la famille impériale japonaise.
Michiko Nakada, ambassadrice du tourisme à Okinawa, est également une danseuse et chanteuse.
« Mes
larmes coulaient toute la matinée. Puisque j'ai raté le
premier numéro, j'ai aussi acheté des billets pour le
spectacle de la soirée. Ce serait vraiment dommage de rater un
numéro de ce spectacle si admirable. Je suis contente de
n'avoir pas raté cette occasion », a déclaré Mme Nakada lors du spectacle offert en soirée.
Le premier numéro qui a électrisé Mme Nakada s'appelle Le début des cinq millénaires. Il raconte l'histoire des êtres divins qui se rassemblent au ciel et qui descendent sur Terre. Ils apportent en cadeau la culture et lancent 5 000 ans d'histoire chinoise.
« Dans l'ensemble la coordination est très complexe – l'arrière-plan montre les nombreuses divinités descendant dans le monde des humains – l'arrière-plan et les danseurs font un seul corps. Je n'ai jamais vu une telle scène. »
Mme Nakada a déclaré que ce spectacle l'a détendue et revitalisée. « Je crois que les anciens et les divinités coexistaient. Les gens ne commettaient pas de mauvaises actions parce que s'ils faisaient de telles choses, le ciel s'assombrirait. Le spectacle a montré ce genre de monde. »
En tant que danseuse folklorique professionnelle, Mme Nakada a été captivée par la danse classique chinoise dans le spectacle, un système de danse transmis au cours de l'histoire de la Chine.
« Le spectacle m'a ému jusqu'aux larmes. La civilisation chinoise est la plus ancienne de toutes les autres civilisations. J'ai toujours voulu voir la miraculeuse... danse de la Chine ancienne. J'ai toujours espéré voir la culture chinoise non occidentalisée. »
Même si elle va souvent voir les spectacles, elle a dit que ce spectacle était unique en son genre. « Les chants ont beaucoup de messages d'en haut. Ils disent aux gens de ne pas commettre de mauvaises actions. Ce genre de message devrait être souvent donné à l'humanité. Être droit et vertueux est la plus belle façon de vivre pour les êtres humains. »
Traduit au Canada le 19 février 2009.