(Minghui.org)
1. Obtenir la Loi
J’ai obtenu la Loi en 1998. Peu après, le Maître a commencé à purifier mon corps. J’avais alors 56 ans et j’avais de nombreuses maladies qui ont toutes disparu après avoir commencé ma pratique du Falun Gong. Un jour, après le repas du midi, je me préparais à faire une sieste. (Nous sommes propriétaires d’un commerce et ma femme travaille de jour et moi de nuit). À ce moment-là, un compagnon de pratique m’a apporté une photo du Maître. Après avoir échangé brièvement, il est parti. J’ai accroché la photo du Maître sur le mur et suis allé au lit. En l’espace de deux minutes j’ai soudainement ressenti une poussée d’une énergie chaude descendant du haut de ma tête. J’ai su que c’était le corps de la Loi du Maître qui me faisait le guanding [le déversement d’énergie par le dessus de la tête]. Quand j’ai ouvert mes yeux, j’ai été encore plus étonné : la maison toute entière brillait. Plusieurs Falun dorés volaient autour de la chambre. Certains étaient de la grosseur d’une assiette et d’autres d’un bouton. Certains volaient autour mais la plupart tombaient comme de la pluie sur moi. J’admirais la scène. Parce que j’étais étendue sur le dos, je ne portais pas attention à l’autre côté du lit. Je me sentais comme un enfant regardant les Falun voler sur moi. Quand j’ai enfin jeté un regard sur l’autre côté du lit, j’ai vu le Maître qui était là, me souriant. Je ne sais pas comment mais j’ai trouvé le tour de me redresser et de joindre mes mains devant ma poitrine et j’ai dit : « Merci Maître ! » Mes yeux étaient emplis d’eau. Le Maître a souri et a marché tranquillement vers la porte de la chambre. Je voulais suivre le Maître et le voir partir, mais je savais que c’était impossible car ceci était un corps de la Loi du Maître. Quand je me suis finalement calmé, j’ai regardé la chambre à nouveau, les Faluns avaient disparus.
Le lendemain matin, après avoir terminé la pratique au site de pratique en groupe, j’ai partagé mon expérience avec mes compagnons de pratique. Ils ont tous applaudi pour moi et ont dit : « Tu es tellement chanceux de voir le Maître te faire le guanding et les Faluns. Tu dois avoir une relation prédestinée très spéciale. » Ça signifie effectivement beaucoup de devenir pratiquant au cours de la période de la rectification par la Loi.
Après que la persécution ait débutée, j’ai été envoyé dans un camp de travaux forcés et j’ai délaissé la pratique pendant un moment. Quand je me suis finalement réveillé, je suis resté à la maison pendant un mois pour lire le Zhuan Falun et les nouvelles conférences. Chaque semaine j’allais demander de nouveaux documents. Après avoir fini de les lire, je les distribuais aux autres ou à des compagnons de pratique.
2. Le Maître protège toujours ses disciples
La demande pour du matériel a augmentée et tous les jours, il y a des pratiquants qui venaient pour obtenir du matériel. Mon site de matériel est devenu un centre de ravitaillement et plusieurs personnes venaient pour obtenir du matériel de moi. Additionné à mon attachement à l’autosatisfaction, le démon a pris avantage de ce point faible. De là, le site n’était plus sécuritaire. Un jour alors que j’étais sur Internet, six policiers ont envahis ma maison. Certains étaient du bureau 610 de la ville ou de la division de la sécurité publique et certain étaient du district du bureau 610. Ils ont fouillé ma maison et ont emporté mon ordinateur, imprimante, photocopieur, Zhuan Falun, nouvelles conférences, papier à photocopie, du matériel et huit lecteurs MP3. Ils m’ont arrêté et interrogé. Ils m’ont crié après et ont dit : « Il semble que tout le matériel venait de toi, ta maison est devenue une imprimerie. » Ils m’ont interrogé de 21 heures à 8 heures le lendemain matin. J’ai refusé de coopérer avec eux. J’envoyais la pensée droite pour éliminer les éléments diaboliques derrière eux et j’ai demandé au Maître de me fortifier. À 9 h, ils sont venus à bout de tactiques et ont décidé de m’envoyer au camp de travaux forcés pendant 9 mois. J’ai été temporairement envoyé au centre de détention.
Quand je suis arrivé au centre de détention le chef politique leur a demandé : « Qui est-il ? » Le chef d’équipe de la division de la sécurité a dit : « Falun Gong. » Le chef politique m’a regardé pendant 30 secondes et m’a soudainement demandé : « As-tu des maladies quelconques ? » J’ai pensé que ça devait être une allusion venant du Maître. J’ai répondu sans aucune hésitation : « Oui, j’ai toutes sortes de maladies du vieil âge, incluant de la haute pression et une maladie du cœur. » Il a dit : « Non, nous devons le faire examiner par les médecins. » J’ai demandé de l’aide au Maître et aussi j’ai envoyé la pensée droite pour éliminer les forces du mal et les diables pourris. Après l’examen physique ils m’ont emmené à l’hôpital pour des examens plus approfondis. Après qu’ils aient obtenus les résultats, l’instructeur a dit : « OK, tu peux retourner à la maison maintenant. »
Juste comme ça, j’ai été libéré de façon sécuritaire grâce à la protection du Maître. Après être revenu à la maison, j’ai appelé mes compagnons de pratique. Ils sont venus chez moi, tous surpris : « Tu es revenu si vite. Nous venons d’apprendre que tu avais été arrêté ce matin et nous étions en train de discuter comment venir à ta rescousse ! » J’ai dit : « La raison pour laquelle je suis revenu si vite c’est dû à la protection du Maître. » Je leur ai dit ce qui était arrivé et j’ai partagé avec eux les leçons apprises. Trois jours plus tard nous avons acheté un nouvel ordinateur et une imprimante. Un tout nouveau site de fourniture de matériel a été établi.
3. L’éveil des êtres vivants
Près de chez moi il y a trois frères. Le deuxième plus vieux de la famille est barbier. Le troisième travaille au bureau des anciens combattants. Le quatrième a un commerce de transport en tricycle. Après leur avoir clarifié la vérité, ils ont tous mis fin à leur adhésion au PCC (parti communiste chinois) et aussi ont fait plusieurs bonnes choses pour le Dafa.
Le deuxième plus vieux me demande souvent du matériel de clarification de la vérité. Après les avoir lu, il les place dans le support à journaux dans son salon de barbier. Dès que j’ai du nouveau matériel, je me rappelle toujours de lui en remettre quelques copies. Plusieurs personnes vont à son salon : des policiers, commis de bureau, enseignants, des étudiants, des résidants de la ville, des fermiers. Ils lisent souvent le matériel du support à journaux. Une fois un policier lui a demandé : « Où as-tu eu ce matériel ? » Il a dit : « Je ne sais pas vraiment. » Le policier a dit : « Pourquoi ne les as-tu pas rapportés ? » Il a dit : « Pourquoi l’aurais-je fait ? Je trouve que le contenu est plutôt raisonnable. Si tu veux le lire, libre à toi. Autrement laisse-le là, c’est réellement assez populaire. » Des gens ont même demandé pour apporter le matériel à la maison pour les lire un peu plus. Il est toujours très heureux de les prêter aux clients. Je lui donne souvent quelques copies de « Neuf commentaires sur le parti communiste chinois » et il place une copie à la fois sur le support à journaux. Des fois les gens demandent pour l’emprunter et d’autres fois les gens partent avec, sans demander. Il m’a souvent dit : « Falun Gong est si grand ! Ton mérite et ta vertu sont sans limite et immense. » Je lui ai dit : « Tu fais des choses qui vont te donner des vertus sans limite à toi aussi. »
Un jour j’ai demandé au troisième frère plus âgé : « As-tu un ordinateur à la maison ? » Il a dit : « Oui mais nous n’avons pas le service Internet parce que nous ne voulons pas que notre enfant devienne dépendant des jeux d’ordinateur sur Internet. » Je lui ai demandé : « Voudrais-tu visiter des sites Internet d’outremer qui ont de la vraie information ? » Il a répondu : « Je ne crois pas avoir accès à ces sites Web. » J’ai dit : « Si tu veux, je peux t’aider. » Il a immédiatement fait une demande au service Internet et je lui ai donné un logiciel pour pouvoir passer au travers du blocage Internet. Quelques jours plus tard, il m’a rencontré au salon de barbier de son frère et a dit : « Je ne sais pas comment te remercier, c’est comme si tu m’avais donné un passeport pour aller outremer. J’ai quelques douzaines de vieux amis et des collègues de travail, spécialement ceux du département de la police. Ils m’ont demandé en secret où j’avais eu ça. Ils veulent aussi avoir le logiciel.» Juste comme ça ils étaient tous capables de visiter ces sites Internet d’outremer. Ce frère possède aussi sa propre compagnie de transport. Il va à différents endroits dans tout le pays. Il m’a demandé plusieurs copies des Neufs commentaires et Désintrégrer la culture du parti communiste. Il les a données à ses amis. Ses amis les ont passées à d’autres amis dans d’autres régions. Je lui ai dit : « De cette manière il va y avoir plus et plus encore de gens qui comprennent la vérité. » Il a dit : « Oui, certain d’entre eux n’aiment pas le parti communiste. Maintenant ils savent encore plus à quel point c’est mauvais ». Je lui ai dit : « Maintenant qu’ils comprennent la vérité pourquoi ne leur demandes-tu pas de démissionner du PCC comme tu l’as fait toi-même ? » Il a répondu : « J’ai oublié tout ça ». J’ai dit : « Que dirais-tu de ça, je pourrais aller avec toi pour rencontrer tes amis ». Il a dit : « Tu n’as pas à y aller parce qu’ils ne vivent pas très près les uns des autres, je peux m’en occuper ». Après deux semaines il m’a rapporté une liste de 28 personnes qui avaient décidé de quitter le PCC et ses organisations affiliées.
Le quatrième frère m’a souvent dit : « Je peux t’aider à distribuer le matériel. Je peux les lires pendant que je les distribue. Même si la police m’arrête, ils ne peuvent rien me faire. S’ils me demandent où je les ai eus, je peux juste leur dire que quelqu’un les a mis dans mon tricycle - -vous pouvez les prendre si vous voulez. » Je lui ai, en effet, donné beaucoup de matériel. Une fois il m’a demandé neuf copies des Neufs commentaires. Il a dit à ses clients que cette brochure pourrait seulement être fournie suite à une commande. Il a dit à ses clients de la chérir car le PCC la déteste.
Comme ces trois frères il y en a encore beaucoup qui comprennent la vérité et qui sont prêts à aider les pratiquants. Une fois j’ai été arrêté par la brigade de sécurité, ce qui a rendu les voisins très inquiets parce que mes enfants travaillent tous dans d’autres villes et que je vis seul avec ma petite fille qui va à la garderie. Mes voisins sont allés chercher ma petite fille à la garderie et sont allés au département de police pour demander ma libération. Ils ont dit : « Si vous ne le laissez pas partir, nous allons laisser cette petite fille dans votre bureau. » Le lendemain j’étais relâché.
Le Maître dit : « Ceux qui font bien peuvent changer leur environnement, ceux qui ne font pas bien peuvent aussi faire que leur environnement change selon leur esprit. » « Enseignement de la Loi à la conférence de Loi de Washington DC » (22 juillet 2002)
Il y a une pratiquante qui possède un commerce pour cultiver et vendre des légumes dans la banlieue. Elle clarifie la vérité n’importe où. Presque tout le monde la connaît, même les enfants. Elle a été arrêtée et battue à la station de police pour avoir clarifié la vérité. Elle était réprimandée par les gens qui ne comprenaient pas la vérité, mais elle n’a jamais arrêté. Maintenant la police ne l’arrête plus. Les gens comprennent la vérité. Certaines personnes m’ont dit : « Cette dame Falun Gong qui vend des légumes est bonne à clarifier la vérité. » Les gens l’appellent « Falun Gong ». Son commerce de légume a roulé de façon régulière. Les gens aiment acheter ses légumes parce qu’elle est toujours honnête et raisonnable. Le commerce lui donne de belles occasions pour aider les gens à comprendre la vérité. Habituellement elle peut convaincre dix personnes par jour à mettre fin à leur adhésion au PCC.
Il y a une autre dame de plus de 70 ans. Elle a été très diligente dans la cultivation depuis qu’elle a obtenu la Loi. Les pratiquants aiment tous la visiter et partager avec elle leurs pensées et leurs expériences. Presque à chaque jour les pratiquants la visitent à sa maison. À la fin de 2007, par une journée neigeuse, un gros site de matériel a été détruit. Plusieurs centaines de copies du « Zhuan Falun » qui avaient besoin de correction ont été transporté dans notre ville. Ils devaient être corrigés en très peu de temps. Elle était très occupée à organiser les pratiquants, distribuer du travail et gérer le matériel. Elle marchait dans la neige et le vent tous les jours. Dans le but d’aider les pratiquants, sauver les êtres vivants et aider les gens à se réveiller rapidement, elle courrait partout dehors malgré le froid et le vent.
Ceci n’est que mon expérience personnelle de cultivation. Veuillez s’il vous plaît me montrer ce qui ne serait pas approprié.
Traduit au Canada de l’anglais le 26 février 2009