(Minghui.org)
Pour l’anniversaire du Maître et l’anniversaire de la transmission publique du Falun Dafa
Sur East Broadway à Vancouver, dans un petit marché permanent, il y a une échoppe de fleurs qui vend des fleurs fraîches à longueur d’année. J’en suis une fidèle cliente.
Chaque semaine, je vais y choisir un bouquet de fleurs fraîches. Les vendeurs me connaissent tous et emballent les fleurs de la même façon pour moi avec un sourire. Ces fleurs ne sont pas pour accueillir un invité, donc pas besoin d’un emballage spécial. Je les emmène à la maison et je les place au même endroit, dans le même vase.
Ces jolies fleurs éclatantes sont pour mon Maître. Il est Le maître suprême et Seul à apprécier mon profond respect avec ces fleurs dans ce monde affairé.
Alors que les êtres humains sur cette terre étaient menés par leurs désirs pour les profits matériels, et la moralité en déclin hors de contrôle, et qu’ils avaient presque renoncé à eux-mêmes, Maître est venu. Il a propagé son Dafa de haute vertu. Soudain, une myriade de rayons dorés ont percé les nuages et le brouillard. Tant d’âmes abîmées se sont éveillées, et l’humanité a finalement eu son espoir longtemps attendu.
C’est déjà la période de la fin du Dharma, et seule la Loi du Maître peut changer le cœur humain- rien d’autre ne marchera. C’est le Falun Gong qui a été propagé tout autour du monde pendant dix sept ans et pratiqué par 100, 000,000 personnes.
Cent millions de pratiquants de Falun Dafa ont 100, 000,000 d’histoires. Mon histoire a commence dans une bibliothèque – à partir d’un imprimé laissé avec un message à propos d’un cours d’exercices gratuit. Avant même que les implications aient pénétré, je m’étais déjà précipitée pour apprendre. Falun Gong est différent des autres pratiques. Falun Gong enseigne d’abord la " cultivation" et ensuite la" pratique "» dès le tout début. Par conséquence, les pratiquants doivent lire le livre et étudier le Fa.
Avant même d’avoir fini d’apprendre les cinq séries d’exercices. J’avais lu le livre Zhuan Falun . Après l’avoir lu, je l’ai refermé avec un long soupir. Bien qu’il y ait de nombreux livres dans notre monde, je n’ai plus besoin de n’en chercher aucun, car c’est le meilleur livre que je n’ai jamais lu. Je sais qu’il est le meilleur. Dafa s’est propagé si largement, car il répond à toutes les énigmes dans le monde humain. Aucune sagesse humaine ni connaissance ne peut être comparée à Dafa. Pour cette vie, il n’y a plus d’inquiétude et plus besoin de se retourner à nouveau. Je m’efforce seulement d’abandonner les pensées distrayantes de cette vie et de vies antérieures, pour suivre Maître à la maison et retourner à l’origine de ma vie véritable … Ma merveilleuse et éternelle maison.
Je ne pensais pas me souvenir du jour où j’ai encadré le portrait du Maître et l’ai placé à un endroit bien en vu dans la salle d’étude. J’ai ajouté des fleurs dans un vase de cristal devant le portrait du Maitre.
Je me souviens que Maître a dit qu’il ne veut rien des pratiquants – ni prosternation ni vénération. Maître veut seulement d’un pratiquant son cœur sincère. Je comprends aussi, très profondément les implications des paroles du Maître à propos de miséricorde infinie. Néanmoins, j’ai continuellement mis des fleurs fraîches devant le portrait du Maître pendant toutes ces années.
C’est une sorte de respect, au-delà du sentiment humain et de tout espoir humain. Lorsque je me tiens devant le portrait du Maître les mains jointes, je sais, je n’ai pas de pensées distrayantes. Je suis pure comme un enfant lavé – c’est le véritable respect envers Maître.
Je garde à l’esprit que Maître a dit qu’il aime les enfants, car les enfants sont purs, et leurs pensées sont très propres sans notions humaines. Le but de cette pratique est de retourner à l’état de pureté.
Lors de ma seconde année de pratique, je suis allée à Chicago pour une conférence de partage d’expériences de Falun Dafa, où nous avons pratiqué les exercices à Lake Center Park à Chicago. Maître est venu aussi. Alors qu’un enfant passait devant Maître, Il a touché la tête de l’enfant avec compassion. Je veux aussi avoir la pureté d’un enfant devant le Maître.
Ce jour de juin à Lake Center Park il y avait de légers nuages et du vent. Nous entourions le Maître et Il nous regardait toujours avec un sourire. Un pratiquant est devenu confus et désorienté durant la pratique. Il est je ne sais comment tombé dans le lac. L’eau n’était pas profonde à cet endroit, et il s’est relevé l’eau goûtant de son corps. Maître l’a gentiment tiré hors de l’eau. Je me suis souvenu de cette scène bien des années plus tard et me suis soudain éveillée… Ne sommes nous pas repêchés par le Maître de la grande cuve de teinture de ce monde humains qui a détruit tant de gens ?
Au début, je présentais un petit bouquet d’œillets ou de lys devant le portrait du Maître. Les années de ma pratique passant, j’ai raffiné mon sens du sacré en réalisant avec une gratitude éternelle la profonde signification du mot « Maître. » Aussi, un jour j’ai emporté le petit vase de cristal et l’ai remplacé par un haut vase de cristal. A présent, je peux encore mieux disposer les jolies fleurs pour Maître.
Chaque jour, je joins mes mains devant ma poitrine pour montrer mon respect au Maître. Quelquefois, je ne suis pas assez diligente pour regarder Maître, alors je regarde seulement les fleurs. Je me dis à moi-même, Maître, je ferais bien. Je sais, ce n’est qu’en m’efforçant d'aller de l’avant et en devenant un être vraiment désintéressé que je peux témoigner le plus grand respect au Maître.
Traduit de l’anglais le 13 juin 2009