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Le Maître m'a donné une nouvelle vie

17 août 2009

(Minghui.org)

J’ai 60 ans et j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1998. Avant de commencer à pratiquer, j'ai eu toutes sortes de maladies. J'ai essayé divers médicaments et méthodes, mais mes maladies ne s’amélioraient pas. Tout ce que j'essayais ne me faisait que souffrir davantage et je gaspillais mon argent.

Juste au moment quand j'étais sur le point d'abandonner tout espoir, le 6 octobre 1998, j’ai commencé à pratiquer. Cinq jours plus tard, toutes mes maladies ont disparu et je ne sentais plus aucune douleur ! Je ne peux pas décrire la joie que j’ai éprouvée. J'ai été stupéfié : comment le Dafa et le Maître peuvent-ils être aussi bons ? Sans injection ou médicament, toutes mes maladies ont disparu. Comment puis-je être aussi chanceux ? J'ai secrètement décidé de pratiquer diligemment. Si cela n’avait pas été fait par le Maître, je ne serais probablement plus vivant aujourd'hui. C'est le Maître qui a tout arrangé et qui a pris soin de moi.

Validation de la Loi

En moins d'une année après avoir commencé à pratiquer, le PCC a commencé à persécuter le Falun Dafa. L’un après l’autre, les pratiquants sont allés à Pékin pour faire appel et clarifier à la vérité sur le Dafa. A ce moment, en se rendant compte qu'une si bonne voie de cultivation et le Maître m'avaient donné une deuxième vie, j'ai dû mettre tous mes efforts dans la validation de la Loi. Je suis allé à Pékin pour faire appel au gouvernement sans aucune hésitation. Mais j'ai été arrêté dès que j’y suis arrivé et j’ai été détenu dans un centre de détention pendant 45 jours. En 2002, j'ai été de nouveau arrêté et condamné à trois ans de prison. J’ai réussi à sortir après deux ans et demi. Mais les pratiquants étaient mal traités en prison et leurs familles ont été impliquées. Pendant ces deux ans, mon père et moi nous avons passé la veille du Nouvel an en prison.

Sortir de l’ombre

En étant incapable d'étudier le Loi pendant plusieurs années d'emprisonnement, j'ai souffert d’interférence - j'ai été sujet d’une grave inquiétude et de la peur quand je suis sorti de la prison. A quel point ma peur  était-elle grave? J'avais peur même quand j'entendais des forts klaxons de voitures, des sonnettes de bicyclettes, des sonneries à la porte et des coups de téléphone. Quand j'ai entendu n'importe quel genre de sonnerie, j’étais secoué de tout mon corps et je ne pouvais pas rester debout, ni parler. Quand mon père m'a demandé ce qui n’allait pas, j'ai répondu d’une façon indistincte en lui signalant de passer les enregistrements des conférences du Maître. Je me sentais un peu mieux quand j'écoutais les conférences du Maître. Le Maître a pris soin de moi pendant cette période critique. Probablement que je n’aurais pas pu passer chaque épreuve et tribulation sans l’aide du Maître.

Selon ma compréhension personnelle, les pratiquants qui sont sortis des prisons et des camps de travaux forcés ont besoin de l’assistance de leurs compagnons de pratique. Nous devons utiliser les pensées droites pour les aider, étudier la Loi ensemble, partager avec eux et envoyer ensemble des pensées droites. Nous ne devons avoir aucune mauvaise pensée à leur sujet et ainsi créer des mauvais sentiments dans l'espace entourant ces pratiquants. Cela ne les aidera pas et cela les blessera.

J'étudie le Loi et j’envoie des pensées droites chaque matin et je sors pour clarifier la vérité dans l'après-midi. J'écris aussi des articles et je vais à la campagne pour distribuer des documents d’information sur le Falun Dafa. En plus, je vais en proximité des prisons pour envoyer des pensées droites même quand il pleut. Je m’assois dans la forêt pendant une heure et j’envoie des pensées droites. Au début, j’avais peur. Alors j'ai découvert que chaque nouvelle fois ma peur diminuait et que mes mauvaises pensées étaient de plus en plus éliminées. L'envoi des pensées droites près de la prison m’a donné une sensation d’être très léger - je me sentais de mieux en mieux et ma peur a disparu. C’est comme l’a dit le Maître : «Quand les pensées sont droites la perversité s'écroule » (« Qu'y a-t-il à craindre ? » dans Hong Yin II). La perversité n'est rien. C'était le Maître qui m'a sauvé pendant la période la plus difficile. Le Maître m'a fait revenir pour valider la Loi et sauver les êtres.

Clarifier la vérité et sauver les êtres

Le Maître m'a redonné ma vie. Clarifier la vérité et sauver les êtres est la plus grande responsabilité que le Maître nous a confiée. Après être libéré de la prison, j’ai pu sortir de son ombre avec la protection du Maître et l’aide des compagnons de pratique. Mon état s'est amélioré et je peux mieux clarifier la vérité.

La majorité de mes parents, ainsi que de ceux de mon mari habitent à la campagne. Les conditions de vie à la campagne sont vraiment terribles. J’amenais toujours des cadeaux quand je les visitais. Je portais les cadeaux dans un sac sur mon dos quand je visitais chaque maison pour clarifier la vérité et les encourager à se retirer du PCC. J’ignorais le froid glacial en hiver et la forte chaleur en été. Pendant les jours pluvieux, les routes étaient très boueuses. Je marchais souvent dans la bouse de vache et j’étais retenu quand mes chaussures collaient et mon sac tombait dans la boue. Avec un parapluie et un sac sur mon dos, je marchais sur le chemin boueux d’une maison à l’autre sans manquer même une. Certains de nos parents ont été gravement empoisonnés par le PCC, et je leur ai clarifié la vérité beaucoup de fois jusqu'à ce qu'ils comprennent et acceptent de se retirer du PCC.

Après avoir fini de clarifier la vérité à mes parents, j'ai fait la même chose aux amis, aux voisins et à mes collègues. J’étudiais la Loi le matin et je clarifiais la vérité dans l'après-midi sans arrêt, même pendant les vacances du Nouvel An. Chaque fois, j’arrivais à persuader plus qu’une douzaine de personnes d’abandonner le PCC.


Traduit de l’anglais en Suisse le 14 août 2009