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Maître m’a repêchée de l’enfer pour me purifier

4 août 2009 |   Écrit par une pratiquante en Chine

(Minghui.org)

J’ai maintenant 56 ans, mais ceux qui ne le savent pas pensent que j’en ai 40. Ma santé semble valider Dafa. Mes voisins disent : « Nous n’apprendrons pas d’autre qigong. Si nous en choisissons un, c’est celui que Shufen pratique, le Falun Gong. »

Avant de pratiquer, je me disputais toujours avec les autres pour mes intérêts personnels même juste pour prouver que j’avais raison et sauver la face. A l’automne 1982, mon entreprise distribuait des appartements aux employés. De mon point de vue, il était tout à fait justifié que j’en aie un, mais finalement, le directeur ne m’en a pas attribué. Je suis allée me disputer avec lui. En plus, j’ai porté plainte contre lui auprès de ses supérieurs. Résultat, il a été sévèrement critiqué par son supérieur et il a vite été défait de ses fonctions.

Mais peu après, j’ai commencé à avoir mal à la bouche. Parfois je prenais des médicaments sans le dire à mon mari. Je faisais de mon mieux pour endurer la douleur sans qu’il soit au courant. Fin 1991, je n’ai pas pu supporter la douleur plus longtemps et suis allée chez un médecin. Après quelques jours d’examens, les résultats sont arrivés, mais ils ne me disaient pas ce dont je souffrais. Au lieu de cela, ils m’ont conseillé d’aller ailleurs pour d’autres examens et traitements. Dans un hôpital plus à la pointe, on m’a dit que j’avais un cancer des gencives en phase terminale.

Après des irradiations et de la chimiothérapie, ainsi qu’une opération, toute ma mâchoire inférieure est devenue poreuse ; c’était comme si mon os était micro fissuré de partout. Ensuite mon visage s’est affaissé. Les quelques dents qui me restaient après l’opération ont dû être vissées dans ma mâchoire. Ma vie, c’était comme la mort – je ne pouvais plus parler, ni manger, ni bouger. Afin de ne plus bouger, je suis restée assise dans un coin pendant plus de 60 jours. Mais ma santé ne s’améliorait toujours pas. En plus, l’opération avait endommagé mes glandes salivaires, et je ne pouvais plus du tout produire de salive. J’avais toujours la bouche très sèche. J’avais besoin de boire de l’eau en permanence pour m’humecter la bouche, donc j’avais toujours sur moi une bombonne d’eau.

Mes médecins voulaient m’opérer une deuxième fois. J’ai refusé, parce que l’anesthésie n’avait aucun effet sur moi. Quelle que doit la dose d’anesthésique qu’ils m’injectaient, je sentais toujours la douleur. Ma première opération avait été horriblement douloureuse. Après cela, il ne me restait que deux centimètres d’os sous la gencive inférieure droite. Je sentais l’os bouger sous ma chair. Je suis restée à l’hôpital pendant plus de cinq mois. J’y ai dépensé énormément d’argent ; j’y ai beaucoup souffert ; mon mari et moi avons beaucoup pleuré ; mais mon état ne s’améliorait toujours pas.

Ayant perdu toute confiance dans l’hôpital, j’ai soudain pensé au qigong. Peut-être que seul le qigong pouvait me sauver. Mon mari était d’accord. Nous avons parlé à mes médecins, et ils étaient d’accord aussi. En fait ils avaient déjà réalisé qu’ils ne pouvaient rien faire pour moi. Ils pensaient que je n’avais plus qu’à rentrer chez moi et attendre la fin.

Quand j’étais malade, mon mari me rapportait souvent des présents à la maison pour me faire plaisir. Un jour il a rapporté un petit melon tout brillant et coloré. J’ai beaucoup apprécié. Je l’ai tenu dans les mains pour savourer sans m’en lasser sa couleur et les fines nervures sur sa peau. Soudain, j’ai remarqué une tache dessus. Je l’ai grattée doucement avec mon ongle. Mais plusieurs heures plus tard, la tache est réapparue. Cela m’a fait réfléchir : « Ce petit melon est déjà détaché de sa vigne, mais il peut encore changer… n’est ce pas vrai pour moi aussi ? » Ceci a renforcé mon courage et ma confiance pour lutter contre la maladie. Après cela, je me suis forcée à manger plus. Même si c’était très difficile, j’avalais la nourriture liquide avec un tube, parce que mon système digestif fonctionnait encore bien. J’ai commencé à faire des rêves dans lesquels une personne, dont le visage était brouillé, me guidait en volant jusqu’à ce que nous parvenions dans un endroit lointain, une mer ouverte et nous restions debout à la surface de l’eau. Parfois nous volions jusqu’à une grande forêt, ensuite nous asseyions sur une pierre. Il a commencé à purifier mon corps. Ensuite il me ramenait à la maison. Après, quand j’ai commencé à me cultiver dans Dafa, j’ai réalisé que Maître prenait déjà soin de moi.

En mai 1997, le fils de la famille allait se marier. Mon beau-père a insisté pour que j’aille à la cérémonie, en disant que la joie de la fête pourrait m’aider à guérir. Donc je suis allée dans un magasin m’acheter de beaux vêtements. Au magasin, j’ai vu une ancienne collègue du nom de Zhen. Elle m’a accueillie chaleureusement en me demandant comment j’allais. J’ai répondu : « Tu as vu la tête que j’ai ! J’attends la mort ! » Elle a dit : « Je t’en prie, pratique le Falun Gong, et tu guériras. » J’ai répondu : « OK ! Je vais le faire. »

Après mes achats, elle m’a emmenée dans un point de pratique. Là j’ai rencontré d’autres pratiquants, ce qui m’a procuré beaucoup de joie. Ils m’ont dit de ne pas cultiver dans une autre voie de cultivation ([le célèbre principe des religions « Pas deux écoles de Loi » tel que décrit dans Zhuan Falun]. Ensuite je me suis souvenue de tous les autres qi gongs que j’avais essayés pour me soigner. A l’époque je pratiquais encore d’autres qi gongs et avais à la maison des livres et autres matériels. Donc j’ai compris que je devais m’en débarrasser complètement. Ensuite, je n’ai accepté chez moi que des livres de Dafa. Quand j’ai ouvert le livre de Dafa la première fois, je ne voulais plus le reposer. Mon mari a vu que je donnais l’impression d’oublier tout le reste ; il voulait le lire aussi. Inquiète de ne pas pouvoir continuer à lire ce livre, parfois j’allais jusqu’à le cacher. Un soir, j’ai rejoint le groupe d’étude de la Loi pour écouter la première conférence de Maître. En rentrant chez moi après, j’avais le corps si léger et plein d’énergie que j’avais l’impression que mes pieds ne touchaient pas le sol. Une fois chez moi, j’ai vu des cacahouètes sur la table. J’ai commencé à en manger. Mon mari a eu très peur. Il a crié : « Tu veux mourir ou quoi !? » Il m’a pris les cacahouètes des mains et les a jetées par terre. Il m’a fait peur, mais j’ai découvert que je pouvais vraiment manger. J’étais si contente que je voulais crier de joie.

Moins de sept jours après avoir commencé à pratiquer le Falun Gong, j’avais presque guéri. Toutes mes maladies, de mon cancer des gencives, à mes problèmes de foie en passant par mes maladies gynécologiques, l’inflammation de ma kératine, mes hémorroïdes, mon appendicite, etc. tout a disparu. C’était incroyable ! J’ai vraiment fait l’expérience du pouvoir et des miracles de Dafa.

Un jour où j’étais allongée sur mon lit à moitié endormie, j’ai eu l’impression que quelqu’un prenait les mauvaises choses de mon corps avec sa grande main, et de manière répétée. En me réveillant, je me sentais très à l’aise.

Après avoir obtenu la Loi en mai 1997, le Falun Dafa de Maître m’a complètement changée, je suis passée de l’état d’une morte vivante à celui d’une personne en bonne santé. Quelle chance j’avais ! Je voulais saluer le Maître en joignant les mains et en me prosternant ! Je vais rendre à Maître ce qu’Il m’a donné en ayant des pensées droites et des actions droites. Quelqu’un tente toujours de me persuader d’aller me faire examiner à l’hôpital. Je refuse toujours. Je suis déjà en parfaite santé ! Même si je ressentais un quelconque inconfort, je ne le prendrais pas au sérieux, parce que je sais que ce n’est pas une vraie maladie mais une épreuve à travers laquelle j’ai l’occasion d’éliminer mon karma, ce qui est une bonne chose. Je crois totalement dans ce que dit Maître. Un jour j’avais des démangeaisons sur tout le corps, comme si on me brûlait la peau. Ça faisait mal et je ne pouvais pas y toucher. Je ne savais même plus où poser mes bras, ni où m’asseoir. Mais ça ne m’inquiétait pas et je continuais à étudier la Loi et à faire les exercices comme d’habitude. Et j’arrivais aussi à faire tout le reste de mon travail.

Parfois en bavardant avec mon mari, je lui rappelais que de l’automne 1982 à mai 1997 (au total 15 ans), j’avais souffert d’une maladie aussi grave ; et pourtant durant tout ce temps, ma vie avait été préservée. Comment avais-je pu survivre pendant si longtemps ? C’est parce que j’attendais Dafa. Sept jours après avoir commencé à pratiquer Dafa toutes mes maladies ont disparu. C’est Maître qui m’a sauvée ; c’est Maître qui a purifié mon corps ; c’est Maître qui m’a repêchée de l’abîme puant et m’a purifiée. Si tu n’avais pas été témoin de tout cela, tu n’y aurais pas cru. Donc il est clair que Maître m’a donné une autre vie pour que je puisse cultiver le Falun Gong.

Quand la persécution a commencé, au début, je n’avais aucun contact avec l’extérieur. Je ne savais pas comment continuer à me cultiver. Je ne lisais pas beaucoup les livres de Dafa et j’avais presque arrêté de pratiquer les cinq exercices. Je ne savais pas non plus que je devais clarifier la vérité pour dénoncer les mensonges pervers fabriqués par les autorités. Je ne faisais que rester à la maison sans rien faire. Par la suite j’ai fait des rêves : le robinet de mon appartement s’est mis à fuir, parfois il goûtait lentement. Parfois l’eau éclaboussait partout. Parfois le réservoir d’eau éclatait et l’eau inondait tout. Parfois je voyais même l’eau sortir du sol, etc. Quand je faisais de tels rêves, je ne réfléchissais pas à leur signification.

Un jour j’ai soudain réalisé que c’était probablement Maître qui me donnait des signes pour me faire avancer et ne pas me laisser si passive. Je rêvais aussi souvent que je cueillais des champignons (en chinois « champignon » veut dire aussi remettre les choses à plus tard). Maître m’avait donné des signes ; je ne pouvais pas continuer à lambiner. J’avais une immense raison de suivre les signes de Maître. Je ne pouvais pas être ingrate. Même les gens ordinaires savent que « quand on reçoit la faveur d’une goutte d’eau, il faut le rembourser par le débit d’un ruisseau. » Dafa était attaqué, je ne pouvais pas rester sans rien faire. Donc je suis allée à Pékin au bureau des appels, pour dire aux autorités que le Falun Dafa était une méthode orthodoxe et le meilleur qigong, que Falun Gong est injustement traité. Résultat, j’ai été arrêtée arbitrairement par la police et envoyée dans un centre de détention de ma ville. Là, les policiers m’ont ordonné de signer un papier pour renoncer à pratiquer le Falun Gong. J’ai écrit : « Je vais pratiquer Dafa jusqu’au bout, et je ne changerai jamais d’avis. » Un policier du nom de Yao en voyant cela est devenu furieux et il a commencé à m’insulter.

Après que tous les pratiquants aient été relâchés, j’ai continué à être détenue sur mon lieu de travail. Plusieurs jours plus tard, mon fils est venu me rendre visite avant d’aller à l’université. Mes sentiments humains ont repris le dessus, et j’ai signé une lettre renonçant au Falun Gong – même si je savais que c’était grave. En ramassant mon linge de lit pour me diriger vers la porte, j’ai trébuché et suis tombée. Je me suis blessé à la cheville assez gravement. Je me suis dit : « Relève-toi tout de suite. Je ne reconnais pas la persécution. Bien que j’aie fait une erreur, je vais recommencer à bien faire. »

Après avoir réalisé que le fait d’avoir signé cette lettre était mal, j’ai écrit une déclaration solennelle pour dire que tout ce que j’avais dit et fait qui ne se conformait pas à Dafa était nul et non avenu, que je redoublerais d’efforts pour compenser cette perte que j’avais infligée à Dafa et que je continuerais à me cultiver jusqu’au bout. Après cela, j’ai commencé à apporter au groupe d’étude de la Loi « l’Hebdomadaire de Minghui » et autres documents de clarification. Je n’ai jamais arrêté de le faire, qu’il pleuve, qu’il vente, qu’il fasse chaud ou qu’il gèle, jour et nuit, ou même durant les fêtes. Parfois je ne trouvais pas la personne qui distribuait les documents, je les distribuais toute seule. Je faisais soigneusement et sérieusement les trois choses qu’un pratiquant doit bien faire. Quand je devenais un peu paresseuse ou que je manquais de diligence, les autres pratiquants venaient me rendre visite et l’on parlait de xiulian. Maître leur assignait de me donner un « coup de bâton ».

Quand une personne se cultive, toute sa famille en bénéficie. Ceci est tellement vrai. Avant d’obtenir la Loi, mon mari était connu sur son lieu de travail pour souffrir d’horribles douleurs dorsales. Et aussi, il attrapait toujours des rhumes sévères plusieurs fois par an et devait aller à l’hôpital. Maintenant il ne souffre plus de tout cela. Il dit à ses amis et à sa famille : « Le Falun Gong est merveilleux ». Ma femme le pratique et j’en bénéficie aussi. » Un jour il est parti en voyage d’affaires. Sur le chemin du retour il a eu un accident de voiture. La voiture a heurté trois gros arbres avant de s’arrêter. Le devant du véhicule était tout écrasé. Mon mari était allongé sur le bord de la route. Les policiers de la circulation pensaient qu’il était gravement blessé et risquait de mourir, mais il n’était pas blessé du tout. Ceci était sa récompense pour avoir compris la vérité et avoir clarifié la vérité aux autres. C’était la bénédiction de Dafa.

Ma belle mère en voyant mon incroyable guérison s’est également mise à pratiquer le Falun Gong. Elle a 81 ans et peut lire le Zhuan Falun. Elle m’a demandé de lui enseigner les cinq exercices. Elle est très déterminée dans son xiulian et très active pour étudier la Loi et pratiquer. Elle aime clarifier la vérité quand elle rencontre des voisins et les encourage à démissionner du Parti communiste chinois et de ses organisations affiliées. Elle dit à ses fils de ne pas faire de mauvaises choses qui endommageraient Dafa ou seraient contre les principes du Ciel.

Quand j’étais à l’hôpital, le médecin local qui m’avait fait passer des examens a demandé de mes nouvelles pour savoir si j’étais toujours vivante. Quand il a appris que je m’étais complètement guérie en pratiquant le Falun Gong, il était très surpris et ne pouvait pas le croire. Il m’a contactée pour me demander de faire toutes sortes de mouvements devant lui. En voyant cela, il n’a pas eu d’autre choix que d’admirer le Falun Gong. Beaucoup d’autres dames âgées de mon village ont aussi commencé à pratiquer le Falun Gong, parce qu’elles avaient toutes été témoins de ma guérison spectaculaire en pratiquant Falun Dafa. Je pense qu’il y aura beaucoup d’autres gens qui vont venir pratiquer le Falun Dafa.

Traduit de l'anglais en France le 31 juillet 2009