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Liu Xiaohai et ses proches sont persécutés dans la ville de Laiwu, province du Shandong

19 septembre 2009 |   Écrit par un correspondant de la ville de Laiwu

(Minghui.org)

Nom : Liu Xiaohai (刘效海)
Sexe : Homme
Date de naissance : inconnue
Adresse : inconnue
Occupation: Ancien employé de la compagnie Panxi Coal dans la ville de Laiwu
Date de la plus récente arrestation : le 9 avril 2009
Lieu de détention le plus récent : inconnu
Ville : Laiwu
Province: Shandong
Abus dont il a souffert : Emprisonnement, travaux forcés

Le 9 avril 2009, M. Liu Xiaohai, ancien employé de la compagnie Panxi Coal à Laiwu, ainsi que son épouse, Mme Wang Haiyan, ont été arrêtés chez sa plus jeune sœur dans la ville de Laiwu. Mme Wang Haiyan a été brutalement torturée et n’a pas été libérée jusqu’à ce qu’elle soit au seuil de la mort. M. Liu Xiaohai, sa plus jeune sœur, Mme Liu Aifang, ainsi que son beau-frère, M. Lv Changming, sont tous dans un camp de travaux forcés et leurs demeures respectives ont été pillées, et leurs biens volés.

Depuis que la persécution envers le Falun Gong a commencé, M. Liu Xiaohai a été détenu à plusieurs reprises. De plus, il a reçu des amendes, a été surveillé, et privé de sa liberté personnelle.

Liu Xiaohai a commencé à pratiquer le Falun Gong en 1998. Avant de devenir pratiquants, Xiaohai et son épouse étaient en mauvaise santé. Xiaohai avait une bronchite – ses poumons étaient atteints et les rayons-x démontraient des ombrages et des cicatrices. Son épouse, Haiyan, avait une faible fièvre à chaque jour et ne cessait de tousser la nuit, et avait des maladies mineures ici et là sur une base régulière. Après avoir pratiqué le Falun Gong, tous, jeunes et moins jeunes, sont devenus très en santé et ont été harmonieux entre eux dans la famille. Cependant, depuis que le parti communiste chinois (PCC) a commencé à persécuter le Falun Gong, il n’y a pas eu de paix, ni de joie pour la famille de M. Liu.

Le 20 juillet 1999, avec la télévision et les autres médias calomniant le Falun Gong, Liu Xiaohai et Wang Haiyan, qui avaient bénéficié autant de la pratique du Falun Gong, sont allés de l’avant et ont parlé en faveur de la pratique. En conséquence, ils ont perdu leur liberté et ont été terrorisés. Le département de la sécurité de Panxi Coal avait régulièrement un employé assigné à surveiller et suivre M. Liu. On lui a enlevé sa position de chef de district. En réalisant qu’il devait choisir entre le Falun Gong et être membre du PCC, Liu Xiaohai était certain de la nature du PCC et a démissionné du parti par écrit de sa propre initiative.

Après cela, il a dû travailler en tant que ramasseur de charbon. Il était payé 150 yuans par mois, ce qui n’est pas assez pour faire vivre une personne, en plus qu’il devait soutenir son épouse et son enfant. Pendant ce temps, les bonnes personnes ont pris sa défense, et il a été payé le même montant que son ancien salaire. M. Liu n’était pas avare. Il ne prenait pas la propriété publique et n’acceptait même rien de ce qui lui était donné et avisait les autres de ne rien accepter qui ne leur appartenait pas. Il leur a dit de se souvenir : « Le bien sera récompensé par le bien, et le mal entraînera la rétribution. » Il ne s’est jamais plaint de ce qu’on lui donnait à faire, et il faisait bien son travail. Puisqu’il était si responsable, en peu de temps il a été promu à « assistant chef de district ».

Même s’il a eu une promotion, il est demeuré le même, et faisait les choses bien et de façon désintéressée. À ce moment, un jeune travailleur se faisait souvent crier après parce qu’il ne savait pas comment faire les choses. M. Liu a pris les devants et a dit : « Vous devriez lui enseigner un peu. Comment vous sentiriez-vous s’il était votre propre fils ? Nous savons comment nous nous sentirions. Nous devrions avoir un peu de patience et lui montrer comment faire les choses et aussi le laisser se concentrer sur les questions de sécurité. »

Une fois au travail, il a perdu pied et est tombé sur le ciment du deuxième étage. En entendant un gros « boum », tous sont sortis en vitesse de leurs bureaux, l’air apeuré. Ils ont dit : « Dépêchez-vous de l’emmener à l’hôpital. » Comme M. Liu se relevait, il a dit : « Ça va, je vais bien ! » pour que personne ne soit inquiet.

Le 22 août 2009

Traduit de l’anglais au Canada le 13 septembre 2009.