(Minghui.org)

Lors du tremblement de terre de Wenchuan il y a deux ans, on a vu de nombreux miracles. L'un d'eux est l'histoire de chiens qui ont sauvé une personne.

Une femme âgée avait été ensevelie sous les débris. Elle était coincée à mi-chemin entre des dalles de béton. Sa situation semblait désespérée. Deux chiens sont apparus et sont devenus ses compagnons. Ils lui ont apporté des morceaux de nourriture. Les chiens lui ont léché le visage et la bouche, pour moins lui faire sentir la soif. Ils sont restés avec elle. Elle a finalement été secourue 196 heures plus tard (plus de 8 jours).

Des récits historiques de chiens étant fidèles à leurs maîtres et même les sauvant abondent, mais la femme dans l'histoire du tremblement de terre n'était pas propriétaire de ces deux chiens. Néanmoins, le récit ci-dessus est une autre démonstration de la fidélité des chiens envers les hommes et leur capacité à sauver des gens dans de terribles situations.

Il y avait un article intéressant publié sur le site Minghui/Clartés et Sagesse quant à la capacité des chiens à discerner entre le bien et le mal. La pratiquante de Falun Gong Mme Lin Qiongfang de Guangyuan, province du Sichuan a été témoin de l'incident suivant en 2001 : un chef du centre de détention a convoqué une réunion avec toutes les détenues. Un fonctionnaire lisait à haute voix des informations sur le coup monté de « l'auto-immolation de la place Tiananmen ». Deux chiens sur le toit de l'édifice ont commencé à aboyer. Il a dû arrêter la lecture. Un autre gardien a crié aux chiens de la fermer et ils se sont arrêtés, mais ont de nouveau aboyé dès que la lecture a repris. Les fonctionnaires ont paniqué. Les gens riaient.

Bien sûr, beaucoup de gens dans le centre de détention ont traité cela comme une blague, ne le prenant pas trop au sérieux, mais l'incident suivant a eu un grand impact :

Un gardien a torturé la pratiquante Mme Su Qunhua en l'attachant à un pilier dans la cour. Le chef du centre et plusieurs gardiens étaient présents. Le gardien a donné l'ordre à un chien de mordre Mme Su. Le chien enchaîné était prêt à l'attaquer. Mme Su était calme et a dit au chien : « Ne me mords pas si je ne te dois rien. » Le chien ne l'a pas la mordue ; au contraire, il a mordu la corde et la libérée. Cette histoire s'est répandue dans tout le centre et dans les rues et est devenue un sujet de débat : le chien a discerné entre le bien et le mal et n'a pas mordu la pratiquante. Le gardien était plus mauvais que le chien.

Cet incident s'est produit il y a sept ou huit ans. Nous espérons que tout oppresseur dans le Parti communiste chinois connaissant cette histoire cessera de persécuter les pratiquants de Falun Gong et deviendra une meilleure personne.

Traduit de l'anglais au Canada