Falun Dafa Minghui.org www.minghui.org IMPRIMER

Survivre à des moments difficile grâce à la croyance droite en Dafa

6 octobre 2010


(Minghui.org)


Avant que je commence à pratiquer le Falun Gong, j'étais tourmentée par des étourdissements et de nombreuses autres maladies. Elles ont toutes disparu une fois que j'ai pratiqué le Falun Gong. Au début, j'ai rencontré beaucoup d'interférences dans ma cultivation et pratique, mais par ma croyance droite en Dafa, je les ai toutes surmontées.


Une fois, une personne atteinte d'une maladie mentale m'a frappé la tête avec une brique. Lors de l'impact, la brique s'est brisée, je n'ai pourtant eu qu'une petite bosse et je n'ai pas saigné ni ressenti de douleur. La bosse n'est apparue que pendant quelques minutes. Une autre fois, un cambrioleur s'est introduit dans ma maison. Mystérieusement, je me suis réveillée de mon profond sommeil, ce qui a déjoué le plan malveillant du voleur. Quelques jours avant cet incident, je m'étais réveillée à 3h pour étudier la Loi et me rendre ensuite au parc pour rejoindre le groupe de pratique à 4h. Pluie ou soleil, hiver ou été, nous n'avons jamais cessé de faire nos exercices du matin. Nous avons toujours nettoyé le site avant de partir, ce qui a laissé une bonne impression aux autres personnes qui s'exerçaient également là.


Une nuit, quand je me suis réveillée et assise dans mon lit, j'ai soudainement vu un grand Falun tourner devant moi éclairant de ses rayons lumineuses toutes les directions. La pièce s'est instantanément illuminée, la rendant encore plus lumineuse qu'avec la lumière du jour. Le Falun était tellement magnifique et coloré. J'ai réalisé qu'il s'agissait d'un encouragement du Maître.


La persécution a commencé en 1999. Face à des mensonges et des émissions diffamatoires par CCTV, nous avons pensé que cela avait été lancé par la perversité pour persécuter Dafa. Comme disciples de Dafa, nous avons estimé que nous devions aller à Pékin faire appel.


Dans l'intention de protéger la Loi, j'ai pris le train avec une dizaine de pratiquants pour aller faire appel à Pékin en décembre 1999. Malheureusement, par peur, un des membres de la famille d'un pratiquant nous a signalés. Le train a été forcé à s'arrêter et des agents sont montés à bord pour inspecter la carte d'identité de chacun. Par conséquent, nous avons été arrêtés et envoyés au centre de détention local.


Je suis allée avec un autre pratiquant à Pékin au début de l'année 2000. En route vers la place Tiananmen, nous avons été interceptés par la police et détenus dans trois pièces séparées. Une pratiquante a été dépouillée et ses mains ont été menottées derrière son dos. J'ai aussi vu une jeune disciple de Dafa qui a continué à faire les exercices malgré la torture. Finalement, elle a été traînée par les cheveux jusqu'aux toilettes.


Nous avons été retransférés vers un centre de détention local et détenus durant six mois. Après notre libération, j'ai continué la distribution de documents clarifiant la vérité. Plus tard, je me suis faite arrêter et envoyer au département de police pour un procès. J'ai refusé de coopérer. Un agent s'est placé juste à côté de moi et a crié de m'agenouiller, mais je n'ai pas bronché. Il m'a frappé les jambes et a tenté de me faire agenouiller, mais ses efforts ont été vains. En furie, il est venu près de moi le visage rempli de colère. Un autre policier a saisi mon bras et a tenté de me menotter, mais j'ai gardé mon calme et n'ai eu aucune crainte. Dès qu'il a touché mes vêtements, il a été choqué par de l'électricité. Reculant d'une dizaine de pas il s'est écrié : « Elle a des pouvoirs électriques ! » Par autosatisfaction, j'ai ri à haute voix. Instantanément, cette capacité a disparu. « Regardez, elle est pleine d'elle-même ! » a-t-il commenté. Un troisième policier est venu me menotter et cette fois il a réussi. J'ai immédiatement réalisé, que l'on soit humain ou immortel, c'est effectivement tout comme ce qui est dit dans Zhuan Falun : « Le bien ou le mal surgit d’une seule pensée... » !


Plus tard, j'ai été envoyée au camp de travaux forcés. Dans le bus, il y avait environ une dizaine de pratiquants. Ensemble nous avons émis la pensée droite. Le bus s'est arrêté à plusieurs reprises et à un moment donné même mes menottes se sont déverrouillées. Avec regret, mes conceptions humaines m'ont empêché de saisir l'occasion de m'échapper. Avant que nous soyons envoyés à l'examen physique, une compagne de cultivation m'a remis des enseignements de Dafa écrits à la main pour les garder et je les ai cachés au-dessus des conduites d'eau. Après l'examen, je voulais les reprendre, cependant, j'avais peur. Mais j'ai pensé : « Je suis une disciple de Dafa. Je ne peux pas perdre les enseignements de Dafa. » Avec la protection du Maître, je les ai récupérés. Avant de nous transférer à nouveau, la police a fouillé tout le monde ainsi que nos sacs. Lorsqu'ils ont fouillé mon sac, je les ai gardés sur moi. Lorsqu'ils m'ont fouillée, je les ai mis dans mon sac. Ainsi, avec l'aide de Maître, j'ai pu garder les enseignements hors de portée de la perversité, ce qui a permis à de nombreux autres pratiquants d'avoir la chance de les lire.


Au nouveau camp de travail, il y avait des affiches diffamant Dafa partout – dans le hall, sur les murs et à l'intérieur de la salle de TV. Après discussion, nous avons décidé d'agir et de nous débarrasser de ceux-ci. Nous avons demandé à regarder la télévision la nuit du Nouvel An. Tout le monde a retroussé ses manches pour détruire tout le matériel de la perversité. Par conséquent, on nous a riposté contre. La police a apporté des matraques électriques pour frapper les pratiquantes en passant de pièce en pièce. Mais les pratiquantes de Dafa ont usé de grande bienveillance pour faire face à la perversité noblement et ouvertement. En conséquence, cela a efficacement désintégré la perversité et plus personne n'a suspendu de document diffamatoire envers Dafa.


Au camp de travail, les policiers ont souvent battu les disciples de Dafa. Pour celles qui refusaient d'être converties, elles ont été torturées en les laissant assises sur un minuscule banc ou en les privant de sommeil. Une fois, la police a menotté et suspendu de nombreuses pratiquantes en plein air sous un soleil de plomb. Certaines pratiquantes en ont perdu conscience. Mes pieds ont gonflé à cause de la torture d'être assise sur un petit banc. Mes mains ont également été menottées à un lit de fer à de nombreuses reprises. Une pratiquante a tellement été sauvagement battue par la police que son sang a séché avec son pantalon agissant comme un adhésif sur le pantalon le rendant impossible à retirer. À la vue d'une telle scène, même un toxicomane au dur caractère a fondu en larmes.


De nombreux pratiquantes et moi-même avons entamé une grève de la faim afin d'empêcher la persécution, mais la police nous a gavées. Au départ, nous avons enduré passivement. Plus tard, je me suis souvenu de ce que le Maître nous a dit :


« En aucune circonstance on ne doit s’accorder aux exigences, ni aux ordres, ni aux instigations de la perversité. Si tout le monde agit ainsi, l’environnement ne sera plus comme ça. » (« La pensée droite des disciples de Dafa est puissante » dans « Points essentiels pour un avancement diligent II »)


Alors, la seconde fois qu'ils ont tenté de me gaver, j'ai émis la pensée droite : « Je suis une disciple de Dafa. Je ne devrais pas être gavée de nourriture. » Miraculeusement, les êtres pervers ont en effet échoué dans leur tentative de me gaver. Lorsqu'ils ont tenté de me faire des piqûres, je retirais les aiguilles. Lorsqu'ils ont essayé de m'insérer des tubes dans l'estomac, j'ai retiré les tubes. En fin de compte, la police a épuisé toutes les méthodes auxquelles ils ont pu penser et ils ont dû me libérer.


Au camp, il y avait de nombreux anciens pratiquants de Falun Gong qui avaient succombés à la persécution et étaient devenu collaborateurs. On leur a ordonné de bombarder les pratiquants de propos diffamant Dafa. Heureusement, j'ai pu réciter beaucoup de conférences du Maître. Chaque fois que je faisais face à un sophisme, je me rappelais instantanément la Loi correspondante à cet attaque pour répondre. En conséquence, cela a détruit tous les mensonges. Certains pratiquants n'arrivaient pas utiliser la Loi pour voir clairement et ne pas tomber dans leurs pièges. J'ai été frappée par ce que dit le Maître dans « Éliminer les interférences » :


« La Loi peut briser tous les attachements, la Loi peut briser toutes les perversités, la Loi peut briser tous les mensonges, la Loi peut affermir la pensée juste. » (« Points essentiels pour un avancement diligent II »)


Après avoir quitté le camp de travail, j'ai continué de m'efforcer à bien faire les trois choses, y compris la clarification de la vérité et persuader les personnes à quitter le PCC et ces organismes affiliés. Un jour, j'ai rencontré quelqu'un que je n'avais pas vu depuis les jours anciens à l'école. Il a exprimé de l'intérêt pour venir à la maison pour apprendre le Falun Gong. Sous-estimant le risque, j'ai cru en lui. Il est arrivé avec sa petite amie. Je lui ai permis d'emprunter des livres de Dafa et je leur ai passé des vidéos clarifiant la vérité via mon ordinateur. Il m'a signalé à la police le jour suivant, ils ont alors pris mon ordinateur et m'ont extorqué 2'000 yuans. Par la suite, je suis allée le voir plusieurs fois afin de lui clarifier la vérité. Finalement, il m'a rendu un livre. À travers cette leçon, j'ai réalisé qu'être prudent est notre responsabilité pour protéger la Loi.


Parfois au milieu de la nuit, j'ai traversé les montagnes et parcouru les rues et les ruelles avec d'autres compagnons de cultivation pour accrocher des affiches clarifiant la vérité et distribuer des documents clarifiant la vérité. Même si les efforts ont été épuisants, c'était très gratifiant. Tout a été rectifié par la puissance de la Loi. De plus, cela nous a apporté paix et harmonie. Les êtres sauvés par la Loi sont en train d'aller vers un avenir brillant et plein d'espoir.


Traduit de l'anglais au Canada