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Éliminer l'attachement au confort

7 novembre 2010 |   Écrit par un pratiquant de Dafa en Chine

(Minghui.org)

Mon état de cultivation n’a pas été bon pendant un bon moment. Je n’ai pas émis la pensée droite aux quatre moments fixés chaque jour, je n’ai pas étudié les enseignements de la Loi d’une façon adéquate et je ne me suis pas levé tôt pour faire les exercices. Quand j’ai examiné mon état de cultivation, j’ai réalisé que j'avais été interféré par mon attachement au confort.


J'ai reconnu que c’était une interférence. Je me sentais interféré par toutes sortes de mauvaises substances. Mais peu importe, je n'arrivais toujours pas à être vigilant. Dans la soirée, quand ma femme est revenue du travail, je me suis senti un peu mieux après avoir travaillé avec elle pour convaincre des gens à quitter le Parti communiste chinois sur Internet et après avoir écouté les histoires de sa cultivation du jour. Néanmoins, je me suis de nouveau relâché après qu’elle soit partie pour le travail le lendemain. Le problème a duré trois jours. La troisième après-midi, j‘ai réfléchi à ma situation et j’ai commencé à réaliser que les forces anciennes me tiraient en bas en profitant de mes conceptions humaines et des mauvaises substances dans mon champ que je n'avais pas éliminées. Elles venaient me tirer en bas quand je n’étudiais pas la Loi.


J’ai réalisé que je devais étudier la Loi, donc je suis retourné à la maison et j’ai ouvert mon ordinateur. J'ai regardé une conférence de Loi du Maître tout en étant assis dans la position du lotus. Mon esprit a rencontré de fortes interférences tandis que je regardais. Toutes sortes de pensées humaines et de mauvaises substances créaient continuellement encore plus de mauvaises pensées et de sentiments dans mon esprit. Alors j’ai pensé en moi-même que je voulais juste m’assimiler à Dafa, je suis un pratiquant, je voulais écouter attentivement la Loi du Maître. Après avoir pensé ainsi, l’interférence continuait à faire surface dans mon esprit, mais je la niais. Après avoir écouté une conférence, mon esprit devint vigilant.


Mais j'ai de nouveau raté les exercices le matin suivant. J'ai regardé à l'intérieur et j'ai réalisé qu'en plus du fait de ne pas arriver à faire les exercices le matin, je ne voulais pas cultiver diligemment, mais plutôt vivre la vie d'une personne ordinaire pour rendre ma vie plus facile. Par exemple, après avoir réalisé cela, j'ai été interféré et j'ai voulu étudier la Loi, j'ai choisi de regarder une vidéo d'une conférence de Loi plutôt que de lire le livre. Pourquoi me comportais-je de cette façon ? C'est exactement parce que je pensais qu'il était plus difficile de lire que de regarder la vidéo. Combien mon attachement au confort est fort ! Cela ne montre-t-il pas que je suis attaché à tout de la vie d'une personne ordinaire ?


Le Maître a souligné :


« Pouvoir ou non abandonner le cœur des gens ordinaires constitue la passe déterminante sur le chemin qui mène vers l’homme véritablement hors du commun. Tous les disciples se cultivant véritablement doivent la franchir, elle est la ligne de démarcation entre les pratiquants et les gens ordinaires. » (« Le Xiu véritable » dans « Points essentiels pour un avancement diligent »)


Si je ne veux pas me débarrasser de mon attachement au confort, cela veut dire que je ne veux pas cultiver vers des niveaux plus élevés. L'attachement au confort n’est pas seulement un obstacle pour étudier la Loi, faire les exercices et émettre la pensée droite, il affecte aussi chacune de mes pensées. Par conséquent, je n'arrive pas à être dans la Loi tout le temps et à me considérer comme un pratiquant. Cela affecte sérieusement la tâche de sauver les êtres que le Maître nous demande. Un tel attachement a sérieusement affecté les trois choses requises pour atteindre la plénitude parfaite. C’est vraiment une question très sérieuse.


Aujourd’hui, j'ai également réalisé cette lacune majeure en lisant l’article d’un compagnon de cultivation. J’écris cet article pour éliminer cet attachement et aussi désintégrer les diables pourris et les spectres pervers qui interfèrent avec ma cultivation en profitant de mes faiblesses.


Traduit de l'anglais au Canada