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Comment j'ai franchi le chemin de mes douze années de cultivation

23 décembre 2010 |   Écrit par une pratiquante de la province du Heilongjiang


De la septième conférence de partage d'expériences par Internet pour les pratiquants de Chine

(Minghui.org)

Salutations au Maître, salutations aux compagnons de cultivation !


Valider la Loi


Le Parti communiste chinois a commencé à persécuter le Falun Gong le 20 juillet 1999. Les pratiquants locaux et moi nous sommes éveillés au fait que nous devions sortir et aller à la Place Tiananmen pour valider la Loi et clarifier les faits au gouvernement.


Quand je suis montée à bord du train pour Pékin pour la première fois c'était bondé de passagers, certains retournaient chez eux, certains faisaient des courses et certains étaient en visite chez des parents. J'ai pensé : « Vous connaissez tous votre destinée, mais quand vais-je retourner à la maison ? » À cette époque, je pensais que je serais détenue si j'allais à Pékin. Je sentais que tout de ce monde humain m'avait quitté et j'avais ce sentiment d'être perdue et seule. Je souffrais d'une peine indescriptible. Néanmoins mon esprit était très clair et je savais que j'allais là-bas pour valider la Loi et je savais que je n'avais aucun autre choix.


Les officiers en civil étaient partout sur la Place Tiananmen. Quand nous avons demandé aux gens comment se rendre au bureau des appels, un officier en civil a appelé quelqu'un avec un récepteur d'appel. En peu de temps des voitures de police ont foncé sur nous et les officiers nous ont poussé dans la voiture de police. Nous avons été emmené au bureau de liaison de notre province et les officiers qui étaient là ont confisqué tout notre argent.


Je résidais à près de 200 kilomètres de la capitale provinciale. Quand nous sommes descendus du train, plusieurs caméras nous ont filmés et les prises ont été montrées sur la station de télé locale. À notre arrivée au département de police, les policiers nous ont interrogés. Ils nous ont demandé qui avait organisé le voyage et ainsi de suite, et ensuite ils nous ont envoyés dans un centre de détention. Le jour suivant, ils nous ont poussés dans quatre ou cinq voitures de police et ont encerclé l'édifice avec les sirènes allumées tout le temps. Ils ont tenu une soi-disant assemblée pour un procès publique dans une salle de cinéma qui pouvait contenir plusieurs centaines de personnes. L'assemblée était présidée par le secrétaire du Parti du canton et tous les fonctionnaires des communes étaient aussi présents. Ils nous ont emmenés sur le devant de la scène. Après le procès public, nous avons été enfermés dans un centre de détention pendant plusieurs mois et relâchés seulement à la veille du Nouvel An chinois.


Les pratiquants locaux et moi sommes allés pratiquer les exercices dans un lieu public le 28 juin 2000 et en conséquence, j'ai été condamnée à un an de travaux forcés. Puisque j'ai refusé de renoncer au Falun Dafa ma peine a été prolongée de deux mois et demi.


Après mon retour à la maison en 2001 je n'ai pas fait attention à l'étude de la Loi et à émettre la pensée droite, allant seulement dans divers villages pour distribuer des documents. Quatre ou cinq pratiquants conduisaient des voitures pour distribuer les documents. Des fois nous finissions vers 4 heures du matin. En une nuit nous pouvions parcourir sept ou huit communes ou villages. Trois mois plus tard j'ai été piégé par des gens qui ne savaient pas la vérité au sujet de la persécution alors que je distribuais des documents clarifiant la vérité. J'ai été envoyée dans un centre de détention. Dix jours plus tard je suis sortie du centre de détention et je suis devenue sans abri afin d'éviter d'être arrêtée et persécutée. J'ai été de nouveau attrapée dans un site de production de documents et condamnée à trois ans de travaux forcés.


La situation à la maison est devenue mauvaise quand je suis rentrée en 2005. Mon mari est devenu fou après avoir trop bu d'alcool et a été condamné à trois ans et demi d'emprisonnement. Je n'avais aucun endroit où rester et j'ai dû vivre avec ma jeune soeur pendant trois mois. Au cours de cette période, j'ai étudié la Loi de l'aube au crépuscule et j'ai systématiquement terminé la lecture de toutes les conférences du Maître.


Quand je suis revenue à la maison, le contrat de notre maison, qui était louée, expirait. Je voulais rénover la maison et l'utiliser pour faire des affaires. Mon neveu m'a offert de l'argent et des parents voulaient tous m'aider de diverses façons. J'ai pensé qu'en tant que pratiquante de Dafa, je ne devrais pas devoir de dettes aux gens. Je devais simplement faire selon mes propres ressources. J'ai vendu tous mes bijoux en argent et en or pour démarrer mon affaire. Je me levais à 3 heures du matin pour préparer le petit-déjeuner et je me sentais très fatiguée de commencer tôt et terminer tard.


Mon mari a été libéré de prison et la friction est devenue insupportable. Il a commencé à boire énormément et chaque jour il buvait plus d'un litre de vin. Il avait aussi beaucoup de pensées déviées et des mauvaises habitudes acquises en prison. Battre, injurier ainsi que casser les choses était devenu une pratique courante pour lui. Mes parents étaient tous d'accord pour que je mette fin au mariage. Mon fils me pressait pour que je divorce. Les soeurs de mon mari étaient aussi inquiètes et voulaient l'envoyer dans un hôpital psychiatrique afin de l'aider à se défaire de sa dépendance à l'alcool. J'ai dit à ses soeurs et à mon fils : « J'ai été persécutée pendant plusieurs années. Il a beaucoup souffert. Dans le passé, il m'a toujours soutenue et ne m'a jamais empêchée de valider la Loi. Il ne s'est jamais ingéré dans les dépenses que je faisais. Quand j'envoyais du matériel de clarification de la vérité à la campagne, la plupart du temps c'était lui qui conduisait. »


Au cours du processus, j'ai regardé strictement à l'intérieur et j'ai trouvé que j'étais très attachée à lui. Toutes ces années, c'est celui qui m'avait le plus manqué. J'ai trouvé que j'avais une pile d'attachements ; attachement au ressentiment, attachement à la compétitivité, attachement à me sentir déséquilibrée, à des affirmations subjectives et à imposer mon opinion aux autres, ne laissant aucune marge de manoeuvre quand je parlais, me validant moi-même, me plaçant au-dessus des autres, ne m'excusant jamais et évaluant les choses avec un raisonnement humain. Après avoir regardé à l'intérieur, j'ai réalisé qu'accomplir des choses n'était pas cultiver et que nous ne devrions pas évaluer notre cultivation au nombre de choses que nous avons faites.


Un jour, alors que mes voisins et les amis de mon mari étaient présents, mon mari a commencé à m'injurier. En surface je n'avais rien fait de mal, néanmoins j'ai pensé que ce devait être causé par mes attachements. Je me suis instantanément excusée auprès de lui et je lui ai demandé de ne pas être fâché. Il a immédiatement changé de sujet comme si rien ne s'était produit. Un de ses amis a même pensé que c'était injuste et m'a dit : « Comment peux-tu être si lâche ? Ne pourrais-tu pas l'injurier en retour ? » J'ai souri et je n'ai donné aucune explication. Ses amis ont dit : « C'est vraiment très difficile de garder une telle patience comme tu viens de le faire ! » Mais il a dit avec un soupir : « Falun Dafa est bon et Falun Dafa est vraiment très bon ! »


Au cours du processus de m'armer de courage dans les tribulations, mon xinxing s'était amélioré et j'abandonnais graduellement l'attachement à me placer au-dessus des autres et j'ai compris le principe de Loi du Maître :


« Mais la véritable élévation est l'abandon, et non pas l'obtention » (« Enseignement de la Loi lors de la Conférence de Loi à Philadelphie aux États-Unis 2002 »)


Puisque que je m'alignais avec les caractéristiques de l'univers, la paix est à nouveau revenue dans ma famille. Mon mari a commencé à cultiver le Falun Dafa et mon fils a aussi rejoint notre étude de la Loi.


Se fondre dans l'étude de la Loi en groupe


Vers 23 heures un soir mon mari a fait une scène (avant qu'il ne devienne pratiquant) après avoir bu trop d'alcool. De façon à ne pas affecter nos invités (j'étais dans le domaine de l'hôtellerie) j'ai pris un sac et je suis sortie de la maison sans qu'il ne s'en aperçoive. Je me sentais très amère en marchant dans l'allée très sombre. Je demandais à répétition : « Maître, qu'est-ce qui ne va pas avec moi ?Qu'est-ce qui ne va pas avec moi ? » J'ai fait des aller-retour dans le noir jusqu'à ce que je ne puisse plus faire un pas. J'ai trouvé un hôtel et j'y suis restée pour la nuit. Le jour suivant j'ai trouvé un endroit pour étudier la Loi, j'ai émis la pensée droite et j'ai renforcé mes pensées. J'ai réfléchi, était-ce le problème de mon xinxing ou le problème de mon point de départ ? Mon mari était utilisé par les forces anciennes pour participer à la persécution et je me concentrais à rechercher mes attachements ; en conséquence je m'étais éloignée de la cultivation de la période de la rectification par la Loi. Alors, comment pourrais-je me fondre dans le groupe pour bien faire les trois choses et marcher sur le chemin arrangé par le Maître ?


Le Maître a dit :


« Ce n’est pas cultiver et pratiquer dans les tribulations démoniaques qu’elles ont créées, c’est tout en les niant, bien assurer vos pas sur votre propre chemin, jusqu’à même nier l’élimination des manifestations des tribulations démoniaques elles-mêmes. (Applaudissements) De ce point de vue, ce que nous avons à faire c’est de nier totalement les forces anciennes. Les manifestations de leur lutte désespérée, moi et les disciples de Dafa ne les reconnaissons pas du tout. » (« Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de Chicago en 2004 »)


Ma pensée est devenue plus claire. À cette époque, il n'y avait pas de groupe d'étude de la Loi dans ma région et j'ai pensé que je devais en mettre un sur pied. J'ai projeté de louer une maison comme lieu de rendez-vous pour notre étude de la Loi. En hiver, la maison louée serait très froide. J'ai pensé que je devais la chauffer et même si j'étais la seule, je devrais terminer l'étude de la Loi. Quand j'ai parlé de ce plan à un pratiquant, on m'a dit : « Il y a une maison à louer. » Un autre pratiquant a dit qu'il paierait pour le loyer. Nous avons tout de suite loué la maison. Trois jours plus tard, notre groupe d'étude de la Loi avait été mis en place. J'ai dit à mon mari : « J'ai été persécutée pendant plusieurs années. Depuis que nous avons eu des difficultés financières et une pression énorme venant du travail et de la vie, j'ai peine à suivre le processus de la rectification par la Loi. Comme conséquence, j'ai été dans le désespoir et je me suis relâchée. Maintenant je voudrais prendre trois heures par jour pour participer à l'étude de la Loi en groupe et j'espère que tu pourras comprendre et m'aider. » Il a dit : « Pourquoi ne l'as-tu pas dit plus tôt ? J'attendais cela. » J'ai été très émue sur le coup. Les vies sont dans l'attente d'une opportunité qui leur permettra de faire leur choix. Toutefois, si nous n'agissons pas bien, notre famille pourra être utilisée par les forces perverses et des rétributions créées pour nous aider à améliorer notre xinxing.


Quelques mois plus tard quand le contrat de location de la maison est arrivé à son terme, nous n'avions plus d'endroit où tenir un groupe d'étude de la Loi. Quoiqu'il en soit, le groupe d'étude de la Loi qui avait été mis sur pied avec beaucoup d'efforts ne devait pas être dissout. Afin de fournir un environnement stable aux compagnons de cultivation, plusieurs pratiquants ont construit ensemble un immense lit de brique chauffant dans un entrepôt. Encore plus de pratiquants sont venus pour étudier la Loi. Il y avait une session durant le jour et une en soirée. Certains pratiquants dont l'environnement à la maison n'était pas bon venaient aussi ici pour étudier la Loi. Peu de temps après, quelqu'un a dit que le poste de police passait un message déclarant que parce que nous nous réunissions à un certain endroit chez un pratiquant, ils viendraient pour nous arrêter. J'ai dit : « Ce qu'ils ont dit ne compte pas. Seules les paroles de notre Maître comptent ! » La perversité s'est éteinte d'elle même. À cette époque, je pensais seulement qu'il serait bon que les pratiquants viennent ici pour étudier la Loi. Maintenant les pratiquants sont tous devenus plus matures. Des sites de production de matériel informatif et des sites d'étude de la Loi ont éclos partout et ont fleuri dans tous les coins. Nous étions tous en train de faire les trois choses.


Clarifier la vérité aux fonctionnaires du gouvernement


Des initiés du gouvernement ont dévoilé qu'ils allaient installer des dispositifs de surveillance sur l'édifice en face de ma demeure les jours que le PCC décrit comme « jours sensibles ». En apprenant la nouvelle, je voulais y aller pour leur clarifier la vérité. Quand j'en ai fait part aux pratiquants, ils ont dit qu'ils me soutiendraient : « Tu y vas et nous allons émettre la pensée droite pour t'aider. »


J'ai appelé le chef de notre canton et j'ai pris rendez-vous pour le voir. J'ai apporté avec moi du matériel de clarification de la vérité. Avant mon départ, mon fils a dit : « Maman, n'y va pas ! Ils vont t'emprisonner. » J'ai dit : « Non, ils ne le feront pas, parce que ce sont eux qui violent nos droits humain fondamentaux et ce sont eux qui commettent des crimes. »


Quand j'ai mentionné l'équipement de surveillance, il l'a catégoriquement nié. J'ai dit : « Si vous avez fait ça, vous êtes dans l'erreur. Les pratiquants sont tous de bonnes personnes. Récemment un pratiquant de notre région a été condamné à plusieurs années d'emprisonnement. Vous êtes la personne n°1 responsable de l'emprisonnement. Persécuter de bonnes personnes est un péché. Vous allez devoir payer pour tout ce qu'un pratiquant a pu souffrir. 'La bonté apporte des récompenses alors que le mal apporte des rétributions.' C'est un principe céleste. Pour vos descendants, vous devez vous racheter pour vos péchés en faisant de bonnes actions. »


Juste à ce moment-là, trois autres directeurs principaux sont entrés. J'ai dit : « Vous avez des amis avec qui aller boire, des amis avec qui jouer au mahjong et vous avez aussi des amis intimes. C'est comme pour moi, j'ai des amis qui cultivent le Falun Gong. C'est simplement que nous avons des croyances différentes. Il n'y a rien de mal à ça. Ce que nous faisons est noble et droit. Nous n'avons rien fait dont nous devrions avoir honte. » Ils ont dit : « Si vous pensez que c'est bon, vous pouvez pratiquer à la maison. Mais n'affichez pas de poster ou ne distribuez pas de dépliants. Si vous ne faites pas ça, nous ne vous arrêterons pas. » J'ai dit : « C'est sûr que je vais le faire. Laissez-moi vous dire pourquoi je vais le faire. Nous avions cet environnement de cultivation avant juillet 1999. À cette époque, nous avez-vous entendu dire quoi que ce soit ? Pourquoi le gouvernement a-t-il jeté toutes les mauvaises choses sur le Falun Gong ? Il a monté l'auto-immolation pour tromper les gens de la Chine et du monde entier. Notre appel est pour clarifier la vérité. Toutefois, en tant que dirigeants vous n'avez jamais écouté la voix des gens, vous nous jetez simplement dans des camps de travaux forcés ou vous nous condamnez à des peines de prison. Nous n'avons aucun endroit pour faire entendre nos points de vue, alors nous choisissons d'utiliser les DVD et les dépliants pour dire aux gens comment le Falun Gong est persécuté. Falun Gong est devenu un cas d'injustice ces dernières années. Plusieurs de nos compagnons de cultivation ont été emprisonnés, injuriés ou sont mort des suites de tortures inhumaines. Comment ne pas le dire haut et fort ? Vous pourriez apprendre à connaître le Falun Gong d'un angle positif en lisant le matériel de clarification de la vérité et en regardant le DVD. Ne faites pas juste écouter et croire ce que vos supérieurs ont dit ! »


Je leur ai parlé pendant plus d'une heure. Ensuite je me suis levée et j'ai dit au chef du canton : « Je veux vous parler seul à seul. » Il m'a dirigé vers une autre pièce. Je lui ai donné un DVD : « Je vous en prie regardez ce DVD ; c'est bon pour vous. Vous devriez choisir un bon futur pour vous-même. » Il a dit : « Vous devez faire attention à votre sécurité. » Ensuite je lui ai fait mes adieux et je suis sortie. L'homme n°2 du canton qui venait tout récemment d'être transféré ici a dit : « Maintenant, je suis assigné à être en charge du Falun Gong. Quand allez-vous me donner un DVD ? » J'ai dit : « Je le ferai ! » Après un certain temps, il est en effet venu chez moi et a pris avec lui plusieurs copies du DVD.


Par la suite, chaque fois qu'ils recevaient des invités ils leur recommandaient mon hôtel en disant qu'ils voulaient que ce soit moi qui gagne de l'argent.


Clarifier la vérité à la communauté


J'avais projeté de prendre ma retraite. Mais mon nom dans les archives et sur ma carte d'inscription familiale était différent. En plus, je n'avais pas de carte d'identité. Je suis allée au bureau de la communauté. Le chef de la communauté m'a interrogé : « On m'a dit que tu pratiquais le Falun Gong avant. » J'ai dit : « Je pratique encore maintenant. » Je lui ai clarifié la vérité et j'ai dit : « Vous êtes le chef de la communauté et vous êtes en charge de plusieurs questions. Toutefois au sujet du Falun Gong vous devez réfléchir deux fois avant d'agir. Vous devez avoir votre propre compréhension. Vous avez votre mot à dire sur comment faire votre travail. Bien traiter les pratiquants de Dafa va vous apporter de la chance. Le travail est seulement pour une très courte période de temps, mais le futur de vos descendants est une très longue période de temps. S'il vous plaît, accumulez de la chance pour eux ! » Il a dit : « Vous voulez demander une carte d'identité et changer votre inscription familiale. Ce sont là des questions très difficiles avec lesquelles composer. Vous êtes chanceuse de m'avoir aujourd'hui. Laissez-moi vous aider. » J'ai dit : « C'est très bien, nous allons donc former un lien prédestiné. »


Le bureau d'enregistrement familial n'était pas dans le même édifice. Il m'a conduit à cet édifice et m'a accompagné jusqu'à ce que je passe par toutes les formalités et que j'obtienne ma carte d'identité. Il a dit : « Ne tardez pas à remplir les formalités pour votre retraite. Ce sera une perte si vous ne pouvez pas recevoir votre pension. » Je l'ai remercié avant qu'il ne s'en aille.


Ceci est le chemin de ma cultivation de ces 12 dernières années. Il y a eu des pertes et des gains, de l'amertume et du bonheur.


Traduit de l'anglais au Canada