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Les pratiquants de Vancouver expriment leur inquiétude au sujet du cas de Singapour

28 décembre 2010 |   Écrit par Wang Mei à Vancouver au Canada

(Minghui.org)

En entendant que le gouvernement singapourien a récemment arbitrairement annulé le permis de séjour d’une pratiquante du Falun Gong et a essayé de l'expulser en Chine, les pratiquants de Vancouver ont exprimé leur inquiétude et ont demandé au gouvernement singapourien de choisir ce qui est juste.


Dans le passé, Mme Nie Ge a été soumise à la même persécution à Singapour. Cependant, le gouvernement canadien l'a plus tard acceptée comme réfugiée et elle habite maintenant à Vancouver. Elle comprend donc très bien la situation de la pratiquante à Singapour.


Après que le Parti communiste chinois (PCC) ait commencé la persécution du Falun Gong en 1999, Mme Nie a été détenue par les autorités chinoises quatre fois en un an et demi. Mme Nie est allée à Singapour en novembre 2002 pour rendre visite à sa fille unique et elle avait obtenu un permis de visiteur à long terme pour un période de cinq ans, valide jusqu'en mai 2009. Le ministère singapourien de la main d'œuvre a approuvé son permis de travail trois fois. Cependant, en juin 2006, les autorités Singapouriennes lui ont tout à coup annoncé que son permis de travail et son permis de séjour étaient annulés et lui ont ordonné de quitter Singapour dans les prochains sept jours. Plus tard, deux policiers et deux policiers en civil sont allés au lieu de travail de Mme Nie. Ils lui ont menotté les mains derrière le dos et l’ont forcée à descendre du sixième étage et à monter dans une voiture de police dans l’intention de l'expulser en Chine.


Plus tard, Mme Nie est parvenue à quitter Singapour et a demandé l'asile dans un autre pays. Après trois ans de difficultés, Mme Nie est arrivée à Vancouver au Canada en avril 2009. En ce qui concerne la situation actuelle du gouvernement singapourien essayant d'expulser Mme Cui Erqin, une pratiquante de Falun Gong, qui accompagnait son fils dans ses études à Singapour, Mme Nie a dit que bien que Singapour prétend être un pays démocratique, il est devenu un pion du PCC. Des douzaines de pratiquants de Falun Gong ont été forcées de quitter Singapour. Elle a demandé au gouvernement singapourien de corriger son erreur et de choisir de soutenir ce qui est juste.


Mme Liu, qui avait habité à Singapour pendant neuf ans et a plus tard immigré à Vancouver, a également été témoin des méfaits du gouvernement de Singapour qui a suivi le PCC dans sa persécution des pratiquants de Falun Gong. Elle espère que le gouvernement de Singapour comprendra la vérité et ne suivra pas le PCC en persécutant le Falun Gong.


Les pratiquants de Vancouver invitent les gens dans le monde entier qui ont une conscience de venir en aide pour arrêter cette persécution qui persiste depuis onze ans et demi en Chine.


Traduit de l’anglais au Canada