(Minghui.org)
Depuis que le Parti communiste chinois (PCC) est arrivé au pouvoir, il a travaillé à détruire la culture traditionnelle chinoise, les croyances et la morale à un rythme sans précédent. Il en a résulté une société incroyablement dénaturée.
Une de ces aberrations est l’utilisation du gavage forcé. En général, le gavage forcé est destiné à alimenter les patients en nutriments et fluides afin de leur sauver la vie. Pour réduire les risques d'erreurs médicales, ce traitement humanitaire d'urgence ne doit être effectué que par des spécialistes de santé hautement qualifiés, dans des hôpitaux bien équipés et en suivant des procédures strictes. Sous la domination du PCC, cependant, le gavage forcé est devenue une méthode pour faire du mal ou même tuer d'innocentes victimes, en particulier les pratiquants de Falun Gong.
1. Abus brutaux au moyen du gavage forcé
Lorsque les pratiquants arrêtés font face au lavage de cerveau, à la torture, voire au prélèvement de leurs organes de leur vivant, certains entament une grève de la faim pour lutter pour leurs droits et la dignité humaine. Un tel acte attirerait l’attention et serait une garantie de sécurité dans une société normale, mais le PCC y répond par le gavage forcé pour infliger des dommages indicibles.
Le pastiquant de Falun Gong M. Sun Yi a subi un gavage forcé brutal alors qu’il se trouvait à l’équipe trois du camp de travail de Masanjia dans la ville de Shenyang, province du Liaoning. Plusieurs gardes, y compris Jiang Yu, Jing Hongbo, Wang Hanyu, Jin Shan, Su Jufeng, Tu Yupeng, Wang Yanmin, et Li Meng se sont mis ensemble pour torturer M. Sun. ils ont ouvert sa bouche de force avec un appareil en métal qu’ils ont laissé de 5 à 8 heures. Quand ils ont enlevé l’appareil il a été incapable de fermer sa bouche pendant un bon moment. Durant tout le processus ils avaient attaché ses mains il lui était donc difficile de lutter. Ils lui ont versé de la poudre de piments liquide et des médicaments inconnus dans le nez et la bouche pour le faire souffrir encore plus.
Un article intitulé «Le gavage est utilisé par le Parti communiste pour torturer et tuer» donne des détails sur cette méthode de torture. ().
Ci-dessous des extraits de l’article:
«Le gavage forcé est utilisé dans les prisons chinoises pour persécuter et torturer des pratiquants de Falun Gong, bien que les responsables de prison affirment souvent qu’ils le font pour des raisons humanitaires. Les persécuteurs alternent deux différentes méthodes de gavage forcé. La torture provoque de graves dommages physiques et souvent conduit à la mort.»
«(1) Le gavage direct par la bouche: Les gardiens attachent très serré les jambes et les bras d'un pratiquant à un lit puis maintiennent le torse et la tête de la personne vers le bas. Ils pincent fermement le nez afin que la victime n’arrive pas à respirer, puis ils lui ouvrent la bouche avec un outils de métal aiguisé, déchirant la bouche de certains pratiquants dans le processus. Parfois, les dents sont cassées et la bouche est pleine de sang avec la chaire déchirée. Le gardien déverse alors des substances inconnues dans la bouche du pratiquant.»
«(2) Le gavage à l'aide d'un tube naso-gastrique: Les gardiens attachent les jambes et les bras d'un pratiquant fermement à un lit et maintiennent vers le bas le torse et la tête de la personne. Afin de rendre le processus aussi tortueux que possible, ils utilisent délibérément le plus épais tubes naso-gastrique et souvent, ces tubes sont déjà salis par de précédentes gavages.»
«La sonde nasaux gastrique est forcée à travers la cavité nasale, du pharynx, du larynx et de l'œsophage. Insérer le tube est une technique difficile à maîtriser. La pratique est risquée, car il est facile accidentellement ou intentionnellement d’insérer le tube dans la trachée, ce qui peut causer la mort par asphyxie ou endommager gravement les poumons.»
«Ils utilisent également les tubes à plusieurs reprises sans mettre de l'huile ou de la poudre pour lubrifier l'entrée. Ils insèrent le tube dans une narine, le retirent, puis l’insèrent à nouveau dans l'autre narine. Ils tirent intentionnellement sur le tube pour causer une douleur intense. La cavité nasale du pratiquant, l'œsophage et l'estomac sont endommagés, ce qui entraîne une hémorragie sévère, des vomissements et une forte toux. Souvent, le lit dans lequel la torture a eu lieu est plein de taches de sang.»
En fait, le gavage forcé est devenu une méthode de torture utilisée sur tout le monde, pas seulement sur ceux qui font une grève de la faim. Dans l'exemple mentionné plus haut, Sun Yi a également été gavé de force, même quand il n'était pas en grève de la faim. En affirmant que M. Sun refusait de signer un document - un prétexte pour abuser mentalement les pratiquants – le chef de l’équipe trois Jing Hongbo et le gardien Li Meng l’ont gardé ligoté sur un chariot d’hôpital pendant de longues périodes. Ils ont menotté sa main gauche à la tête du lit et sa main droite à l'arrière du lit. Ils ont fait circuler la rumeur que Sun Yi s’était mis en grève de la faim, ce qui n’était pas vrai. Ils ont ordonné au médecin du camp de travail, Na Shuji de le gaver de force chaque jour à travers un tube. Mais ils l'ont privé de nourriture, en disant qu'il refusait de renoncer à sa croyance. Ils voulaient utiliser la faim et le gavage forcé pur le faire céder.
Seul le PCC peut transformer une pratique médicale destinée à sauver des vies en une tactique pour orturer leurs compatriotes.
2. Tuer des pratiquants en les affamant à mort
Il existe un vieux dicton en Chine que la plus cruelle des tactiques que vous pouvez utiliser en temps de guerre est de couper les vivres à votre ennemi. Le PCC (Parti communiste chinois) n'hésite pas à appliquer cette tactique sur les pratiquants de Falun Gong dans son dessein de les éliminer.
Selon l'article,
«Les fonctionnaires du Camp de Travail de Masanjia ont attentivement calculé la durée de la mort de Gao Rongrong. Ils l'ont envoyée à l'hôpital trois mois après sa seconde arrestation. Elle est morte là-bas dix jours plus tard. Son agonie, depuis son arrestation jusqu'à sa mort, a duré 103 jours. Qu'est-ce que ce calendrier nous raconte? Pour elle, mourir trop tôt après son arrestation aurait suscité des questionnements et la condamnation du monde extérieur. Mais si elle mourait plus tard, ils auraient été confrontés à d'énormes pressions de la part de la communauté internationale. Trois mois était la durée la plus appropriée pour mettre un terme à sa vie.»
«Gao Rongrong avait un parent qui connaissait la médecine. Quand il a rendu visite à Gao, il a remarqué immédiatement que les suppléments nutritionnels qu'on lui donnait ne correspondaient pas à la bonne dose et ne visaient pas ses problèmes de santé. Son diagnostique: l'effondrement de Gao Rongrong était dû à une longue période de privation de nourriture.»
«Selon des témoins, quand Gao Rongrong était à l'hôpital, beaucoup de gens d'identités inconnues ont bloqué toutes les entrées de l'hôpital. Des agents de police en civil et en uniforme hurlaient tous les jours après les urgentistes: 'Quand va-t-elle mourir?' Au même moment, la maison de Gao Rongrong était encerclée par des espions qui répandaient des rumeurs parmi ses voisins selon lesquelles elle était à l'article de la mort en raison d'une grève de la faim. Ces informateurs disaient aussi que Gao Rongrong était encore lucide quand elle a été envoyée aux urgences, même si elle n'avait plus que la peau sur les os. Mais près de huit policiers en civil se sont relayés pour la surveiller et l'empêcher de parler. Ils ne lui ont rien donné à manger, mais ont enregistré sur leur carnet qu'elle mangeait ceci ou cela. Ils ont dit que leur chef leur avait ordonné de faire ainsi.»
Il
est impensable que le PCC ait transformé une grève de la faim en
quelque chose d'involontaire et qu'il ait fait de la "durée de
l'agonie des gens" une compétence obligatoire et une mission
politique des médecins. Nulle part ailleurs dans le monde il existe
un tel régime qui assassine ses propres citoyens de cette façon.
[...]
Traduit de l’anglais en France