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Nous ne devrions pas juger les autres pratiquants en utilisant des notions humaines

19 mars 2010

(Minghui.org)

Par un pratiquant en Chine

Les pratiquants dans mon secteur sont de toutes les couches sociales et ils sont de bien des manières très différents. Par exemple, certains s'entendent pas bien avec les autres, pour d'autres ça ne leur pose pas de problèmes, d'autres encore font des efforts pour équilibrer les rapports entre la cultivation et la relation avec les gens ordinaires.

Comme nous le savons, la quantité de " de " (vertu) détermine la bonne fortune future d'une personne. Certains pratiquants des classes inférieures ne semblent pas aussi raffinés que ceux des classes supérieures. Aussi les pratiquants de classes supérieures sont dérangés lorsqu'ils voient le manque de conversation intelligentes et de prestige des pratiquants venant des classes inférieures. Les pratiquants qui paraissent plus raffinés vont plus loin que ceux des classes inférieures, ce qui résulte dans des interférences. Ceci est, en fait, une opportunité pour chacun d'élever son xinxing. Toutefois, les pratiquants qui ont davantage d'aptitudes sociales jugent ceux qui sont plus limités dans ce domaine. Les pratiquants ayant moins de capacités sentent une pression dans la collaboration avec ceux ayant plus de capacités.


Je viens des classes inférieures. Si je n'avais pas cultivé je n'aurais pas compris les raisons des échecs dans ma vie. Si je n'avais pas bien étudié et compris les principes de la Loi (Fa), je n'aurais pas pris conscience de mes attachements humains, tels que l'avidité. Mon style de vie est simple et je peux passer beaucoup de temps et dépenser beaucoup d'énergie pour valider la Loi. Cependant, je n'ai pas accordé d'importance à mes manières, et les gens ont quelquefois pensé que je ne m'intégrais pas très bien. J'ai plus tard appris comment faire avec les gens, et, plus important, j'ai réalisé que pouvais m'améliorer en m'ajustant avec les exigences de la Loi. J'ai essayé de comprendre les autres pratiquants sans penser à moi-même. A partir de ce moment, nous avons collaboré beaucoup mieux. Je ne suis plus interféré par les autres et je suis devenu plus indépendant.


J'ai plus tard rencontré des pratiquants encore moins socialement favorisés, et j'ai pu avoir de la compassion pour eux. Je comprends que je ne peux les forcer à accomplir de grands changements quand ils n'ont pas eux-mêmes réalisé ces choses, mais je comprends que je ne dois pas juger les pratiquants en utilisant des notions humaines. Ceci nous aidera à mieux coopérer et collaborer.

Traduit de l’anglais en France