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C'est la politique de la prison pour femmes de la province du Hubei de persécuter violemment des pratiquantes

24 avril 2010 |   Écrit par un correspondant de la province du Hubei

(Minghui.org)

Les deuxième, quatrième et cinquième sections de la prison pour femmes de la ville de Wuhan, province du Hubei, détiennent actuellement de nombreuses pratiquantes de Falun Gong. De ces sections, la quatrième est composée d'une équipe qui se consacre à la persécution des pratiquantes de Falun Gong. Jiang Chun, commissaire politique de la prison, est une femme dans la trentaine. Elle a l'air gentille, mais en privé elle permet aux prisonnières de torturer les pratiquantes de Falun Gong.

Utilisant systématiquement la persécution mentale et physique, la prison pour femmes de la ville de Wuhan bloque strictement tout dialogue concernant la persécution. Malgré cela, quelques cas ont été révélés. Certains de ces cas incluent les pratiquantes de Falun Gong décédant de la torture, comme cela a été le cas pour Song Yulian, Xu Guanglin et Su Kezhen. D'autres cas incluent des pratiquantes qui sont persécutées jusqu'à ce qu'elles s'effondrent mentalement, et c'est ce qui est arrivé à Liu Weishan et Gong Yueming. Il y a aussi eu des cas de pratiquantes de Falun Gong qui ont été torturées jusqu'à ce qu'elles soient handicapées, blessées, malades, etc. Voici quelques exemples des plus récentes persécutions infligées à quelques pratiquantes de Falun Gong.

Mme Shuai Liangyu, 65 ans, a été contrainte par les gardes de la cinquième section de la prison à écrire une déclaration de garantie, promettant de renoncer à la pratique du Falun Gong. Peu de temps après, elle a déclaré solennellement que la promesse qu'elle a été obligée d'écrire était nulle. Les gardes ont donné des directives aux prisonnières désignées pour la surveiller de la priver de sommeil pendant un mois complet. Chaque soir, ces prisonnières la frappaient. Mme Shuai a été tellement torturée qu'elle était devenue méconnaissable. Elle a aussi perdu la vue en raison du tabassage.

Mme Zhou Qi a environ 50 ans et vient de Huang Gang. Elle a été battue de nombreuses fois par les prisonnières désignées par des gardes, dans la prison pour femmes de la ville de Wuhan, pour la surveiller.

Mme Fan Changhua a environ 50 ans et vient de Yi Chang. Entre 2007 et 2008, elle a été obligée par les prisonnières désignée pour la surveiller, de rester debout pendant une journée et une soirée. Cet ordre a été émis par des gardes. Elle était privée de sommeil. Une fois, en hiver, elle était très fatiguée et est tombée au sol. La prisonnière qui la surveillait a versé un tonneau d'eau froide sur sa tête et son corps. Comme elle a été contrainte de rester debout pendant aussi longtemps, les doigts de Mme Fan Changhua ont gelé et ont développé du pus.

Mme Li Yun a environ 30 ans et vient de Suizhou. Les gardes l'ont envoyée à l'équipe sous stricte restriction du 19 au 29 octobre 2009. Elle a été détenue dans une petite cellule isolée. Les prisonnières désignées pour la surveiller l'ont entourée et l'ont empêchée de dormir. Dès qu'elle fermait ses yeux, les prisonnières piquaient son globe oculaire avec leurs ongles. Après dix jours, son corps était quasiment paralysé.

La prison pour femmes de la ville de Wuhan a systématiquement persécuté les pratiquantes de Falun Gong détenues de façon inhumaine. Cette persécution est à long terme, elle est une politique qui a été mise sur pied, exécutée comme une procédure, mise sur pied à la suite des menaces, et elle est massive, brutale et perverse. La persécution des pratiquantes de Falun Gong a débuté quand ces pratiquantes ont été incarcérées dans la prison, mais n'a pas cessé après leur libération. Les pratiquantes fermes et inébranlables sont transférées dans des centres de lavage de cerveau pour « transformation » continue lorsqu'elles sont relâchées. La prison choisit des moments et envoie des gens pour leur « rendre visite encore » (les harceler et surveiller) après leur libération.

Traduit de l'anglais au Canada.