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Faire un choix conscient pour faire les choses justes

17 mai 2010 |   Écrit par un pratiquant dans la province du Hebei

(Minghui.org)

Depuis juillet 1999, lorsque le régime de Jiang a commencé à persécuter le Falun Gong, beaucoup d'officiers dans les divisions judiciaires et de la sécurité publique ont été amenés à participer à la persécution. Ils s'en trouvent parmi eux qui ont encore une conscience. Je suis septuagénaire et j'ai été arrêté et envoyé dans un centre de lavage de cerveau pendant trois mois pour être « réformé ». Restant ferme dans ma conviction, ils m'ont transféré plus tard dans un centre de détention.

Là, j'ai dû faire des travaux forcés durant 14 à 16 heures chaque jour. Un gardien de surveillance (on l'appelait « officier ») a vu que je passais un moment difficile et m'a tranquillement permis de prendre un peu de repos. Il s'agit d'un luxe inimaginable dans le centre de détention. L'un des criminels détenus a estimé que c'était injuste, alors il s'en est pris à moi tandis qu'un autre me battait, de sorte que je ne puisse pas me reposer. Lorsque l'officier principal a découvert cela, il m'a transféré ailleurs. En fait, il a fait cela pour me donner l'occasion de me reposer.

Un jour, une voiture de police m'a emmené à la cour de justice pour un procès. Quand je suis entré dans la salle d'audience, l'officier de la cours m'a menotté les mains dans le dos. L'agent de police judiciaire a vu cela et a demandé avec colère : « Mettez-lui les menottes devant ! » Il a utilisé son pouvoir afin de faire une bonne action.

Quand la cour était en session, je pouvais dire d'après le ton et le comportement du personnel judiciaire qu'ils n'avaient pas le choix et devaient agir selon les procédures. Certains d'entre eux m'ont rappelé de me défendre et dire que je n'avais commis aucun crime. D'autres m'ont dit qu'ils avaient leurs propres difficultés. Il est vrai, sous la domination du PCC, qu'il est vraiment difficile d'être une bonne personne.

Il y a un autre incident que je n'oublierai jamais. Une fois, je suis allé visiter un ami à l'hôpital. Quand j'ai parlé à une dame sur le Falun Gong, elle a dit : « Pas besoin de continuer, je sais tout à ce sujet. Peu importe que le PCC soit contre, c'est définitivement bon. » Elle a dit que son fils est fonctionnaire dans un poste de police. Un couple de vieilles dames qui pratiquent le Falun Gong ont été arrêtées et il était chargé de les frapper. Son fils a dit que ces vieilles dames étaient particulièrement aimables et il a refusé de les frapper. Si on avait insisté pour qu'ils les frappent, il aurait démissionné.

De tels exemples sont nombreux. Parmi les officiers dans les divisions judiciaires et de sécurité publique, beaucoup en sont venus à comprendre la vérité sur le Falun Gong. Ainsi, dans les moments critiques, ils ont la possibilité de faire un choix en fonction de leur conscience. Parce qu'ils comprennent la vérité, ils ont ce genre de pensées, leur laissant ainsi l'espoir pour le futur.

Traduit de l'anglais au Canada