(Minghui.org)
Quand j'ai lu dans l’Hebdomadaire Minghui, l'article d'un pratiquant : « Le regard qui attend » j'ai senti que je pouvais être en résonance avec ce qui était écrit et j'aimerais partager mon expérience de clarification de la vérité. Au cours de ces années où j'ai parlé aux gens de la persécution du Falun Gong, j'ai vraiment senti que les êtres attendent qui nous les sauvions.
Un jour j'ai clarifié la vérité à un homme âgé, vendeur de rues de son métier. Je lui ai donné un dépliant en disant que la vérité sur Falun Gong était expliquée dedans et que j'espérais qu'il le lirait. Il a accepté le dépliant avec plaisir. Lors de notre conversation, je lui ai demandé s’il avait fait partie de Parti communiste chinois et s’il avait entendu dire que les gens se retiraient du Parti afin d'être sauvés et avoir un avenir en paix. Il a acquiescé pour dire qu'il avait effectivement été membre du parti et n'était pas au courant du fait que les gens le quittaient. Je lui ai dit : « Monsieur, vous voyez comme le Parti est corrompu. Il persécute des gens bien et trompe le peuple chinois. Il n'a jamais fait quelque chose de bien. Depuis que le Parti communiste a pris le pouvoir en Chine, il a lancé de nombreux mouvements politiques et il est responsable de la mort de plus de quatre-vingt millions de Chinois. Falun Gong enseigne la bonté aux gens et le PCC ne permet pas aux gens de l'apprendre. Le PCC a fait de nombreuses choses mauvaises et le ciel va l'éliminer. Si vous en faites partie, vous serez impliqué dedans. Une fois que vous l'aurez quitté vous serez sauvé. S'il vous plaît quittez-le maintenant. Le vieux monsieur a répondu : « Bien ! Je vais le quitter. Je vous attendais ». Quand notre conversation s'est terminée, il a joint ses mains et tandis que les larmes tombaient de ses yeux, il continuait à répéter « Merci ! Merci ! » Son expression semblait me dire qu'il attendait depuis longtemps que quelqu'un vienne le sauver. Je ne suis pas arrivé à retenir mes propres larmes au moment de m'en aller.
Quand je suis allé clarifier la vérité auprès d'une famille de paysans de mon village, j'ai essayé avec gentillesse de les persuader de quitter le PCC. Tandis que nous parlions, le fermier m'a dit qu'il avait rejoint les jeunes Pionniers quand il était plus jeune et fréquentait l'école. Je lui ai dit : « Vous pouvez voir dans la société chinoise, depuis les personnes haut placées jusqu'aux petits travailleurs de bureau, la plupart d'entre eux sont corrompus alors que nous, les paysans nous avons du mal à joindre les deux bouts. Le Parti pervers a fait tellement de mauvaises choses et il sera anéanti par le ciel. Quand le PCC sera détruit, ceux qui en font partie seront ensevelis avec lui. Je peux vous aider à quitter les Jeunes pionniers et peux même vous trouver un pseudonyme pour le faire si vous voulez. Vous pouvez vous servir de n'importe quel nom et vous serez sauvé. L'homme était très soucieux et se demandait si ce que je disais était bien la vérité. Je lui ai répondu : « C'est absolument vrai ! En tant que pratiquants, nous vivons selon Vérité, Compassion et Patience et nous ne racontons jamais de mensonges ». Il a dit alors : Eh bien ! Je vais le quitter ». Il a suggéré ensuite que je trouve le cadre (politique) du village et qu'il fasse une annonce avec le haut-parleur pour que tous les gens du village l’entendent afin qu'eux aussi puissent quitter le PCC et soient sauvés. Sa sincérité et sa bonté m'ont touché. Je lui ai dit : « L'environnement actuel ne me permet pas de le faire. On persécute encore aujourd'hui le Falun Gong en secret et même il « prélève » les organes des pratiquants pour les vendre. Il m'a demandé alors d'attendre pendant qu'il a appelé le reste de sa famille, en leur conseillant de me dire à quelle organisation du PCC, ils appartenaient. J'ai pris leurs noms et je les ai aidés à quitter le Parti.
A la maison quand nous n'avions plus de gaz, un homme venait remplir nos bouteilles. L'homme m'a dit que quand la saison n'était pas bonne pour l'agriculture, alors il vendait du gaz pour gagner un peu d'argent. Je lui ai dit : « C'est difficile pour nous de gagner de l'argent mais ces fonctionnaires du parti pervers sont riches et ils envoient leur argent à l'étranger. Ils savent très bien ce qu'ils font, en préparant un moyen de s'échapper à l'étranger au moment ou le parti pervers tombera. Il y a une grande pierre au Park National de la province du Guizhou qui porte l'inscription : « Le Parti communiste chinois s'effondre » ce qui montre bien que ses jours sont comptés. L'homme du gaz était d'accord avec moi, en disant : « Le PCC tire à sa fin. Il est trop corrompu ». Il m'a dit être membre du PCC, mais qu'il voulait le quitter mais ne savait pas comment faire. Quand j'ai offert de l'aider il m'a dit vouloir utiliser son vrai nom pour quitter pour bien montrer qu'il était sincère. Avant de partir, je lui ai dit : « Quand vous sortez pour remplir les bouteilles à gaz n'oubliez pas de réciter avec sincérité dans votre cœur : « Falun Dafa est bon, Vérité, Bonté, Patience est bon » et il ne vous arrivera rien. Il était d'accord avec moi. « Vous les pratiquants de Falun Gong êtes des personnes bien. Faites vraiment attention à vous ! » Puis il est reparti la joie écrite sur le visage.
Quand un couple est venu acheter de la ferraille, j'ai pu parler à la femme du Falun Gong pendant que son mari achetait la ferraille dans la cour. La femme, qui me semblait très ouverte, m'a dit que je lui semblais familier. Je lui ai répondu : « Grande sœur, nous avons une relation prédestinée. Vous êtes très gentille, j'aimerais vous suggérer de dire dans votre cœur : « Falun Dafa est bon » et « Vérité, Bonté, Patience » est bon et il ne vous arrivera rien (de fâcheux) ». Elle a acquiescé de la tête et a dit : « Je vous crois. J'ai déjà lu des dépliants Falun Gong. Falun Gong est bon ».
Au cours de notre conversation elle m'a dit qu'elle avait pris sa carte de membre du parti quand elle allait en classe mais comme elle n'avait pas payé sa cotisation depuis longtemps elle pensait que ce n'était pas nécessaire de le quitter. Je lui ai dit : « Le PCC ne vous considère peut être plus comme membre mais vous en avez fait partie et vous avez juré d'y consacrer votre vie. Donc vous en faites partie et il vous contrôlera toujours. Si vous quittez le parti, il ne peut plus vous contrôler et vous pourrez être sauvée » Elle a dit aussitôt vouloir quitter et m'a demandé, si je pouvais aussi aider ses deux fils. Puis elle est partie vite chercher son mari pour qu'il vienne lui aussi quitter le parti. Il était d'accord pour le faire une fois qu'il ait appris les faits.
Les gens ont un grand désir d'être sauvés. Compagnons de pratique en ce moment de la fin de la rectification soyons tous d'un même cœur pour sauver les êtres et remplir nos vœux.
Traduit de l'anglais en France