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La persécution subie par M. Liu Yingxu, pratiquant de Falun Gong dans la Province de Sichuan

13 septembre 2010

(Minghui.org)

M. Liu Yingxu a commencé à pratiquer le Falun Gong en novembre 1994. Après ses études à l'université de technologie de Chongqing, il a été employé par l'usine de turbine Mianzhu Dongfang. Il est également devenu assistant au site de pratique du Falun Gong de Mianzhu.


Après le début de la répression du Falun Gong par le Parti communiste chinois en 1999, M. Liu a été persécuté à de nombreuses reprises. Il a été envoyé dans un camp de travaux forcés à deux reprises pendant trois ans au total. Il a été une fois détenu dans un centre de lavage de cerveau pendant sept mois et demi.


Ce qui suit, selon les propres mots de M. Liu Yingxu, est une partie de ce qu'il a subi à cause de la persécution.


    1. La persécution que j'ai dû subir le 20 juillet 1999


    La persécution éhontée du Falun Gong par le régime communiste chinois a commencé le 20 juillet 1999. Cette nuit-là, Zhen Weiguo, chef de la section n°1 du Département de police de la ville de Mianzhu et Zhang Xueli, chef de la section de la sécurité de l'usine de turbine de Dongfang, a envoyé plusieurs personnes pour s'emparer de moi au dortoir de l'usine où je vivais alors. Je n'étais pas là à ce moment, mais ils ont pris toute la littérature et les enseignements de Dafa dans le dortoir, y compris plusieurs séries de conférences du Maître, des enregistrements vidéos et des livres.


Autour du 23 juillet, les agents du Bureau 610 de la ville de Deyang sont venus me voir. Ils voulaient me faire abandonner la pratique du Falun Gong. Zhen Weiguo et d'autres m'ont amené au département de police et m'ont menacé. J'ai eu peur d'exprimer ma détermination à poursuivre la pratique.


Les responsables du département de la Propagance de l'usine de turbines Dongfang, le Comité du Parti, le Bureau 610 et d'autres départements, ont par la suite tenté de me persuader de renoncer à la pratique. Ils ont fait pression sur moi afin que j'écrire une déclaration de garantie. J'ai succombé à la pression et j'ai écrit une déclaration ambigüe en août 1999. Par conséquent, pendant plusieurs jours, j'avais l'impression d'avoir trahi ma conscience et je sentais que ma vie n'était pas digne d'être vécue.


Aux environs du 19 octobre 1999, je me suis rendu à Beijing pour faire appel avec un autre pratiquant. Je suis resté au bureau de liaison de l'usine de turbine Dongfang à Beijing. Le bureau a reçu par télécopieur du bureau de la sécurité de l'usine une demande de nous intercepter. Les responsables ont utilisé notre propre argent pour acheter des billets de train de retour pour la province du Sichuan. Nous avons été escortés jusqu'à la gare de Beijing et remis à un membre du personnel à qui on a demandé de ne pas nous laisser descendre du train à mi-chemin de notre voyage. Nous avons acheté de nouveaux billets à la gare de Zhengzhou et sommes retournés à Beijing. Nous avons rencontré un pratiquant sur le train. Nous avons laissé nos bagages dans un hôtel de Beijing et nous sommes dirigés vers la Place Tiananmen pour y jeter un regard. Quand nous sommes revenus à notre hôtel, nous avons découvert que quelqu'un était parti avec nos bagages.Un groupe de policiers nous a arrêtés vers 2h dans la nuit. Après un interrogatoire illégal pendant tout le reste de la nuit, ils nous ont emmenés tous les trois au Centre de détention du district de Chongwen à Beijing.


Environ une semaine plus tard, les deux autres pratiquants ont été renvoyés dans leur ville natale. J'ai entendu que les assistants des sites de pratique ne pouvaient pas être renvoyés dans leur ville natate et devaient être jugés à Beijing.


Après avoir été détenu dans le centre de détention près de 40 jours, autour du 3 février, les policiers du Bureau de la sécurité de l'usine de turbines Dongfang m'ont ramené dans la ville de Mianzhu. Plus tard, ce groupe de policiers m'ont obligé à supporter toutes les dépenses engagées au cours du voyage, y compris leurs frais de déplacement, de nourriture, d'hébergement, de billets de train etc.


Comme j'ai refusé de coopérer avec eux, j'ai été emprisonné dans le Centre de détention de la ville de Mianzhu où les condamnés m'ont maltraité. Ils m'ont forcé à m'agenouiller, m'ont giflé au visage et m'ont fait travailler comme un esclave.


Le chef de service de la police de la ville de Mianzhu et d'autres ont essayé de me persuader de renoncer à ma foi en Dafa, mais j'ai refusé. Ils ont même harcelé ma petite amie à l'époque ainsi que sa famille. En fin de compte, elle a été contraite de rompre avec moi. Les responsables du régime ont également exercé des pressions sur ma famille pour essayer de me faire adhérer à leurs demandes. Certains membres de ma famille m'ont frappé quand j'ai refusé de les écouter.


Mes parents et les membres de ma famille ont visité le directeur du Bureau 610 de la ville de Deyang, le secrétaire du Comité politique et juridique, et d'autres, pour tenter de me sortir du pétrin. On a dit à ma famille que si j'avais tué quelqu'un ou commis un incendie criminel, ils (les fonctionnaires) pourraient me libérer, mais parce que je pratique le Falun Gong, c'est impossible.


2. Ma première condamnation dans un camp de travaux forcés


Un autre pratiquant et moi avons été condamnés à un an de travaux forcés le 30 décembre 2009.


Le lendemain, nous étions tous deux conduits au camp de travaux forcés de Xinhau dans la ville de Mianyang.


Il nous était interdit de faire les exercices, d'étudier la Loi ou de partager des expériences de cultivation et nous étions surveillés. Pendant une période, cinq d'entre nous ont dû se presser dans un minuscule lit simple en métal et dormir directement sur les lattes métalliques. C'était très douloureux. Nous ne pouvions pas dormir du tout. On ne nous donnait que très peu de temps pour nous laver et on ne pouvait pas prendre de bain. Plusieurs d'entre nous ont développé des plaies à l'aine et d'autres des plaies sous les pieds également.


Nous avons été contraits de transporter des déchets humains avec des perches et de les enterrer. Pendant la période de la veille du Nouvel An lunaire, j'ai été forcé de tenir ma tête contre l'angle aigu d'un mur et un lit de métal. Par conséquent, j'ai eu de très profondes coupures sur ma tête. J'ai été également frappé et maltraité. Je devais réciter le règlement de la prison ainsi qu'écouter et regarder des informations diffamant Dafa.


Environ trois mois après mon épreuve dans un camp de travail, j'ai été affecté à faire des briques. J'ai souvent eu à travailler jusque tard dans la nuit avec les lumières allumées pendant un certaint temps. Au début, j'ai été affecté à pousser le camion à benne et de pelleter les débris. Cependant, c'était trop pénible pour moi et j'ai failli m'évanouir d'épuisement à plusieurs reprises. Mon corps tout entier me faisait mal après avoir terminé ma journée de travail. Mes mains étaient boursouflées et je ne pouvais pas étirer mes bras.


Un gardien compréhensif m'a transféré dans une tâche relativement facile, poser les briques à l'extérieur au soleil, pour les faire sécher. En réalité, ce n'était pas une tâche facile. Nous étions huit et chacun devait manier une moyenne de 10'000 briques. Chaque brique pèse plus de 3,5 kg (7.7 lbs) alors tout le monde avait à sécher une moyenne de 38 tonnes de briques par jour. Ils m'ont transféré le 20 juillet 2000. Je me suis laissé duper à ce moment-là et j'ai écrit les trois déclarations. J'ai également aidé à « réformer » et à faire le lavage de cerveau d'autres pratiquants. J'ai commencé à avoir des pensées terrifiantes. Je pensais que c'était bien pour les autres de boire, de jouer et de chercher des prostituées. Il s'agit d'une forme grave de la persécution – celle qui « réforme » une personne sur le plan spirituel. Elle conduit à la dégénérescence de ses valeurs morales.


Le camp de travail réunit souvent les pratiquants « réformés » ensemble pour échanger des idées et renforcer leurs doctrines perverses dans le but d'accélérer leur « réforme ». Après un peu plus d'un mois, après avoir été libéré du camp de travail, j'ai eu l'impression d'avoir développé une double personnalité. Pendant la lecture des livres de Dafa, mon cerveau tentait d'expliquer le contenu conformément aux fausses doctrines qu'il m'avait inculqué au camp de travail.


J'ai été libéré du camp de travail à la mi-septembre 2000. Comme j'avais renoncé à ma foi en Dafa, l'usine de turbine Dongfang m'a réembauché. On m'a remis dans mon unité de travail et signé un contrat d'un an de probation. Plus tard, mon patron m'a donné volontairement plus de travail afin que je ne puisse pas participer aux activités de Dafa.


3. Ma deuxième détention


Au début 2001, M. Huang, le directeur de l'équipe de la police criminelle du bureau de la sécurité de mon lieu de travail, a emmené un groupe de personnes procéder à une perquisition illégale dans mon dortoir et a emporté mes livres de Dafa. Ils m'ont également filmé.


Deux policiers de mon lieu de travail m'ont arrêté le 4 juin 2001. Ils ont ensuite saccagé mon bureau et mon dortoir. Ceux qui sont impliqués dans le raid sont le chef de la Section de la sécurité d'état Zhang Xueli, le chef du Département de police de la ville de Mianzhu Zeng Weiguo et des policiers du poste de police de Zhujiang, ville de Deyang.


J'étais alors détenu au Centre de détention de la ville de Mianzhu. Le 1er mai 2001, un jour férié, un énorme message concernant les faits concernant le Falun Dafa est apparu dans la zone dortoir de l'usine Deyang Erchong. Par hasard, je logeais pour deux jours chez un pratiquant vivant dans la région. Les responsables ont donc suspecté que l'autre pratiquant et moi avions affiché le message. En fin de compte, ils nous ont accusés de « participation présumée » et j'ai été condamné à deux ans dans un camp de travail. Pendant ma détention, les autres détenus m'ont battu, maltraité et forcé à effectuer un travail d'esclave, parmi d'autres formes d'abus et de mauvais traitements.


En juillet 2001, un autre pratiquant et moi avons été arrêtés et détenus dans le camp de travaux forcés de Xinhua dans la ville de Mianyang, Le camp de travail avait alors établi une unité de détention pour les pratiquants. Nous avons été contraints d'écouter et de regarder des documents d'information diffamant Dafa. Nous devions nous asseoir sur des petits tabourets en gardant le dos droit sans bouger. Cela durait plusieurs heures par jour. Nous avons eu des plaies à force de rester assis pendant de longues périodes. Avant que les plaies soient cicatrisées, de nouvelles se développaient par dessus les anciennes. Parfois, nos pantalons collaient à notre chair et c'était extrêmement douloureux lorsque nous retirions nos vêtement lors de l'utilisation des toilettes. Les pratiquants qui refusaient de coopérer étaient obligés de rester debout dans des postures militaires depuis tôt le matin jusqu'à la nuit.


Les pratiquants devaient rester debout sous un chaud soleil, courir, faire des exercices de défilé pendant plusieurs heures, s'accroupir et se soulever. J'ai vu de mes propres yeux des pratiquants traînés en cercle par d'autres pratiquants après qu'ils soient devenus trop épuisés d'avoir couru en rond. J'ai été moi-même entraîné dans des cercles par des trafiquants de drogue pendant que je faisais une grève de la faim.


Parce que j'ai rapidement entamé une grève de la faim dans le camp de travail, j''ai été séparé des autres pratiquants. Pendant ma grève de la faim, les policiers ont ordonné aux délinquants toxicomanes de me gaver. Les responsables du camp de travail avaient plusieurs collaborateurs qui me tourmentaient mentalement. Cependant, mes expériences passées me permettaient de voir leurs tactiques et je n'étais pas trompé.


En juin 2003, ma famille et les policiers de la ville de Mianzhu m'ont ramené à la maison. Les responsables de l'usine de turbine Dongfang ont refusé de me réintégrer dans mes fonctions antérieures. Incapable de trouver un emploi convenable au niveau local, je n'avais pas d'autre choix que de trouver un emploi dans la ville de Chengdu.


    4. Arrêté et emmené au Centre de lavage de cerveau de Xinjin


Un chef adjoint du Bureau de la sécurité et plusieurs autres m'ont arrêté et m'ont détenu dans la soirée du 14 novembre 2007. Ils ont pris mon ordinateur portable et tous mes autres biens personnels sauf mes vêtements. Ils m'ont mis un sac sur la tête, m'ont menotté et m'ont emmené pour un interrogatoire au Bureau de la sécurité d'état à Wenjiang.


Les fonctionnaires se sont relayés pour m'interroger pendant 48 heures. Je n'ai fait que leur clarifier la vérité. J'étais assis sur une chaise pendant ce temps et j'ai à peine dormi. J'ai également fait une grève de la faim pour protester contre l'arrestation illégale, J'ai été emmené au Centre de lavage de cerveau de Xinjin l'après-midi du 17 novembre 2007. À 22h30 ce soir-là, huit agents de la Section de la sécurité et de la section de l'éducation m'ont poussé sur une chaise et m'ont gavé. J'ai continué ma grève de la faim et ils m'ont gavé chaque nuit. Un groupe de policiers m'ont ensuite interrogé et sept d'entre eux m'ont insulté. Ils ont essayé de me faire manger et de me faire révéler des choses qu'ils voulaient savoir mais j'ai refusé de coopérer avec eux.


Yin Shunaro, chef de la section, Bao Xiaomu, chef adjoint de la section, Wang Hongqiang, Xu Dan, Huang Zhongzhi et Wand Xiugin se relayaient pour me parler.


Ils ont dit aux pratiquants détenus de ne pas pratiquer les exercices, de ne pas crier « Falun Dafa est bon » et de rédiger des déclarations de garantie. Ils ont tenté de forcer les pratiquants à maudire le Maître et maudire Dafa. Ils ont également exercé des pressions pour que les pratiquants en trahissent d'autres et ont fait de nombreux arrangements pour atteindre leurs objectifs.


Les pratiquants nouvellement arrivés au centre de lavage de cerveau avaient de fortes pensées droites et ont souvent mené des grèves de la faim. Le personnel pervers n'essayait par de « réformer » les pratiquants au cours de la période d'incarcération initiale. Au lieu de cela, ils ont essayé de faire manger les pratiquants ou de les gaver. Quelqu'un est venu pour moi presque tous les jours jusqu'à la fin de 2007, pour essayer de me forcer à écrire les déclarations. Afin de me « réformer », Wang Hongqing m'a parlé tous les jours, parfois trois fois par jour. J'ai toujours refusé de renoncer à ma croyance ».


Yin Shurao et Bao Xiaomu ont échoué. Je n'ai par écrit les déclarations le 12 février 2008. Ils ont envoyé deux femmes « éducatrices d'accompagnement » pour me dire de l'écrire. J'ai refusé. Les « éducatrices » m'ont alors forcé la main pour écrire une déclaration et l'ont remise aux fonctionnaires. Wang Hongqiang savait que je ne l'avais pas écrit et m'a de nouveau inondé avec de nombreuses conversations. Parce que j'ai refusé d'écrire la déclaration moi-même, Wang Hongqiang a de nouveau appelé mes parents au centre en mars. Ils se sont arrangés pour que mes parents restent au centre et y mangent gratuitement afin de pouvoir travailler avec eux pour me « réformer ». Wang Hongqiang et mes parents ont fait d'intenses pressions pendant les jours suivants. Je ne pouvais plus supporter la pression mentale. En outre, la situation des pratiquants libérés ayant écrit les déclarations m'a tenté. Je ne pouvais pas accepter la possibilité d'être tué à la suite de la persécution., j'ai donc écrit une déclaration de garantie. Les chefs de section Yang et Zhang en ont pris note et m'ont délibérément conduit à écrire quelque chose sur un autre pratiquant. Je ne pouvais certainement pas faire cela. J'ai alors réalisé que j'avais besoin de changer la situation et de résister à leur tentative de me « réformer ».


À la fin mars, j'ai commencé une grève de la faim pour me rétracter de la déclaration que j'avais écrite sous la pression et j'ai demandé une libération conditionnelle. Les « éducateurs accompagnant » (y compris Da Yang, Xiao Qi, une mère et une fille ayant comme nom Zhong, Liu Changming et Zhang Chaobin) m'ont tenu sur un banc. Da Yang et Xiao Qi ont utilisé une cuillère en métal et un ouvre-bouche afin de garder ma bouche ouverte et de me gaver, ce qui a blessé ma bouche et m'a fait saigner. Le sang et la nourriture ont éclaboussé mes vêtements et le sol. Certains des « éducateurs d'accompagnement » qui ont participé au gavage ont même pleuré quand ils ont vu ce qui se passait. Je leur ai dit qu'ils recevraient un châtiment s'ils choisissaient d'aider les malfaiteurs.


Ma grève de la faim a duré plus d'un mois. Les responsables ont demandé à mes parents de revenir au centre de lavage de cerveau pour essayer de me faire manger. Ils ont demandé à mes parents de me gaver. J'ai mangé la nourriture que mes parents avaient apporté, mais j'ai refusé de manger la nourriture du centre de lavage de cerveau. Après plusieurs jours, mes parents ont demandé à rentrer chez-eux. Bao Xiaomu et Xu Dan ont appelé mes parents et moi à la salle de conférence. Bao Xiaomu a dit qu'elle représentait le centre de lavage de cerveau et a annoncé que si je refusais de manger la nourriture faite au centre de lavage de cerveau, ils ne laisseraient pas mes parents rentrer à la maison et ne laisseraient pas mes parents me rencontrer tant que je n'aurais pas recommencé à manger. J'ai protesté. Ils ont dit que c'était la décision finale du centre. Comme les médicaments de mon père diminuaient, ma mère est devenue inquiète. Elle s'est agenouillée pour me prier de manger. Je l'ai relevée et j'ai demandé à mes ravisseurs de les laisser partir. Ils m'ont renvoyé dans ma cellule. Je n'ai pas revu mes parents depuis et je ne sais pas quand mes parents sont partis.


Peu de temps après, le séisme du 12 mai 2008 a endommagé des bâtiments au centre de lavage de cerveau et ils avaient besoin de réparation. Les fonctionnaires ont eu peur que nous nous échappions du centre et ils nous ont transférés au Centre de lavage de cerveau de Jinniu, le 31 mai 2008.


Avec la protection du Maître, j'ai pu m'échapper du centre le 30 juin 2008.


J'ai été arrêté à la fin octobre 2008, pendant que j'affichais des autocollants pour sauver un pratiquant. Parce que je refusais de donner mes données personnelles, les policiers du poste m'ont roué de coups. Ils m'ont mis des menottes et des fers. J'ai fait une grève de la faim et je n'ai pas coopéré avec eux. Les gardiens ont tenté de provoquer les autres détenus pour me battre. Parce que j'avais déjà clarifié à vérité aux détenus, ils ont évité de commettre des crimes contre Dafa.


Après les six premiers jours de ma grève de la faim, plusieurs détenus et les gardiens m'ont attaché au lit et m'ont mis sous perfusion. Après 21 jours de grève de la faim, ils n'avaient pas d'autre choix que de me libérer.


Traduit de l'anglais au Canada