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Falun Dafa a apporté le bonheur et l'harmonie chez moi

28 septembre 2010

(Minghui.org)

Avant de commencer la pratique du Falun Dafa, j'étais remplie de ressentiment et de souffrances. J'avais l'impression que tout le monde profitait de moi, je me demandais pourquoi ma vie était tellement misérable (particulièrement après la mort de ma mère) et, je m’attristais sur moi-même.


Après trois années de chagrin, je ressentais comme si je me laissais emporter par la vie sans espoir. Je me suis mariée à l'âge de 35 ans, en espérant que ceci allait améliorer ma vie. J'ai été fortement déçue, car mon mari était très égoïste, il ne savait pas comment prendre soin des autres, et je regardais les autres femmes qui prenaient soin tendrement de leur mari, donc, cela me donnait l'impression que c'était encore plus injuste. Nous nous querellions constamment, en particulier sur le fait d'avoir, oui ou non, des enfants (vu mon âge et ma situation financière, je ne voulais pas d'enfants). Mon mari me disait : « Je vais divorcer si tu ne veux pas avoir des enfants. » Ma belle-famille s’opposaient à mes inquiétudes, et j'étais vraiment très malheureuse dans cette situation. Je ne voulais en parler à personne et je restais à la maison tout le temps. Je voulais trouver un endroit calme pour moi-même, mais je me fâchais fréquemment et mon mari ne m’accordait plus d’attention du tout.


En 2007, j'ai rencontré par hasard une de mes amies, qui m’a demandé si j'avais quitté le Parti communiste chinois (PCC) et ses organisations affiliées. Je lui ai dit : « J'avais voulu le faire cela pendant longtemps ; quelqu'un m'avait dit qu'écrire une déclaration et l’afficher dans un endroit public serait suffisant. J'ai eu cette déclaration dans mon sac à main pendant longtemps, mais j'avais eu peur de l’afficher à l’extérieur. C'est fantastique que tu puisses m'aider aujourd'hui. Je vais quitter le PCC avec mon vrai nom ! » Graduellement, j'ai entamé le chemin de la cultivation de la Grande Loi.


En étudiant les enseignements de Falun Dafa, j'ai tout à coup compris des choses ; j'ai senti une joie que je n'avais jamais ressentie auparavant - c'était comme si le monde entier était devenue plus brillant. Je ne me fâchais plus quand mon mari me traitait mal. Le Maître nous enseigne à penser aux autres, donc à chaque fois qu'un problème surgissait, je regardais d'abord à l'intérieur et généralement, je découvrais que c'était moi qui n'avait pas vraiment bien agi. Avant, quand je faisais des travaux de ménage, je trouvais que c'était injuste que mon mari soit aussi paresseux et qu’il ne m’aide en rien. Après avoir étudié la Loi, j'ai arrêté de me plaindre et je n’argumentais plus avec lui quand il se fâchait. J'avais de la compassion, et je pouvais résoudre le problème selon le Falun Dafa et les choses changeaient. Mon mari a commencé à faire du travail ménager et il alla faire les courses, ce qui me faisait gagner pas mal de temps que je pouvais consacrer à l'étude des enseignements.


Mon mari avait été trompé par la propagande du PCC et il ne comprenait pas la Grande Loi. Quand j'ai commencé à pratiquer Dafa, il m'était difficile de lui clarifier la vérité, simplement par le fait qu'il ne voulait pas m'écouter. Quand j'étudiais les leçons de Zhuan Falun, il mettait le son de la télévision au maximum pour interférer. Il m'arrêtait quand je faisais les exercices le matin, donc j'allais faire les exercices dans la cuisine. Le Maître nous a dit d'expliquer les faits sur Falun Dafa avec sagesse, donc j'ai pensé que je devais d'abord me changer moi-même : « Essayons de devenir une meilleure personne et utilisons mes actions pour valider la Loi. » Cet hiver-là, mon beau-père a été hospitalisé pour être opéré et j’ai pris soin de lui, jour et nuit. Le médecin et les autres patients pensaient que j'étais sa fille et ma belle-mère en était touchée.


Quand je me suis mariée et avant de devenir pratiquante de Dafa, je pensais que vivre selon les lois actuelles était trop compliqué et que je ne pourrais pas vivre aussi librement que je voulais. Alors que nos parents devenaient âgés et que leur santé déclinait, ils avaient donc besoin d'aide. Après avoir commencé la pratique de Dafa, j’ai discuté avec avec mon mari du fait que nous devrions aller habiter et vivre avec eux pour prendre soin d'eux. Mon beau-père avait subi une attaque cardiaque et il ne pouvait se déplacer avec facilité ; son système gastro-intestinal ne fonctionnait pas bien et il avait souvent la diarrhée. Je l'aidais à nettoyer ses choses quand il avait un accident. J'essayais de préparer des repas qu'ils aimaient, quand j'en avais la possibilité et je faisais de mon mieux pour bien prendre soin d'eux. Ma belle-mère s’est cassé une jambe en novembre dernier et elle a dû subir une opération, donc, je prenais soin d’elle le soir, je préparais les repas pour mon mari et mon beau-père pendant la journée, et j'emportais des repas pour ma belle-mère à l'hôpital. Je suis allée au moins trois fois par jour, au moins, de la maison à l'hôpital.


Le frère de mon mari et sa femme ne voulaient pas prendre soin de sa mère, aussi, mon mari devait s’occuper du magasin et il espérait que son frère l'aiderait pour le soulager dans sa tâche et l’empêcher d’être trop fatigué. Je l’ai persuadé : « C'est tout à fait notre devoir de prendre soin des gens âgés. Ne te fâche pas contre ton frère. J'en suis capable de faire le travail et je ne me sens pas fatiguée. » L'opération de ma belle-mère s’était bien passée et elle a vite guéri avec mes tendres soins; elle était presque capable de marcher. Un soir, tout à coup, elle s’est fâchée et elle m’a dit pas mal de choses qui m’ont blessées. Mon mari était très fâché et il a dit : « Elle est la seule personne gentille de notre famille et tu la blesses ainsi ? C'est bien, tu peux demander à ton autre fils de prendre soin de toi demain. » J'ai essayé de mon mieux de reprendre en main la situation mais je lui ai dit : « Après avoir marié votre fils, j'ai essayé de mon mieux, de prendre soin de vous deux - comment pouvez-vous me dire de telles choses ? » J’ai quitté l'hôpital et je pleurais sur la route vers la maison ; je me sentais offensée.


Mon mari est rentré et il m’a dit : « Tu prendras soin du magasin demain, je vais m'occuper de ma mère avec mon frère ; si on ne fait pas ainsi, elle ne comprendra pas qui la traite vraiment bien. » Après deux jours, j’ai dit à mon mari : « Maman est la personne la plus âgée de la famille, je dois la voir. C'était de ma faute, donc je ne devrais pas me plaindre d'elle. Elle doit être fâchée parce qu'elle est bloquée à l'hôpital depuis longtemps ; elle n'a pas fait exprès pour me blesser. Mon mari a soupiré avec émotion et il a dit : « Tu as raison. Que tu ailles la visiter ou pas, tu as tellement bon cœur. » Je lui ai répliqué : « Je suis une pratiquante et le Maître nous demande de penser aux autres mais cependant selon la Loi, j’ai encore un long chemin à parcourir. » quand je suis allée voir ma belle-mère, elle s’est excusée avant même que j’ai pu ouvrir la bouche. Je lui ai dit que c’était ma faute et que je n’aurais pas dû lui rétorquer. Mon Maître dit qu’il ne faut pas rendre les coups pour les coups ni les injures pour les injures. » Le conflit de famille s'est évaporé. Ma belle-mère a déjà fini de lire la première leçon du Zhuan Falun et elle a lu : « L'enseignement du Maître à Sydney » plusieurs fois. Elle affirme que plus elle le lit plus elle aime le lire. Mon beau-père avait eu une attaque cérébrale, et le fonctionnement de son cerveau et sa mémoire en avait été affectés. Je lui disais de répéter : « Falun Dafa Hao », « Zhen-Shan-Ren Hao ». Il répétait cela à voix haute, et quand il oubliait les mots, il demandait à sa femme immédiatement. Un jour, il a écrit les mots et il les a lus à voix haute . Mon mari et ma belle-mère lui ont dit de parler plus bas, pour que le voisin ne l’entende pas. Il a dit: « Je ne sais pas parler bas, je sais seulement lire et parler d’une voix forte. Je ne pouvais pas dormir avant et je devais prendre des médicaments, mais après avoir dit la phrase, je peux bien dormir et je n’ai plus besoin de médicaments. » Il avait meilleure mine.


Mon mari a observé mes mots et mes actes et il sait que c'est Dafa qui m'a changée. J'ai une famille heureuse maintenant. Il a changé son opinion sur Dafa et il a aussi quitté le PCC et ses organisations de jeunesse. Il me supporte quand je participe aux études de groupe des enseignements Falun Dafa et il fait autant de travaux ménagers qu'il le peut. Dès que des conflits surviennent, il sourit même et il dit de regarder vers l'intérieur ! Je comprends vraiment la signification de « La lumière de Bouddha illumine tout, bienséance et loyauté rayonnent harmonieusement" (Zhuan Falun)


Traduit de l'anglais en Belgique