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L’éveil juste dans la cultivation (1ère partie)

20 novembre 2011

(Minghui.org)

Par une pratiquante de Chine



A propos des «fausses apparences»


Dans le processus de cultivation, lorsqu’une pratiquant souffre d’une fausse apparence de karma de maladie, d'autres pratiquants lui disent de ne pas le reconnaitre et que ce n'est qu'une fausse apparence. Cette pratiquante dit: «Eh bien, tu dis que c’est une fausse apparence mais la sensation de souffrance existe vraiment. Comment puis-je la considérer comme une fausse apparence?» Entre temps, les autres pratiquants reconnaissent l’existence de cette fausse apparence, soit intentionnellement ou inconsciemment. Ce qui amène la pratiquante à souffrir d’une interférence répétée et longue et elle ne peut pas surpasser cette tribulation.


Récemment, j’ai échangé des compréhensions avec A ce sujet. Elle m’a donné plusieurs exemples qui m’ont permis d’avoir une compréhension claire des fausses apparences. Lorsque A est partie, la pratiquante B a manifesté les symptômes d’un cancer au poumon. Tous les autres pratiquants sont allés lui rendre visite et ont discuté avec elle de comment nier cette fausse apparence. Cela a en fait tellement stressé B que sa condition s’est détériorée. A a demandé à une autre pratiquante de rendre visite à B. Après avoir posé des questions sur la situation générale, A a dit à tout le monde: «Puisque vous croyez tous que ce qui lui est arrivé n'est qu'une fausse impression, alors arrêtons de parler de ce problème afin de l’aider. Faites comme si cette situation n’existait pas. Si vous allez la voir, alors étudiez tout simplement le Fa avec elle et partageons notre compréhension de la Loi. Si nous lui disons de ne pas reconnaitre cette fausse apparence, alors nous ne devons pas non plus la reconnaitre. Cherchons tous à l’intérieur et corrigeons nos propres pensées, et voyons ce qui va arriver!» En conséquence B était remise quelques jours plus tard. Par la suite lorsque quelqu’un prononçait le mot «cancer», elle agitait immédiatement la main et disait: «Ne m’imposez pas ces mauvaises substances. Je n’ai pas de telles choses dans mon corps.»


Dans un autre exemple, la glande thyroïde de la pratiquante C s’est mise à enfler dans la nuit et est devenue dure et épaisse. Elle s’est sentie très mal et s’est couchée. A est allée chez elle et s’est assise sur son lit pour lui lire le Fa. Plus tard, quand elle a vu que C était encore au lit, elle lui a dit: «Ce que je lis est le Fa. Comment peux-tu rester couchée pour l'écouter? C’est irrespectueux.» C s’est assise à contre cœur. Quand ça a été l’heure du souper, A a dit à C: «Et si tu nous cuisinais quelque chose. J’ai faim maintenant.» C a dit: «Je ne me sens pas bien. Pourrais-tu cuisiner pour moi?» A lui a répondu: «Je suis ton invitée. Comment peux-tu me demander de cuisiner?» C s’est tenue la tête entre les mains et a fini à contre cœur par cuisiner le diner. A est restée chez C pendant toute une semaine pour étudier le Fa et partager ses compréhensions. Entre temps, elle ordonnait à C de faire ceci ou cela et ne l’a pas laissée se recoucher. Donc, la condition de C s’est améliorée de jour en jour. Elle s’était presque entièrement remise après une semaine. Plus tard, en partageant cette expérience, C s’est exclamée: «Au début, j’avais de la rancune envers A pour être aussi dure avec moi. Plus tard, j’ai réalisé qu’elle faisait vraiment ça pour mon bien.» A a aussi partagé à ce sujet: «Au début elle était torturée par cette chose et était très perturbée, donc elle voulait juste s’allonger. J’ai pensé à tout ce que je pouvais faire pour l’empêcher de rester couchée et engendrer ses pensées droites. Dans cette situation, comment la mauvaise substance aurait-elle pu rester avec elle?»


(À suivre)



Traduit de l'anglais