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Falun Dafa m'a donné une nouvelle vie (1ère partie)

24 décembre 2011 |   Écrit par Xian Zhi, pratiquante du Nord-Est de la Chine


De la Huitième conférence de partage d’expériences par Internet pour les pratiquants de Chine

(Minghui.org)

Extrait: Avec le temps je n'avais même pas la force de m'asseoir. Je n'avais pas changé de vêtements depuis un an et je portais mes vêtements, chaussures et chapeau nuit et jour. J'étais incapable de m'occuper de moi-même et je devais compter entièrement sur ma mère pour m'aider à aller aux toilettes. Je prenais plus d'une douzaine de pilules par jour. Avant de tomber malade j'étais très difficile à contenter avec la nourriture mais maintenant je mangeais tout ce que les gens disaient qui serait bon pour guérir ma maladie. J'ai même bu une bassine pleine de bile de cochon ce qui m'a simplement causé encore plus de maladies. J'ai découvert la merveille de Falun Dafa par ma plus jeune sœur. Après que ma sœur ait pratiqué le Falun Gong pendant sept jours, j'ai décidé que moi aussi je voulais pratiquer la cultivation. Le premier jour où j'ai pratiqué le Falun Gong, j'ai pu arrêter tout mes médicaments puis ma santé s'est améliorée de jour en jour. Le septième jour j'ai lavé tout mes vêtements pour la première fois depuis des années et j'ai également commencé une saine et complète routine d'hygiène personnelle. À la suite de trois ans de maladie où j'étais grabataire et devenue une épave impotente, j'ai obtenue une nouvelle vie après seulement sept jours de pratique du Falun Gong.


- Écrit par l'auteur


Salutations au Grand et Compatissant Maître!


Salutations aux compagnons de pratique!


Une épave impotente à la suite de trois années de maladie, a obtenu une nouvelle vie après seulement sept jours de pratique de Falun Gong


Autrefois j'étais profondément empoisonnée par la fausse logique du Parti communiste chinois (PCC) pervers. Au moment de la révolution culturelle j'étais adolescente. À partir de la troisième, nous n'avions pas le droit d'étudier les livres des cours classiques mais au lieu de cela nous avons lu, ou appris par cœur, ou chanté tout ce qui avait un contenu du PCC. Ma vie était tellement pleine de frustrations que j'en appelais souvent au ciel en disant: «Pourquoi est-ce que des gens bien ne reçoivent pas de bonnes choses»? Je soupirais d'avoir une vie heureuse.


Mon mari et moi avions des personnalités totalement différentes. Il était coléreux, parlait mal et me battait régulièrement. Les tabassages me laissaient souvent couverte de meurtrissures. En 1995, suite à de nombreuses années de déception et de ressentiment sans répit, dans ma vie, je suis tombée malade. J'avais une hépatite, une inflammation de la vésicule biliaire, une pancréatite, la rate gonflé, une tuberculose rénal, des ulcères, une inflammation du cœur et des migraines. Un jour mon mari m'a infligée une blessure à l'oreille interne en me donnant une gifle. J'avais des blessures sur tout le corps. Un jour mon mari m'a poussée par terre et je me suis brisée deux côtes. Après ça, je suis tombée malade et je n'ai plus pu travailler.


Un jour où j'attendais qu'on me fasse une piqûre dans une clinique, je me suis endormie. En rêve, j'ai vu des quantités de statues de Bouddha de la taille d'une personne et elles étaient assises sur une rivière. Parmi elles, il y avait un Bouddha très remarquable. Quand je me suis réveillée, j'ai parlé de mon rêve au médecin qui a dit que voir un Bouddha en rêve était un bon signe. J'ai été très contente d'entendre cela, alors je lui ai dit: «Est-ce que ça veut dire que je ne vais pas mourir»?


Même après être tombée malade, mon mari a continué à se mettre en colère tous les jours comme d'habitude. À cause de ça, ma maladie s'est aggravée. Bien que ma mère ait eu 72 ans, elle devait encore s'occuper de moi. J'ai perdu mon gagne-pain et mon mari s'est simplement débarrassé de moi. Après avoir quitté la maison, il a fait venir une autre femme chez moi. Mon fils de 17 ans a commencé à travailler afin de gagner de l'argent pour couvrir mes dépenses médicales. Ma fille de 15 ans travaillait aussi comme apprentie dans un magasin. Ils étaient nés dans ce type d'environnement et devaient se prendre en charge eux-mêmes. Au début, je marchais encore et je pouvais aller seule chercher mes médicaments. J'allais souvent à l'hôpital et chaque fois que j'achetais un flacon de médicament, je souhaitais que ce soit le dernier flacon et la dernière visite à l'hôpital. Mon fils ne gagnait que 500 yuan ce qui n'était pas suffisant pour couvrir mes dépenses médicales. Plus tard mon fils est retourné dans la ville où j'avais habité avant pour fonder une entreprise et alors ma vie est devenue bien plus désespérée.


J'ai donc placé tous mes espoir dans ma fille et lui ai demandé de trouver un travail, mais le magasin où elle faisait son apprentissage ne voulait pas la laisser partir. Le propriétaire du magasin lui a offert 200 yuan par mois ce qui était un tout petit salaire. Elle a mis de l'argent de côté pendant trois mois ce qui lui a permis d'acheter un instrument de physiothérapie dont je me servais nuit et jour. Mais comme un jour, j'ai laissé l'instrument marcher trop longtemps, j'ai eu des brûlures sur le ventre. On aurait dit que la peau avait été picorée par un poulet et un liquide jaunâtre suintait des plaies. Avec le temps je n'avais même pas la force de m'asseoir. Je n'avais pas changé de vêtements depuis un an et je portais mes vêtements, chaussures et chapeau nuit et jour. J'étais incapable de m'occuper de moi-même et je devais compter entièrement sur ma mère pour m'aider à aller aux toilettes. Je prenais plus d'une douzaine de comprimés par jour. Avant de tomber malade j'étais très difficile à contenter avec la nourriture mais maintenant je mangeais tout ce que les gens disaient qui était bon pour guérir ma maladie. J'ai même bu une bassine pleine de bile de cochon ce qui m'a simplement causé encore plus de maladies. J'ai entendu dire que manger de l'anguille vivant pouvait réduire la jaunisse, alors pour survivre j'ai tout simplement fermé les yeux et avalé des anguilles l'une après l'autre. Au cours de cette période de trois ans ou j'ai été malade, j'ai avalé deux à trois bassines d'anguilles. Tout ce que j’essayais ne servait à rien. Je me suis demandée: «Dois-je mourir comme ça, et quand donc, cette vie d'enfer prendra-t-elle fin»?.


Il y a eu encore d'autres problèmes. Ma plus jeune sœur est tombée malade. Elle avait de l'eau sur les poumons alors, elle aussi est venue s'installer chez ma mère. Ma mère est divorcée. Ma sœur et moi partagions la même chambre et sa santé aussi se détériorait. Dans le froid mordant de l'hiver, elle allait dehors s'allonger sur l'escalier en béton glacé, le ventre à l'air parce que c'était le seul moyen qu'elle avait trouvé pour se sentir mieux. Les passants pensaient qu'elle souffrait d'une maladie mentale. Ma mère âgée devait s'occuper de ses deux filles très malades. Les voisins se faisaient vraiment du souci pour elle. Un désastre suivait l'autre .


Un jour, en 1998, ma sœur a vu des pratiquants de Falun Gong montrer les cinq exercices dans un petit parc pas loin de chez nous. Des mots inscrits sur une banderole l'ont interpellée:« Le corps de Vajra ne se dégénère jamais». Elle m'en a parlé mais ça ne m'a pas intéressée. J'avais le cerveau lavé par l'idéologie du PCC, je ne croyais pas qu'une chose comme ça puisse être vraie. Quand j'étais tombée malade cinq personnes avaient essayé de me convertir au Christianisme mais j'avais refusé. Il faisait assez beau le jour où ma sœur est allée au site de pratique pour essayer d'apprendre les exercices mais elle portait une veste sale donc les pratiquants ont pensé qu'elle avait peut être des problèmes mentaux. Ils lui ont posé quelques questions pour voir si elle allait être capable de pratiquer.


En revenant du site de pratique, elle a annoncé qu'elle allait arrêter tous ses médicaments. Ça m'a beaucoup étonné parce qu'elle n'avait jamais manqué une seule fois de prendre ses remèdes avant. Je pensais que je la croirais peut être si elle allait encore bien après 24 heures sans médicaments. Le lendemain matin ma sœur s'est levée et elle rentrait et sortait de la maison - comme une personne normale. Elle a aidé ma mère avec son travail de la maison et elle a même porté un seau d'eau qu'elle a vidé dehors. J'étais très surprise et je trouvais ça absolument miraculeux. Elle a pris une hache et a coupé un «porte- bonheur» qu'elle avait acheté quand elle était tombé malade puisque ça utilisait des démons de renards, de belettes, de fantômes et de serpents pour faire des guérisons. J'ai, de nouveau, été surprise parce que seulement une personne en bonne santé serait capable de soulever cette hache. J'ai été témoin de la puissance de Falun Dafa.


Quand ma sœur a pratiqué le Falun Gong pendant une semaine, je lui ai dit que moi aussi je voulais pratiquer la cultivation. Comme je n'étais pas sortie depuis plus d'un an, j'avais peur de ne pas pouvoir faire la pratique mais le Maître a vu ma volonté de pratiquer et de cultiver, il a arrangé qu'un groupe d'étude de la Loi se fasse ce soir là, en face de chez moi. Je suis sortie de chez moi avec difficulté et j'ai supplié le Maître de m'aider à atteindre le site. (J'avais écouté les conférences de Maître rapportées par ma sœur. À cette époque, j'avais un œdème généralisé et mon ventre était gonflé comme celle d'une femme enceinte. En voyant d'autres pratiquants assis dans la position du double lotus, j'ai essayé de les imiter. Je transpirais de partout mais j'ai pu enfin me mettre en double lotus. C'était mon tout premier pas sur le chemin de la cultivation. Une fois l'étude de la Loi terminée, je suis rentrée à la maison. Il faisait un grand vent mais ça ne m'a pas dérangée même couverte de transpiration comme je l'étais. Avant, comme j'étais très faible je prenais froid facilement.


Dès le premier jour des exercices je n'ai plus pris de médicaments, ni n'ai utilisé l'instrument de physiothérapie. Ma santé s'est améliorée de jour en jour. Le troisième jour malgré que j'avais les yeux fermés, j'ai vu le livre du Zhuan Falun flotter devant moi puis, après quelques secondes il s'est envolé. J'ai compris que le Maître voulait que j'obtienne le livre. Le cinquième jour j'étais debout au site de pratique et en fermant les yeux, j'ai vu un un rayon de lumière rouge faire le tour de ma tête quatre ou cinq fois. J'ai compris que Maître me purifiait le cerveau. Le septième jour, j'ai lavé tous mes vêtements pour la première fois depuis des années et j'ai également commencé une saine et complète routine d'hygiène personnelle. Après trois années couchée à cause de la maladie, devenue une épave impotente, j'ai obtenue une nouvelle vie après seulement sept jours de pratique du Falun Gong. J'étais reconnaissante envers le Maître de m'avoir sauvée la vie. Dafa nous a rendu nos vies. Ma mère s'est exclamée toute heureuse: «Merci Maître! Shifu est merveilleux! Il a sauvé les vies de mes deux filles».


A travers l'étude de la Loi, j'ai commencé à prendre conscience que faire diffuser largement Dafa n'était pas destiné à faire des guérisons mais pour purifier le corps des pratiquants, les rendant capables de pratiquer la cultivation. J'ai appris également qu'il y avait de hautes exigences de xinxing pour les pratiquants. J'ai décidé de pratiquer la cultivation alors j'ai étudié la Loi, fait les exercices, j'ai fait connaître les enseignements de Falun Dafa et j'ai pris part à la Conférence de partage local. Je me suis jointe à un groupe d'exercices constitué de milliers de participants -- et c'était spectaculaire à voir.


J'avais lutté dans le malheur toute ma vie et j'avais été entre la vie et la mort pendant trois ans avant de trouver le vrai sens de la vie. J'ai découvert pourquoi on vient au monde et pourquoi j'avais tant souffert. Toutes ces questions sans réponses avaient rapidement trouvé leurs réponses.


Toute ma famille a été témoin du miracle du Falun Dafa. À travers les bénéfices que ma sœur et moi en avons reçus. Il s'en est suivi que plus de vingt d'entre eux ont commencé la cultivation et pratique. Plusieurs voisins aussi ont commencé à pratiquer le Falun Gong. Un matin quand je suis allée dans un parc pratiquer les cinq exercices, il faisait très froid et j'avais les doigts engourdis. J'avais la nausée en faisant le deuxième exercice (Tenir la roue au-dessus de la tête), mais j'ai continué malgré tout et j'ai fini l'exercice. En rentrant à la maison j'avais les doigts tellement gelés que je n'arrivais même pas à enlever mes gants. Un petit peu plus tard, j'ai enfin pu enlever les gants et j'avais des douleurs extrêmes aux doigts. Peu après, mes doigts fonctionnaient normalement comme si rien ne s'était produit. Il n'y avait pas le moindre signe d'engelure. Les doigts de quelqu'un qui ne pratique pas aurait peut être été gelés. Falun Dafa est vraiment merveilleux!


Après un certain temps mon fils est venu me chercher chez ma mère pour m'emmener à la maison. J'avais un peu de peine à quitter cet environnement de pratiquant, puis j'ai pensé que c'était peut être un arrangement du Maître pour que je rentre à la maison et que je diffuse la Loi. Donc je suis repartie avec mon fils. Il savait que son père avait une autre relation dans sa vie depuis trois ans donc je ne pouvais pas retourner à la maison. Il a loué une petite maison pour moi. Au début comme je ne savais pas si il y avait un site de pratique près de chez moi, j'ai pratiqué seule chez moi. J'ai entendu par la suite qu'il y avait un site de pratique qui se trouvait loin de chez moi. Je commençais mes exercices à 5 h du matin et j'allais ensuite au site de pratique, une fois terminé la cinquième exercice (la méditation). J'ai aussi trouvé le groupe d'étude de la Loi local. J'étudiais la Loi et je faisais les exercices chaque jour et je suis allée à la campagne faire connaître la Loi et guider les nouveaux pratiquants dans l'étude de la Loi. Je me sentais totalement libre de tout souci et j'étais très heureuse.


(à suivre)



Traduit de l'anglais en France