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Plus de discussion sur le coup monté de 2001de l'auto-immolation sur la Place Tiananmen

2 février 2011 |   Écrit par un correspondant Minghui/Clartés et Sagesse Cheng Xiang

Plus de discussion sur le coup monté de 2001de l'auto-immolation sur la Place Tiananmen

(Minghui.org)

« L'incident de l'auto-immolation sur la place Tiananmen » d'une triste notoriété, événement orchestré par le PCC, [Parti communiste chinois] est parmi la plus insidieuse série de mensonges que le PCC n'a jamais concocté. L'évènement perpétré le 23 janvier 2001 a été calculé pour inciter la haine envers le Falun Gong, une pratique spirituelle pacifique. Depuis que le coup monté de « l'auto-immolation » est devenu connu à travers le monde, le porte parole du PCC, l'Agence de nouvelles Xinhua, a de nouveau publié une soi-disant interview dans un nouvelle tentative de tromper le peuple chinois.

Le Journal Qingdao du Matin, le quotidien Hua Shang de Xi'an à Shaanxi, le journal de soirée Dalian et le Jinan Times ont publié un rapport furtif le 21 janvier 2011. Le rapport énonçait que « l'article était basé sur un rapport de l'agence de presse Xinhua. » Quoiqu'il en soit, dans « l'interview », à part les noms des deux « auto-immolés», deux autres personnes étaient impliquées ; un reporter de l'agence de presse Xinhua et un membre du personnel de « la Société de soin et d'amour de Chine, » mais ils n'ont pas osé révéler leur noms. Le nom du journaliste était simplement inscrit comme « un journaliste de l'agence de presse Xinhua. » Les photos utilisées dans l'article étaient toutes d'un site Internet créé pour diffamer le Falun Gong, mais sa vraie identité n'est pas révélée.

Récapitulation de l'histoire : Le 23 janvier 2001, la veille du Nouvel an chinois, le coup monté d'un incident « d'auto-immolation » a eu lieu à la Place Tiananmen. L'incident a bouleversé le monde entier. Le premier rapport du porte-parole du PCC piégeait et discréditait le Falun Gong mais dans la version officielle, on a plus tard découvert qu'il y avait des incohérences et des inexactitudes significatives. Peu après l'incident, les médias d'outremer ont analysé les bandes vidéos de l'émission Interview Point de Convergence de la CCTV ( Télévision centrale de Chine ), les visionnant au ralenti. Une des séquences révélatrices montre qu'une femme, Liu Chunling, qui dans la version de Xinhua est supposément morte de ses brûlures, a en fait reçu un coup sec sur la tête avec ce qui semble être une barre de métal, assené par un homme portant un manteau de l'armé. On la voit s'écroulant instantanément sur le sol ; elle est plus vraisemblablement morte à cause de ce coup. L'émission Interview Point de Convergence a effacé la séquence des bandes quand ils ont repasser la vidéo.

Toutefois, les Nations Unies ont obtenu la vidéo d'origine et un producteur d'outremer a fait un film intitulé « False Fire » qui révèle la vérité au monde entier. Le canular du PCC a été largement exposé comme du matériel peu crédible : « La police patrouillant la Place Tiananmen avec des extincteurs ; une bouteille de plastique de Sprite qui est restée imbrûlée après que la personne la tenant, ait prit en feu et une femme qui pouvait chanter clairement pour les caméras de télévision après que sa trachée ait été coupée... » Ces incohérences et bien d'autres ont permis aux gens d'acquérir une compréhension plus profonde de la nature sinistre et perverse du PCC. (http://falsefire.com )

Au cours de la dernière décennie, les pratiquants du Falun Gong de Chine continentale ont surmonté des difficultés et risqué le danger d'être arrêté en distribuant au public des vidéos et des documents écrit à propos du coup-monté de « l'auto-immolation ». Quand les gens rencontraient des parents ou des amis qui étaient pratiquants du Falun Gong, ils s'enquéraient auprès d'eux pour savoir ce qui s'était vraiment passé. Plusieurs personnes ont soupiré en disant « Le PCC m'a encore trompé ! Quand ont-ils dit la vérité depuis les douze dernières années ? » Le coup monté de « l'auto-immolation de la Place Tiananmen » est finalement devenu un moyen puissant pour que les gens comprennent les méthodes de fabrication du PCC.

Au cours des dernières années, de temps à autre le PCC a orchestré des interviews avec des ''auto-immolés'', dans le but de se rattraper et de couvrir leur canular avec d'autres canulars ; mais chaque fois les résultats étaient contreproductifs, exposant encore des fabrications.

 

    Trois photos de Wang Jindong diffusées par les médias du PCC :


    1. Le 23 janvier 2001, quatre heures après l'auto-immolation, le site Web de Xinhua affichait la photo d'identité de Wang Jindong.


    2. Le 30 janvier 2001, « Interview Point de Convergence » de la CCTV


    3. Le 10 avril 2001, « Interview Point de Convergence » de la CCTV


Chen Guo et sa mère assignées à résidence à l'année

Il y a dix ans, quand la jolie étudiante universitaire de 19 ans, Chen Guo a été vue en victime défigurée sur la CCTV, plusieurs personnes ont soupiré et ont ressenti de la haine envers le Falun Gong mais ils n'étaient pas au courant que le PCC, les vrais meurtriers, était en train de rire derrière les rideaux. Les moyens de fabrication du PCC peuvent être vus à la douzaine sur des années de viles tactiques.

Un informateur a révélé sur Clearwisdom.net, le 24 janvier 2005, que « Chen Guo et sa mère ont été gardées assignées à résidence dans la maison d'aide social Beijiao dans la ville de Kaifeng. Zhan Jingui, un policier à la retraite du département de police de la ville de Kaifeng est en charge de les surveiller toutes les deux. La police surveille Chen Guo et sa mère jour et nuit pour empêcher tout contact avec le monde extérieur. Depuis que le canular de l'auto-immolation est largement connu, la police a révélé en privé que le gouvernement essaie de prendre soin d'elles et de ne pas les laisser mourir, afin qu'elles puissent être utilisées pour attaquer et discréditer le Falun Gong. »

Une autre personne a révélé une rumeur sur un site Web disant que Chen Guo était morte d'une infection généralisée. Sous le blocage strict d'informations du PCC et tant que Chen Guo et sa mère sont assignées à résidence jour et nuit, qu'elle soit vivante ou non, le PCC va l'utiliser comme un instrument pour tromper le public et fomenter la haine ; même si elle est vivante, elle est incapable de dire la vérité librement sous le contrôle du PCC. Sa vraie situation est inconnue pour le monde extérieur.

Un des principaux acteurs dans « l'auto-immolation » est Wang Jindong. Sa façon de se croiser les jambes (pour la posture en méditation) et le slogan qu'il a crié nous indique qu'il n'est pas un pratiquant du Falun Gong. Certains analystes ont mis en évidence qu'il était un initié du système policier, choisi spécifiquement pour cette tâche.

Liu Chunling est la femme qui est morte d'avoir été frappée à la tête sur les lieux. Le 4 février 2001 le Washington Post a publié en première page un reportage d'investigation renversant intitulé « Un feu humain enflamme le mystère chinois – le mobile pour un feu en public intensifie les combats sur le Falun Gong. » L'auteur, le journaliste Philip Pan s'est rendu dans la ville natale de Liu Chunling à Kaifeng pour enquêter sur ses antécédents. Ses voisins ont déclaré « Personne ne l'a jamais vu pratiquer [le Falun Gong].»

Liu Siying, âgée de douze ans, pouvait chanter clairement à la caméra après que sa trachée ait été ouverte. Le lendemain de « l'auto-immolation » certains critiques ont mis en preuve qu'elle n'était pas en âge d'être arrêtée mais que le PCC ne la garderait pas comme témoin vivant ; elle mourrait c'est certain. De fait, Liu Sying, qui s'était bien rétablie et qui était en bonne santé est morte soudainement six mois plus tard dans des circonstances qui resteront à jamais mystérieuses.

Wang Bo et sa mère révèlent la vraie identité de Chen Guo

Le 27 avril 2007, les fonctionnaires de la Cour intermédiaire de Shijiazhuang ont entendu le cas de Wang Bo et de sa famille. Six avocats de Pékin ont défendu l'innocence de Wang Bo et de sa famille, malgré les interférences du régime. Comme le raisonnement légal ainsi que les faits qu'ils ont fourni étaient incontestables, le procureur et le juge ont été incapables d'avancer d'autres arguments pour justifier ce qu'ils étaient en train de faire.

Wang Bo a révélé un autre canular relié au coup-monté de l'auto-immolation : « l'auto-immolée ». Chen Guo était la camarade de classe de Wang Bo. Chen avait déjà pratiqué le Falun Gong mais à l'époque où elle a fait la connaissance de Wang Bo en 1999, elle avait cessé de pratiquer.

Wang Bo a dit dans sa déclaration en 2005 : « J'ai fait la connaissance de Chen Guo au cours de mes études au Conservatoire Central de musique. Elle avait déjà pratiqué le Falun Gong mais quand j'ai fait sa connaissance en 1999 elle avait cessé de lire Zhuan Falun et ne considérait plus Maître Li Hongzhi comme son maître. Elle croyait qu'une personne prénommée Liu de la province du Henan était vraiment « une personne très compétente ». Elle nous a aussi invité ma mère et moi à l'accompagner à Henan pour écouter cette « personne très compétente » «enseigner la Loi...»

Cette soi-disant personne « très compétente » dont Chen Guo parlait est Liu Yunfang, une des sept «auto-immolés» selon le porte-parole du PCC. Elle était présente sur les lieux de la scène mais n'a pas versé de gazoline sur elle et elle a dit des choses contradictoires.

Un reportage de l'agence de presse Xinhua se contredisait concernant l'identité de Chen Guo. En premier il prétendait que la mère de Chen Guo, Hao Huijun, avait commencé à pratiquer le Falun Gong en 1997 ; plus tard un autre reportage déclarait que « Chen Guo avait commencé la pratique du Falun gong en 1996 sous l'influence de sa mère. » Le temps donné est contradictoire. La mère de Wang Bo, Liu Shuqin, a aussi révélé que parce que Wang Bo connaissait la vraie situation de Chen Guo, le régime a eu recours à tous les moyens possibles pour persécuter Wang Bo et sa famille dans le but de la faire taire. Juste comme la mère de Wang Bo a dit, pendant le procès de Wang Bo, un dirigeant du Parti communiste, Luo Gan, a été personnellement impliqué dans l'issu du procès. Selon un rapport paru sur Clearwisdom en mai 2007, Lu Ling, le juge en chef dans le procès de Wang Bo, est allé à Pékin le 14 mai pour passer en revue le déroulement avec des plus hautes autorités. Le 16 mai, Luo Gan, le secrétaire du comité politique et judiciaire du régime s'est rendu dans la ville de Shijiazhuang pour surveiller la situation et les juges. Le 21 mai, le juge Liu Ling a dit que le second tour des auditions avait déjà pris fin et que le procès était retourné à la première Cour. Le juge de la première Cour du district de Changan a dit que que la première Cour n'avait pas l'autorité pour prendre une décision dans ce procès. La conclusion avait déjà été décidée pour maintenir la condamnation originale.

Des hauts fonctionnaires du ministère de la sécurité publique révèlent les dessous de « l'auto-immolation »

Au cours des dix dernières années suivant « l'auto-immolation, » plusieurs initiés ont révélé de l'information aux médias d'outremer, prouvant que le PCC avait orchestré l'évènement. Avant l'incident, il y avait eu des fuites d'information provenant du PCC.

Lin Chunshui, un des dirigeants en Chine du Parti démocratique chinois a révélé aux médias d'outremer, « Selon l'information qui m'a été fournie le 28 janvier 2001 par un haut fonctionnaire du ministère de la sécurité publique, le ministre Jia Chunwang savait déjà le 22 janvier que Wang Jindong se ferait flamber lui-même le 23. »

Lin a aussi déclaré ce que Luo Gan avait dit à la conférence du Comité central politique et judiciaire, « Selon l'information dont j'ai eu connaissance, même si notre Wang Jindong ne s'était pas fait flamber lui-même, il y aurait eu un Zhang Jindong, un Li Jindong ou quelqu'un d'autre qui aurait pris les devants pour faire un spectacle. » [Paraphrasé]

Certains initiés des médias du PCC ont aussi révélé aux médias d'outremer que les fonctionnaires avaient comploté « l'auto-immolation » et les médias ont coopéré pour ce canular.

L'auto-immolation n'a pas de sens si on se base sur les croyances du Falun Gong

Les vrais pratiquants du Falun Gong savent que le Falun Gong enseigne aux gens à se conduire selon les principes d' Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Tuer les gens est interdit comme l'est aussi le suicide. Alors, comment ceux qui tuent les autres ou se suicident peuvent-ils être des pratiquants du Falun Gong ? Les gens qui font cela ne suivent pas les principes du Falun Gong mais vont à l'encontre ; peu importe comment les médias du régime mentent, ces gens n'étaient absolument pas des pratiquants du Falun Gong.

L'interview Point de Convergence nous fait voir qu'aucun de ces « auto-immolés » connaissait le Falun Gong. Tous ce qu'ils ont dit n'avait aucun sens et était contraire aux principes du Falun Gong.

Les pratiquants du Falun Gong en Chine continentale et autour du monde ont clarifié les faits depuis 1999 ; la communauté internationale et le peuple chinois sur le Continent ont donné aux pratiquants du Falun Gong de grandes éloges pour leurs efforts qui durent depuis une décade à expliquer la vérité avec ténacité de manière paisible et rationnelle et applaudissent leur esprit intransigeant à résister à la persécution. Qui parmi les millions de pratiquants au cours des dix dernières années a utilisé quelque moyen extrême tel que commettre un suicide comme ces « auto-immolés » de la Place Tiananmen ?

En mai 2002, quand les médias occidentaux ont interviewé un individu nommé Wang Jindong, il a admis que le Falun Gong ne lui avait pas enseigné « l'auto-immolation ».

Un critique a interrogé Chen Guo et sa mère : « Qui est la personne qui en réalité t'as ordonné de participer à ce canular ? Pourrais-tu trouver un fondement à l'auto-immolation provenant des enseignements du Falun Gong ? » Le critique a aussi mis en évidence que le point de convergence de ce reportage est que l'agence de presse Xinhua avait dit que le Falun Gong avait donné l'ordre à Chen Guo de s'auto-immoler et Chen Guo a aussi dit qu'elle s'était fait flamber à cause de sa pratique du Falun Gong. Mais depuis l'auto-immolation qui a eu lieu en janvier 2001, de toutes les informations que nous avons vues et entendues, nous n'avons vu que des paroles diffamatoires contre le Falun Gong provenant de l'agence de presse Xinhua et de ses « témoins » qui sont illogiques, confus et qui se contredisent.

Sans tenir compte de la raison avec laquelle le PCC a dupé la pauvre Chen Guo et sa mère pour « s'auto-immoler » , elles sont maintenant des outils que le PCC utilisent pour inciter le publique à la haine contre le Falun Gong. Elles ne pourront jamais se débarrasser de ça.

Li Yuqiang le journaliste de l'émission Point de Convergence de la CCTV admet que la scène de « L'auto-immolation » était un coup-monté

Un reportage sur Vraiesagesse.net le 26 mai 2003 intitulé « Li Yuqiang du CCTV reconnaît  qu’une partie de l’ « auto-immolation » est un montage de scène » a révélé que Li Yuqiang avait admis ça au début de 2002.

Sur les bandes vidéos de « l'Auto-immolation » produites par l'émission Interview Point de Convergence de la CCTV, l'acteur Wang Jindong avait une bouteille de Sprite en plastique contenant de la gazoline entre les jambes. La bouteille n'a pas été endommagée par le feu. Un policier tenait une couverture anti-feu alors qu'il marchait derrière Wang Jindong et n'a pas placé la couverture sur lui avant qu'il ne finisse de parler à la caméra.

Le reportage disait : « Au début de 2002, Li Yuqiang était dans un centre de lavage de cerveau, le soi-disant « Centre de formation et d'entraînement en droit pour la capitale de la province du Hebei » pour interviewer Wang Bo. Durant sa visite elle a tenu une discussion avec avec des pratiquants de Falun Gong qui étaient détenus illégalement dans cet endroit. Les pratiquants l'ont questionné au sujet de la nature suspecte de l'émission de la CCTV contenant la scène de « l'auto-immolation. » Ils ont mentionné l'évidence telle que l'exemple de Wang Jindong, qui avait été sévèrement brulé, pourtant une bouteille de Sprite pleine de gazoline est restée intacte entre ses jambes. Confronté par des évidences et des analyses, Li Yuqiang n'a eu d'autre choix que de reconnaître qu'ils avaient placé la bouteille de Sprite entre les jambes de Wang Jindong après qu'il avait été brûlé et que la scène était un coup-monté. Elle a essayé d'argumenter que la scène avait été arrangée dans le but de prouver aux téléspectateurs que les pratiquants de Falun Gong avait procédé à « l'auto-immolation. » Elle a même admis que si ils avaient su que son authenticité serait réfutée ils ne l'aurait jamais filmé.

Li Yuqiang est une journaliste sénior pour l'émission de nouvelles Point de Convergence de la CCTV. Depuis que la persécution a commencé en 1999 elle a été responsable pour produire des émissions qui diffament le Falun Gong. Presque toutes les émissions qui ont attaqué de façon vicieuse le Falun Gong, qu'elles soient imprimées ou télévisées, venaient en direct de la scène après montage, de Li Yuqiang. Il est remarquable que durant chaque interview télévisée, elle n'a jamais montré son visage lors del'émission souvent des vues de profil, de dos ou des vues assombries ont été utilisées pour cacher son visage. Quelqu'un a rapporté que l'identité de Li Yuqiang était un secret et qu'elle a une relation proche avec le bureau 610 central du régime. (Note:  l’Organisation Mondiale pour Enquêter sur la Persécution  du Falun Gong  a pris l'initiative de ce cas pour enquêter Li Yuqiang sur son rôle dans la production de ces émissions.)

Le canular du PCC est exposé à la communauté internationale

Le Développement International de l'Éducation des Nations Unies a fait une déclaration au cours de la cinquante-troisième session du sous comité sur la promotion et la protection des droits humains le 14 août 2001. Concernant « L'incident de l'auto-immolation de la Place Tiananmen, » la déclaration a fortement condamné l'assaut violent des autorités du PCC contre les pratiquants du Falun Gong et ont vu ça comme du « terrorisme d'État. » La déclaration se lisait : « Nous avons obtenue une vidéo de cet incident qui à notre avis prouve que cet événement a été monté par le gouvernement. Nous avons des copies de cette vidéo disponibles pour la distribution. »

Le film « False Fire » a été fait par la télévision New Tang Dynasty en janvier 2002 pour examiner les points

suspects de l'incident de l'auto-immolation. Le film a remporté un prix au 51ième festival de film international de l'université de Columbia le 8 novembre 2003. Ce film a très bien analysé et exposé cet événement tragique et a démontré que l'auto-immolation était un coup-monté du gouvernement chinois. (Voir le film à : http://falsefire.com)

 

Ian Johnson du Wallstreet journal, un des journalistes les plus perspicaces qui suit cette histoire a eu des doutes en voyant la vitesse avec laquelle cette histoire avait été couverte, remarquant que le média d'État « a rapporté la mort des victimes avec un empressement inhabituel, impliquant que soit la mort avait eu lieu avant le reportage ou que le média habituellement prudent avait une autorisation de haut niveau pour faire sortir des rapports électroniques et une dépêche télévisée. ... »

Comme le journaliste Danny Schecter, éditeur exécutif de MediaChannel.org, a dit dans son article : « Qu'est-ce qui pourrait être plus dramatique ? Des gens qui s'immolent par le feu sur la Place Tiananmen au coeur de Pékin. CNN est là. La police s'adonne à avoir des extincteurs sous la main et les victimes sont emmenées rapidement à l'hôpital après que leur agonie ait été entièrement photographiée pour la télévision d'État. C'est alors que le média contrôlé par l'État diffuse de façon inhabituelle l'histoire d'un seul coup, alors que ça prend une semaine de production avant qu'une bande vidéo soit diffusée. »

Aujourd'hui, même si plusieurs personnes savent que le PCC a monté l'incident de l'auto-immolation pour diffamer le Falun Gong, le PCC produit de nouveau ce mensonge vide dans le but de maintenir la tromperie. Toutefois, tous les médias du PCC et les autres parties liées responsables qui ont diffusé le mensonge contre leur conscience vont ultimement faire face à la justice pour leur mauvaises actions.

Traduit de l'anglais au Canada