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Une anecdote illustrant le principe que tous les êtres vivants ont une puissance

2 mars 2011 |   Écrit par Dalu, un pratiquant de Chine

(Minghui.org)

À la fin de 2008, alors que j'étais occupé à préparer le mariage de mon enfant, plus de 4000 semis de concombre dans mon hangar, 80 mètres de long, ont développé le mildiou, une sérieuse maladie frappant les semis de concombre. Les membres de ma famille m'ont blâmé parce que je ne me suis pas occupé de ces semis, et d'autres personnes ont commencé à faire des potins sur moi. Si je les jetais tous, je savais quels seraient les conséquences sur notre gagne-pain. Ma famille a utilisé beaucoup de remèdes pour résoudre le problème en vain.


Autrefois, j'avais développé l'habitude de me disputer âprement face à ces types de difficultés à l'intérieur et à l'extérieur de ma famille. Cette fois-ci, j'étais étonnamment calme. C'était comme si le Maître était à côté de moi. Ma première pensée était que ce n'était pas un problème. Sur le chemin de cultivation, les bonnes et les mauvaises choses sont toutes les deux bonnes. Les conflits dans la vie nous donnent des occasions d'élever notre xinxing.


Qu'est-ce que je devrais faire? Peut-être parler aux semis? En me souvenant que le Maître a dit que les plantes sont des êtres vivants également, je leur ai dit :« Je ne vous blâme pas pour ce qui vous est arrivé. Étant votre propriétaire, je ne me suis pas bien occupé de vous et je vous ai négligés pendant que vous grandissiez. Je ne vous ai pas fourni ce dont vous aviez besoin. Je vous présente sincèrement mes excuses pour cela. Je suis vraiment désolé. Veuillez me pardonner pour ma négligence. » Je leur ai dit d'une manière formelle :« Votre propriétaire est un pratiquant de Falun Gong. Le Falun Gong est la Grande Loi de l'Univers. Toutes les choses innombrables dans le monde doivent s'assimiler à cette Grande Loi. J'espère que nous pourrons tous les deux recouvrir la santé sous les enseignements de la Loi de Bouddha.


J'ai dit ce que je devais dire et j'ai fait ce que je devais faire. Je n'ai pas beaucoup réfléchi, et mon cœur était léger et spacieux.


Plus tard, les choses se sont déroulées comme d'habitude au cours de l'année. J'ai suivi toutes les procédures conventionnelles pour planter les petits semis. Après un mois, j'ai souri lorsque j'ai vu que les semis dans le hangar étaient tous d'un vert brillant. Je les ai salués et leur ai manifesté ma reconnaissance. Après avoir déraciné et vendu les plants, j'ai calculé leur rentabilité. Comparativement à ces quelques années précédentes, cette saison a été la meilleure.


Je savais profondément que le Maître m'a offert son assistance et m'a aidé à comprendre. Il m'a aidé à renoncer à tous les attachements du monde. Si cela t'appartient, tu ne le perdras pas, si cela ne t'appartient pas, n'essaie pas de l'avoir.


Traduit de l'anglais au Canada