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Sélection de demandes d'articles : Un brouillard dense descend soudainement

25 mars 2011 |   Écrit par Bing Qing de Chine continentale

Sélection de demandes d’articles : Un brouillard dense descend soudainement

(Minghui.org)

J’aimerais partager trois incidents miraculeux que j'ai vécu en pratiquant la cultivation afin de valider la grandeur du Maître et de Dafa et enregistrer à jamais la compassion de Dafa dans le monde humain.


Un brouillard dense apparaît en un éclair


Au début du printemps 2002, de 2 heures du matin jusqu'à environ 5 heures, une pratiquante et moi sommes allées poser des bannières expliquant la vérité au sujet du Falun Dafa. Finalement, nous sommes arrivées à un grand marché où devait se tenir un grand événement annuel de commerce. Ce jour-là, plus de la moitié de la population de la ville devait venir à cette assemblée commerciale. Nous avions prévu d’afficher toutes les bannières qui nous restaient le long de la rue avant l’aube.


Cependant, quand nous avons affiché les bannières il a commencé à faire jour, car c'était presque l’aube. Quelques vendeurs arrivaient déjà pour installer leurs stands. Comme nos bannières étaient longues et grandes, nous nous servions de longues tiges de bambou pour les accrocher. En accrochant les bannières, nous avons attiré beaucoup d'attention. En voyant tant de personnes présentes, j'ai pensé que c’était peu sûr. Cependant, nous devions faire connaître aux gens la magnificence de Dafa et à quel point Dafa s’est répandu partout à travers le monde. Comment résoudre le problème ? J'ai pensé : « Ce serait bien s'il y avait un brouillard dense. »


Cette pensée m’est venue à l'esprit quand j’étais encore en train d'accrocher les bannières. Cependant, au moment où j’ai eu cette pensée, tout à coup je ne voyais plus l'autre pratiquante. Un brouillard dense nous entourait. Bien que l'autre pratiquante se trouvait à un mètre de moi, je ne la voyais pas. Je ne peux exprimer mon enthousiasme à ce moment-là. C’est comme le Maître a dit :


« La cultivation dépend de soi, le gong dépend du maître. » (« ) . Merci, Maître bienveillant !


Nous avons réussi à poser toutes les bannières comme si personne d’autres n’était autour. Dès que nous avons fini, le brouillard a disparu et il faisait grand jour. Tout était en place, prêt pour l’arrivée des êtres à sauver !


Le numéro de téléphone apparaît devant mes yeux


En été 2004, j'ai pris un autobus pour rendre visite à une pratiquante dans une autre ville. Nous avions convenu que je l'appellerais dès mon arrivée à la gare. Cependant, je n'étais jamais allée dans cette ville auparavant et je ne savais pas où vivait la pratiquante. Quand nous avions pris le rendez-vous, la pratiquante m'avait donné son numéro de téléphone de 7 chiffres et je l'avais écrit sur un bout de papier.


Après que l'autobus soit presqu’à mi-chemin, je me suis tout à coup rappelée que j'avais oublié le morceau de papier avec le numéro de téléphone de la pratiquante. Mon cœur était angoissé et je me suis blâmée. J'ai commencé à demander l’aide du Maître. En fait, j’y ai juste pensé sans attachement. J'ai pensé : « En fait ceci est due à mon inattention, comment pourrais-je demander l’aide du Maître ? Comment le Maître pourrait-il mettre ce bout de papier dans ma poche à ce moment-ci ? »


Juste à ce moment-là, une rangée de numéros est apparue devant mes yeux. Je ne connaissais pas ces numéros mais j'ai senti que je devais les écrire le plus vite possible. J'ai regardé autour en espérant voir un stylo pour noter les numéros (je savais que je ne pourrais pas m’en rappeler pendant très longtemps). Une fille d’environ 16 ou 17 ans s'est assise devant moi. Sans rien dire, j'ai fait le geste d’écrire avec ma main, essayant de lui dire que j'avais besoin d'un stylo. Je ne voulais rien dire par peur d’oublier les numéros dans mon esprit. La fille a rapidement compris et m'a passé un stylo. Je l'ai pris et j’ai noté les numéros sur ma paume gauche. J'étais soulagée. J'ai dit à la fille : « Merci ! Merci ! »


J'ai alors commencé à me demander : « Est-ce un numéro de téléphone ? » En jetant un coup d'œil au numéro sur ma paume, j'ai vu qu'il y avait juste 7 chiffres. J'ai jeté un autre coup d'œil et remarqué le premier chiffre et immédiatement j’étais toute excitée. Le premier chiffre était exactement le premier chiffre des numéros de téléphone de la région ! Dès que l'autobus est arrivé à la station, je suis rapidement descendue et j’ai téléphoné. Quand j’ai entendu le « tut » du téléphone, j'ai su que c'était vraiment un numéro de téléphone ! Dès que j'ai entendu la pratiquante dire « Bonjour », j’étais émue et je pouvais à peine parler. Naturellement la pratiquante ne savait pas pourquoi j'étais sans voix.


La police ne me voyait pas


Une fois que quand je suis sortie distribuer des documents de clarification de la vérité, je ne savais pas que j'avais été rapportée à la police. Cinq policiers sont sortis d'une voiture de police et ont demandé à plusieurs femmes si elles m'avaient vu. Alors qu'ils étaient en train de décrire mon âge et mes vêtements aux femmes, je suis sortie du bâtiment et je les ai vues. Comme ils se trouvaient à une certaine distance devant moi, ils n'ont pas remarqué que j'étais derrière eux.


Réalisant le danger, j'ai changé de direction et j'envisageais de quitter les lieux en empruntant une autre direction. Cependant, je n'étais pas certaine s'il y avait une sortie dans cette direction, j'ai donc demandé à une femme : « Y a-t-il une sortie dans cette direction ? » Elle a dit : « Avancez et tournez à gauche. Vous verrez une petite porte étroite sur votre droite. Comme vous n’êtes pas à vélo, vous pourrez sortir par là. » Le Maître a de nouveau dissout le danger pour moi.


Une autre fois, j'ai été de nouveau rapportée à la police quand je distribuais des documents clarifiant la vérité, mais je ne le savais pas. Une voiture de police s'est précipitée vers moi et s'est arrêtée juste devant moi. J'ai été étonnée et j’ai immédiatement émis la pensée droite. Un policier est sorti de la voiture et a fixé mon sac pendant plus de 30 secondes. L'expression dans ses yeux montrait sa méchanceté, mais encore plus de confusion, comme s’il n'avait jamais vu un sac comme le mien auparavant. Tout d'abord j’ai été également confuse par sa présence, mais j'ai bientôt compris. Ce jour-là, j'avais pris deux sacs avec moi. Un était très grand et l'autre était petit. Les deux sacs étaient de couleurs contrastées. Au début, j'avais placé le petit sac et le matériel à l'intérieur du grand sac. Après avoir distribué plus de la moitié du matériel, sans penser, je les échangés, plaçant le grand sac et le matériel dans le petit sac. Le fort contraste de couleurs a confondu le policier. En apparence, il semblait que c’était parce que je les avais changé de place, mais c’était réellement le Maître qui m'aidait. Le Maître m'a de nouveau aidé à dissoudre les facteurs pervers !


J'ai décidé de partir et la police m’a cherchée partout. Un jour, j'étais à vélo comme d'habitude du côté droit de la route. Deux policiers sur des motos se sont précipités derrière moi, passant de chaque côté et se sont tout à coup arrêtés juste devant moi, me bloquant le chemin. J'ai immédiatement émis la pensée droite. Alors les policiers ont remis leurs moteurs en marche et ont démarré en trompe. Les personnes qui observaient tout près ont crié : « Pourquoi conduisent-ils comme des fous ?! »


En fait, d’innombrables choses miraculeuses comme celles-ci sont arrivées aux pratiquants. Je n’en ai partagé que trois dont j’ai fait l’expérience pour montrer que le Maître s’occupe de nous et pour montrer la magnificence du Falun Dafa. Je ne peux exprimer ma gratitude sans borne envers le Maître. Avec tous ce que j'ai, je ne peux pas rembourser la vertu majestueuse à notre Maître. La seule chose que je peux faire est d'essayer encore plus de sauver davantage de gens et de cultiver de plus en plus diligemment ! Merci, Maître bienveillant !


Choisi parmi les « Demandes d’articles sur les incidents divins dans le monde humain »


Traduit de l’anglais au Canada