(Minghui.org)

J'aimerais ici raconter une histoire de la cultivation d'un pratiquant âgé. J'espère que cela inspirera d'autres pratiquants. Nous devrions prendre soin de nos compagnons de pratique dans nos vies occupées de cultivation, de validation de la Loi, et de clarification de la vérité. Nous sommes un seul corps, et devrions prendre soin de chacun et avancer diligemment ensemble.

Une vieille dame de 83 ans vit dans un village isolé de l'ouest de la Province du Liaoning. Elle a commencé à pratiquer le Falun Gong en 1996.

Un jour de l'année 2005, elle est soudainement tombée insupportablement malade malade, et ses filles l'ont emmenée à l'hôpital. Après lui avoir fait passer un examen médical, les médecins ont dit à ses filles: «Les poumons de votre mère ne remplissent plus leurs fonctions, seule une petite partie encore fonctionne correctement. De plus, ses autres organes sont aussi malades. Prenez les médicaments qu'on lui a prescrit et retournez chez vous.» Ses filles savaient que leur mère avait eu des problèmes pulmonaires pendant plus de dix ans avant qu'elle ne commence à pratiquer le Falun Gong.

Une nuit, cette pratiquante âgée fit un rêve, dans lequel une personne lui montrait un nouveau poumon en lui disant «Ceci est votre nouveau poumon qui n'a pas de maladie.» Elle a raconté son rêve à sa fille aînée, qui est aussi une pratiquante. Sa fille lui a dit que c'était le Maître qui purifiait son corps et qui l'encourageait à cultiver diligemment, parce que Lui seul pouvait sauver sa vie.

Plus tard, sa fille aînée se rendit hors de la ville pour des affaires. Comme il n'y avait aucun autre pratiquant vivant dans le quartier, la dame âgée écoutait continuellement les Conférences de Loi et pratiquait les exercices toute seule.

En janvier 2011, la dame âgée vit apparaître des œdèmes sur tout son corps et la douleur était au-delà de son niveau de tolérance. Elle ne pouvait plus prendre soin d'elle, et ni les médicaments ni les injections ne pouvaient l'aider. Elle réalisa alors qu'elle devait se comporter comme une pratiquante, alors elle commença à méditer malgré la douleur et demanda l'aide du Maître, jusqu'à ce que la douleur disparaisse.

Un jour, le mari de sa plus jeune fille vint lui rendre visite. Sa jeune sœur l'appela aussi ce jour-là. Après avoir pris connaissance de sa situation, sa sœur lui a dit, «Comment les médicaments et les injections pourraient-ils marcher? Seul Maître peut te sauver.» Sa sœur a alors dit au mari de sa fille de l'aider à trouver un groupe d'étude de la Loi, de manière à ce qu'elle puisse communiquer et échanger ses expériences avec les compagnons de pratique.

Trois jours plus tard, le mari de la jeune sœur, qui est pratiquant, accompagné d'un autre pratiquant, ont marché plus de 20 kilomètres par monts et collines, sans véritable route et remplis de jujubes épineux, pour rendre visite à la vieille dame. Lorsqu'ils arrivèrent, elle fut émue aux larmes par leur acte altruiste en faisant un si long chemin dans le froid pour venir la voir. Les amis pratiquants l'encouragèrent et l'aidèrent à émettre des pensées droites. Ils lui rappelèrent qu'un véritable pratiquant n'a pas de maladie, et qu'elle devrait avoir des pensées droites ainsi qu'un environnement d'étude de la Loi, et devait élever son xinxing.

Elle proposa de partir avec les compagnons de pratique et d'aller vivre avec sa jeune fille pendant quelque temps, de manière à ce qu'elle puisse se joindre au groupe d'étude de la Loi. Cependant, ses filles n'étaient pas d'accord pour la laisser partir, étant donné que le Nouvel An Chinois s'approchait, et qu'elle paraissait être très malade à ce moment-là. Mais, comme elle insistait beaucoup, elles furent finalement d'accord, pensant qu'elles devaient laisser leur mère réaliser son dernier souhait. Ainsi, avec l'aide des membres de la famille, elle monta dans la voiture et se rendit au domicile de sa fille cadette.

Quand la voiture se gara, elle sortit et rentra dans la maison avec sa canne, mais sans l'aide des autres. Chaque personne présente fut surprise en voyant la nature miraculeuse de Dafa.

D'autres pratiquants vinrent la voir. Huit pratiquants étudièrent la Loi, émirent les pensées droites, partagèrent leurs expériences de cultivation avec elle et l'aidèrent à trouver ses attachements. Ils lui rappelèrent de toujours regarder en soi. Les compagnons de pratique sentaient qu'eux aussi progressaient en l'aidant. Jour après jour, sa santé s'est améliorée, et ses enflures ont disparu progressivement. Elle sentait que son esprit et son corps allaient mieux.

Dix jours plus tard, son petit-fils la ramena chez elle. Lorsque les membres de sa famille la virent redevenir en bonne santé, ils furent très heureux. Ses voisins ont dit que «Falun Dafa est miraculeux!» Sa belle-fille qui ne croyait pas en Falun Dafa auparavant, après avoir été témoin du rétablissement de sa belle-mère en seulement quelques jours sans aucun médicament ni injection, a commencé à faire l'éloge de Dafa.

Le 15 janvier, je suis allé voir cette vieille pratiquante et l'ai trouvé en parfaite santé, avec des cheveux noirs et le sourire. Elle était très heureuse de me voir et m'a dit, «Je crois en Maître et en la Loi. Je suivrais le Maître jusqu'au bout.»

Traduit du chinois en Europe