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Sélection d'appel pour des articles: Arrêter la persécution en envoyant la pensée droite et en clarifiant la vérité aux gens

29 avril 2011 |   Écrit par une pratiquante de Chine

(Minghui.org)

Les histoires suivantes sont issues de ma cultivation et des expériences vécues en aidant le Maître à rectifier la Loi au cours de ces 14 dernières années.


1. Ne pas être mouillée sous la pluie


À 3 h 00, un jour en février 1999, je suis allée à un parc avec une chaîne stéréo et des flyers du Falun Dafa. Quand je suis arrivée au rez-de-chaussée, j'ai remarqué qu'il pleuvait et je me suis demandé si quelqu'un allait venir au parc. Je me suis dit qu'il fallait que la pluie s'arrête lorsque j'allais commencer à faire les exercices. Ainsi, je suis allée au parc, j'ai mis ma stéréo et la bannière sous un siège, je me suis assise par terre et j'ai commencé à méditer.


Après avoir atteint la tranquillité, j'ai eu la sensation d'être assise à l'intérieur et d'écouter la pluie qui tombait de plus en plus fort à l'extérieur. Une heure plus tard, j'ai fini la méditation et la pluie s'est arrêtée. D'autres pratiquants sont arrivés petit à petit, et l'un d'eux a demandé, « Oh, comment se fait-il que tes vêtements ne soient pas mouillés par une si forte pluie? » J'ai réalisé que c'était le Maître qui m'avait protégée.


2. Méditer sous les coups d'une matraque électrique à haute tension


La persécution du Falun Gong s'est intensifiée en l'an 2000. Une cellule dans un centre de détention, qui pouvait accueillir 12 personnes, contenait 30 pratiquants. Un après-midi, deux pratiquants et moi avons fait la méditation et un garde l'a remarqué et a hurlé, « Vous voulez mourir? Arrêter maintenant ou je ais vous tuer! » Je me suis dit de ne pas de coopérer avec la perversité.


Je me suis rapidement calmé au cours de la méditation. Quelques minutes plus tard, le garde s'est précipité dans la cellule avec une matraque électrique à haute tension et a commencé à me frapper sur la tête, les oreilles, le dos et les mains. Mes cheveux ont commencé à fumer et on avait l'impression que j'étais en feu. D'autres compagnons de cellule ont eu tellement peur qu'ils se sont mis à pleurer, mais je n'ai absolument pas bougé. Deux minutes plus tard, le garde a rangé sa matraque et est parti.


J'ai continué à méditer pendant environ 70 minutes et je me sentais bien. Le lendemain, le garde s'est excusé auprès de moi.


3. Un stylo divin arrête la perversité


En 2001, j'ai été illégalement emprisonné. Les prisonniers et les gardes m'ont sauvagement torturé. Une fois, un criminel détenu voulait que sa peine soit réduite et il a donc donné mes articles de Dafa aux autorités de la prison. J'ai été mis dans une cellule d'isolement, qui était sombre et malodorante et pleine d'insectes. J'ai pensé aux principes de la Loi dans « Être à bout de Tolérance » et je me suis rendu compte qu'il était temps d'exposer les crimes des prisonniers et des gardes.


Le lendemain, j'ai dit à un garde d'ouvrir mes menottes parce que je voulais écrire quelque chose. Le garde croyait que je voulais écrire une déclaration de renonciation à ma croyance et il a rapidement demandé à des prisonniers de m'apporter un repas, du papier et un stylo. Je n'avais pas mangé ni bu depuis trois jours. J'ai terminé le repas et j'ai écrit une lettre de 14 pages. Je me suis ensuite sentie détendue et réconfortée. J'ai insisté pour donner moi-même la lettre à la directrice. Le garde était très nerveux.


La nuit où la directrice a pris ma lettre, j'ai fait un rêve. J'ai vu que le garde et le prisonnier qui m'avaient torturée faisaient 30 cm de haut et souffraient terriblement parce qu'ils avaient contracté des maladies incurables. Le lendemain, j'ai été libérée de l'isolement. Deux jours plus tard le garde a été transféré ailleurs et la peine du prisonnier a été prolongée de 11 mois.


4. Surmonter la perversité en prison


Lorsque j'ai été détenue à la prison provinciale, 11 autres pratiquants y étaient également incarcérés. Ces pratiquants n'avaient pas l'autorisation de se parler. Je voyais souvent la pratiquante A parce que sa cellule était près de l'atelier où je devais travailler. Je la cherchais souvent lorsque je ne la voyais pas, j'étais inquiète. Un jour, elle semblait émaciée et avait des difficultés à marcher. J'ai entendu qu'elle avait été suspendue et torturée dans l'atelier pendant une semaine. J'ai décidé d'exposer les gardes qui l'avaient torturée. J'ai donné mon allocation à une prisonnière et elle m'a aidé à obtenir la preuve de la torture et des informations sur les personnes responsables.


Après avoir appris les tortures endurées par la pratiquante A, j'ai commencé à écrire. Dans un atelier avec 200 personnes, tout le monde devait travailler comme un forçat devant les gardes qui avaient des matraques électriques. Étonnamment, j'ai pu m'asseoir et écrire ma lettre et personne ne m'a importunée. J'ai fait de nombreuses copies, et lorsque ma lettre a été faite, j'ai dû trouver un moyen pour les faire passer.


J'avais la lettre avec moi le jour suivant, et à midi, j'ai vu la directrice et je lui ai remis la lettre. La directrice a pris la lettre poliment. Je n'avais pas peur. Dans l'après-midi, j'ai cherché le garde qui avait torturé la pratiquante A. Je savais que je devais rapidement donner la lettre à la directrice et aux gardiens, afin d'éliminer les êtres pervers derrière eux et cesser la torture.


Si j'étais prise a essayer de signaler un garde dans une autre équipe, je pouvais être sévèrement punie. Cependant, je savais qui j'étais et ce que j'avais à faire pour aider une compagne de pratique. Alors que le garde dans mon équipe ne me cherchait pas, j'ai demandé à Maître de m'aider et je me suis dirigée vers le Bureau des gardes. Trois gardes étaient là, et je suis entrée dans le Bureau et j'ai remis la lettre au capitaine. Ils ont été en état de choc, alors que je faisais demi-tour et que je repartais.


La prisonnière à qui j'avais donné mon allocation m'a dit qu'après avoir donné la lettre, les tortures contre la pratiquante A s'étaient arrêtées le lendemain.


5. Le puissant pouvoir de la pensée droite


Dans la prison, tout le monde devait travailler 17 heures par jour et même parfois aussi toute la nuit. Les pratiquants devaient participer à des sessions de soi-disant « éducation politique ». L'atmosphère était étouffante. Pour nier la persécution, nous avons décidé que tous les pratiquants de la prison devraient faire grève à un jour donné. J'ai écrit 11 notes et j'ai demandé à des prisonniers qui soutenaient le Falun Dafa de les faire parvenir aux pratiquants des autres équipes.


Le jour de la grève, aucun des pratiquants n'a mis l'uniforme de la prison et aucun n'est allé à l'atelier. Notre action a choqué les autorités de la prison. Ils ont mobilisé tous les policiers armés qui portaient matraques et menottes avec eux. Ces policiers ont traîné tous les pratiquants jusqu'aux ateliers.


Pour savoir qui avait lancé la grève, les autorités ont fouillé les cellules de tout le monde. Un garde a trouvé ma note manuscrite et le lendemain, un prisonnier est venu à moi en courant et m'a dit: « Tu as des gros problèmes, la directrice et les agents de la police spéciale vont t'interroger au bureau ».


Je n'étais absolument pas au courant de l'émission des pensées droites à l'époque parce que j'étais en prison et que je n'avais pas vu le nouvel article du Maître. Je savais seulement qu'il y avait un poème de 16 idéogrammes et je savais intuitivement que ce poème avait un très grand pouvoir pour éliminer les être pervers. J'ai récité ce poème à de nombreuses reprises avant d'aller dans le bureau.


La directrice était très contrariée et m'a demandé ce que j'avais fait. Je lui ai dit, « Je n'ai fait que des travaux forcés. » Elle m'a dévisagée et a jeté la note manuscrite sur la table et a demandé, « As tu écrit cela? » J'ai réalisé ce qui se passait et j'ai commencé à réciter le poème. Elle a commencé à me menacer et je lui ai dit, « Nous pratiquons la Vérité-Compassion-Patience, nous étudions les enseignements du Falun Gong et nous faisons les exercices chaque jour. Nous ne pouvons pas travailler comme des esclaves sans arrêt pour vous ; Nous ne sommes pas des criminels et nous ne sommes pas obligés de le faire. Veuillez organiser les choses raisonnablement et bien traiter les pratiquants. »


Dès que j'ai fini de parler, la directrice et les policiers ont changé leur attitude. La directrice m'a dit : « Les autorités de la prison examineront ta demande. Maintenant retourne à ton atelier. » La persécution brutale n'est pas arrivée. J'ai remercié le Maître de m'avoir donné une arme de la Loi aussi puissante.


6. Chasser la police avec des pensées droites


En 2003, j'ai été relâchée et je suis retournée chez moi. A la minute où je rentrais à la maison, des agents du poste de police, les agents du Bureau 610, et les membres du Parti communiste chinois ont continué à me harceler chez moi. Un jour, plusieurs policiers sont venus chez moi. L'un d'entre eux a pris la photo du Maître et mes livres de Falun Dafa et ont menacé de me confisquer plus de mes biens personnels. J'ai montré du doigt la photo du Maître et j'ai averti le policier, « Remettez mes affaires là où elles étaient. Personne ici n'est autorisé à déranger toutes ces choses. Tout le monde devrait sortir immédiatement! » Dès que j'ai fini de parler, ils ont eu peur. Ils ont posé mes affaires sur une table et sont sortis rapidement.


7. Regarder à l'intérieur et passer le test de la vie et la mort


En mai 2008, lorsque je faisais les exercices, j'ai eu soudain besoin de courir aux toilettes et de me soulager. Cette situation où mes intestins étaient relâchés a duré plusieurs mois et a empiré. En fin de compte, j'ai perdu le contrôle de mes intestins et j'avais du sang dans les selles. Mon anus et ma vessie me faisaient si mal que je pouvais difficilement m'asseoir. En fin de compte, ma vue a commencé à se brouiller et je suis devenu émaciée. Ma famille a cru que mon cancer était revenu.


Je savais que les forces anciennes devaient avoir exploité mes attachements et mes conceptions erronées. Alors que je n'étais pas certaine de ce qu'étaient ces attachements est ces conceptions, je me suis souvenue de trois choses. 1) Je ne suis pas malade et je crois dans le Maître et dans la Loi. 2) Éliminer toute interférence qui m'empêche d'étudier la Loi et d'envoyer des pensées droites. Lorsque je ne peux pas voir ou que suis trop fatiguée pour lire, je vais tout de même essayer d'écouter les conférences du Maître ; et, 3) je vais me battre et faire ce que doit faire un pratiquant et le faire bien. Je vais nier l'arrangement des forces anciennes grâce à mes actions. En plus de ce qui est mentionné ci-dessus, j'ai parlé aux autres pratiquants et j'ai tenté de regarder en moi et de me rectifier en me basant sur la Loi. Quatre mois plus tard, j'ai récupéré.


La beauté de la pratique du Falun Dafa est infinie. Je serai toujours reconnaissante pour tout ce qui m'a été donné par le Maître. Il n'y a aucun moyen de rembourser la grâce immense et le salut compatissant du Maître. Je vais avancer avec diligence jusqu'à ce que je sois en mesure de rentrer chez moi avec le Maître.


Sélectionné parmi « Appel d'articles sur les manifestations divines dans le monde des humains »


Traduit de l'anglais au Canada