Falun Dafa Minghui.org www.minghui.org IMPRIMER

De nombreux rapports indiquent que la torture au moyen de drogues est largement utilisée pour réduire Falun Gong au silence en Chine

29 avril 2011

(Minghui.org)


Par Feiyu


Le recours fréquent à la torture au moyen de drogues afin de réduire au silence et même assassiner les pratiquants de Falun Gong dans la Chine communiste semble s’accroître. Ce que suggèrent de nombreux reportages récemment publiés sur le site Minghui. Voici de brefs résumés de quelques uns de ces rapports.


1. L’article « Massacre dans la prison pour femmes Jianyang, Sichuan: Nous vous renverrons chez vous pour mourir » (http://fr.minghui.org/news/1104/12/E124266_20110407_FR.html) rapporte la façon dont trois pratiquants de Falun Gong ont été empoisonnés par des drogues dans la prison pour femmes Jianyang. Il s’agissait de Mme Li Yuhua de la municipalité Yancheng, Leshan City, province de Sichuan, Mme Hu Guifang de la municipalité Caochi, Jianyang et Mme Meng Xiao de Chengdu.


Dans le cas de Mme Li, elle a reçu des injections de drogues inconnues qui ont fait enfler son corps au point qu’elle soit à l’article de la mort. La police de la prison voyant qu’elle était mourante l’ont envoyée chez elle afin de ne pas avoir à endosser la responsabilité de sa mort. Les fonctionnaires de la prison ont demandé à sa famille de venir et de la récupérer le 16 juin 2009, et elle est décédée cinq jours plus tard, chez elle.



Reconstitutions de tortures : injections de produits toxiques


2. Un autre article intitulé: « Bi Jianhong est à l’article de la mort après avoir reçu des injections de drogues inconnues dans la prison pour femmes de Jinan. « (http://fr.minghui.org/news/1104/26/E124355_20110412_fr.html) a raconté une histoire similaire. La pratiquante Bi Jianhong de Yantai, province du Shandong a protesté contre la persécution illégale en menant une grève de la faim. On ne sait pas exactement ce qu’il y avait dans les injections qu’elle a reçues lorsqu’elle se trouvait à l’hôpital. Elle se serait sentie étrange et ne pouvait plus marcher. Le 26 janvier 2011, sa famille est allée lui rendre visite et a remarqué qu’elle ne semblait pas être elle-même. Sa famille a demandé qu’elle soit autorisée à rentrer chez elle. Une fois réellement malade, le Bureau 610 de Yantai et la prison ont tenté d’esquiver leur responsabilité de la détérioration rapide de son état et le 17 mars, les fonctionnaires de la prison ont appelé sa famille leur disant qu’elle ne sentait pas bien. Le même jour, sa famille s’est rendue directement à la prison et trouvé Bi Jianhong mourante..


Alors que les membres de sa famille s’inquiétaient et étaient en pleurs dans la prison, les agents ont préparé de la soupe de poulet et leur ont demandé de la nourrir. Les agents savaient déjà que Bi Jianhong ne pouvait même pas boire d’eau, mais ils voulaient filmer la scène, déclarant sans la moindre honte : « Nous avons fait de notre mieux. Nous avons pris grand soin d’elle. »


3. L’article « Le centre de détention du canton de Longhua de la province de Hebei a empoisonné la pratiquante Mme Jia Sixia avec des drogues inconnues » (http://fr.minghui.org/news/1104/09/E124232_20110405_fr.html) révèle que Jia Suxia et d’autres pratiquants de Falun Gong ont mené une grève de la faim pour protester contre la persécution auquel ils faisaient face en prison en 2005. Le personnel a gavé les grévistes de la faim avec une solution hautement concentrée en sel mêlée à des drogues inconnues.


Le 27 juillet, le personnel a traîné Jia Suxia et d’autres pratiquants de Falun Gong pour leur administrer des injections. Un pratiquant se tenait directement derrière un fonctionnaire nommé Wang alors qu’il expliquait au Dr. Xu : « Il m’a fallu quinze jours pour obtenir ce médicament. Son fabricant me l’a donné après que je leur ai juré de le prendre tel quel et qu’en cas de danger de mort, ils ne seraient pas tenus pour responsables. » On ne sait pas exactement ce qu’était la drogue, mais d’après ses termes, cela devait être dangereux.


Le centre de détention a fait deux injections de ce médicament à Jia Suxia. La 2eme fois, elle a réagit par des symptômes de douleur et d’effroi. Tout son corps était chaud, elle ressentait une anxiété accrue et des douleurs intenses sur sa peau. Prés d’un an plus tard, Jia Suxia a perdu une couche de peau croutée, puis toutes les parties de sa peau ont perdu une couche ou deux supplémentaires.


Il semble que les autorités du PCC aient gavé les pratiquants de Falun Dafa avec des médicaments pour deux raisons. D’abord, comme forme de torture puis aussi pour tester de nouveaux médicaments.


4. Dans l’article : « Une fermière handicapée par des injections forcées dans le centre de détention du canton de Tangyuan, province du Heilongjiang » (http://fr.minghui.org/news/1104/10/E124251_20110406_fr.html), Mme Song Huilan, pratiquante de Falun Gong de la ferme Xinhua, province du Heilongjiang, a été détenue dans le centre de détention de Tangyuan, en décembre 2010. Yan Yong était le vice-directeur du centre. Les membres du personnel comprenaient une personne nommée Cai, un autre Li, et un instructeur dont le nom était Yang Li. Ils ont maintenu Song Huilan et lui ont injecté diverses drogues. Celle-ci a alors, ressenti une douleur extrême dans tout le corps et a fait de son mieux pour tenter d’échapper à d’autres injections. Peu après, son pied droit est devenu noir et enflé. Elle ne pouvait pas marcher et était paralysée.


Le médecin du centre de détention a averti la police d’emmener Song Huilan à l’hôpital du peuple de Tangyuang pour un contrôle. On lui a diagnostiqué un cas grave de thrombose artérielle. Le médecin a déclaré : « La meilleure option serait d’amputer immédiatement sans quoi elle se diffuserait au reste du corps, mettant sa vie en danger. Même en dépensant des dizaines de milliers de yuans, elle ne pourrait pas être soignée. »


Dans le but d’éviter de prendre une quelconque responsabilité, le centre de détention ne payait pas les frais médicaux et a dissimulé la maladie de Song Huilan à sa famille. Trois mois plus tard, le 1 mars 2011, ils ont appelé sa famille et leur ont demandé de ramener Song Huilan chez elle.


D’après les quatre articles qui précèdent, nous pouvons voir comment le PCC a utilisé de nouveaux médicaments non enregistrés afin de tester et torturer brutalement les pratiquants de Dafa. De tels rapports sont assez courants sur le site Minghui/Clearwisdom.


5. Le 5 mars 2011, un autre rapport a été publié. Dans l’article « Le ‘Bureau 610’ de Tianjin persécute à nouveau une ingénieure » (), y est indiqué comment Mme Gu Xueshuang, ingénieure de la compagnie de chauffage de Binhai, Tianjin, a été arrêtée le 25 février 2010 et détenue dans le centre de détention Zhaojiadi du district Tanggu. Lors de sa détention, la police lui a fait subir un examen médical, déclaré qu’elle souffrait d’une maladie et l’a admis à l’hôpital Tanggu. Ils l’ont menottée à un lit et lui ont fait subir une injection, la forçant à avaler un médicament inconnu. Le produit lui a provoqué es douleurs à la tête et dans toutes les articulations. Elle souffrait aussi d’autres symptômes : engourdissement de la bouche et de la langue, confusion mentale et hallucinations.


Lorsque Gu Xueshuang a accusé les policiers qui lui avaient administré des drogues empoisonnées, ces derniers ont pris un médicament totalement différent et affirmé : « Ce n’est pas un médicament empoisonné du tout. » Cependant, quelqu’un a entendu un médecin portant des lunettes dire à plusieurs policiers que l’utilisation de tels types de médicaments était extrêmement dangereuse et que la personne devait être surveillée pendant vingt-quatre heures. Un agent de police ayant vu les résultats des examens après avoir mesuré la pression sanguine de Gu Xueshuang et ses battements de cœur a déclaré : « Si cela était arrivé à une personne ordinaire, elle serait déjà morte. »


Gu Xuashuang, mourante, a été renvoyée chez elle plus tôt, de façon permettant à la prison de se soustraire à sa responsabilité. Sa famille a remarqué qu’elle était extrêmement faible et maigre. Elle vomissait et souffrait de diarrhée. Son corps était gravement enflé. Elle ne pouvait rien manger ni boire de l’eau, pas plus qu'elle ne pouvait s’exprimer.


6. Li Jiabin de la province de Sichuan a été assassiné après avoir été gavé avec des drogues inconnues. (http://fr.minghui.org/news/1103/20/E123860_20130317_fr.html) M. Li Jiabin, pratiquant de Falun Gong du canton Shuangliu, province de Sichuan, a reçu des injections de drogues inconnues, alors qu’il était détenu dans le centre de détention Shuangliu. Lorsqu’il avait soif, ils ne l’autorisaient à boire qu’après avoir pris le médicament. Li Jiabin ayant refusé de le prendre, la police a ordonné à d’autres détenus de le lui faire ingurgiter de force. Li Jiabin souffrait d’ulcérations sur son corps entier. Lorsque la police a réalisé qu’il était mourant, ils l’ont envoyé chez lui pour éviter d’avoir à en porter la responsabilité. Après être retourné chez lui, Li Jiabin est décédé dans la souffrance, le 16 mai 2005.


7. Dans l’article: « Résumé de cas de pratiquants de Falun Gong de Pékin, décédés suite aux tortures autorisées par le gouvernement depuis 1999 », (), il a été prouvé que cinq pratiquants sont morts, suite à l'administration forcée de médicaments. Parmi eux, M. Li Shougiang, travailleur de l’usine d’assemblage automobile de Pékin. En mars 2000, Li Shouqiang fut détenu dans le centre de détention de Changping, seulement pendant dix jours. Sa famille a été avertie de venir le chercher. Alors que son frère ainé le ramenait sur son vélo, Li Shouqiang a pu dire dans un discours haché : « Ils m’ont donné un médicament et mis de la drogue dans le coca...Ils ne m’ont pas autorisé à boire de l’eau..Après avoir pris le médicament, je ne pouvais pas le cracher. Ils ont dit que je mourrai dans les deux jours…Ils t’ont demandé de me ramener à la maison pour que j’y meure et échapper à la responsabilité pour ma mort. »


A son retour chez lui, Li Shouqiang était clair à un moment et confus le moment suivant. Il déplaçait ses yeux lentement, sa pensée était éparpillée et il ne mangeait ni ne buvait rien. Deux jours plus tard, le 20 mars, au matin, Li Shouqiang est tombé du balcon et est décédé. Il n’était âgé que de 37 ans.

La torture par la drogue n’est qu’une des formes de persécution pour « traiter » le Falun Gong. Les nombreux articles publiés sur ce thème suggèrent son utilisation à large échelle dans cette persécution inhumaine orchestrée par le PCC.


Traduit du chinois en Europe