(Minghui.org)
Avant
que je ne commence à pratiquer le Falun Gong en juin 1996, je ne
pouvais ni lire ni écrire. J'ai rejoint un groupe d'étude de la Loi et
j'apprenais les exercices du Falun Gong pendant la journée. Au
début, je revenais également sur les exercices dans la soirée. Je
voulais sincèrement être capable de lire Zhuan
Falun,
alors je me suis agenouillée et j'ai demandé au Maître de m'aider.
Le Maître m'a alors aidée—et j'ai pu lire de nombreux caractères
chinois. Une semaine plus tard, j'ai pu terminer la lecture du livre
en entier!
Le 29 septembre 2002, vers 19 heures je suis sortie avec un compagnon de pratique pour afficher des documents de clarification de la vérité. Quand nous étions sur le point d'atteindre la porte d'un parc, une remorque nous a croisés et m'a touchée. J'ai été jetée en l'air à plus de 6 mètres de haut. Cependant, j'ai fait un tour de 180 degrés dans les airs et j'ai atterri fermement sur les pieds. Le conducteur a eu très peur et voulait me conduire à l'hôpital. J'ai alors pensé aux paroles du Maître dans Zhuan Falun, «La pratiquante se redresse lentement et dit: 'Ce n’est rien, vous pouvez partir'.»
Donc, j'ai tout de suite nié l'accident. À la maison, j'ai réalisé qu'il y avait une grosse bosse de la taille d'une pomme sur mon poignet droit. Je me suis assise et j'ai commencé à faire la méditation assise. Après avoir terminé l'exercice, la masse avait disparu. Les membres de ma famille ont tous été témoins du miracle de Dafa. Le lendemain, j'ai emmené mon petit-fils au parc, comme d'habitude.
Deux jours plus tard, je suis allée à la campagne à 15 kilomètres pour rendre visite à ma mère. J'ai emporté le reste des documents que nous n'avions pas affichés le 29. Après les avoir distribués, je suis allée parler à mes parents au sujet de l'accident. Ma belle-sœur ne m'a pas crue, alors, elle a soulevé mon chemisier et vu les ecchymoses noir-bleu sur mon dos et ma poitrine. Malgré les meurtrissures, je ne ressentais aucune douleur. Le Maître m'avait protégée. Je suis reconnaissante de la bienveillance du Maître. En rentrant chez moi, j'ai clairement ressenti que le Maître ajustait mon corps.
Une fois quand j'étudiais la Loi à la maison en 2005, j'ai vu par la fenêtre un énorme svastika dans le ciel. J'ai compris que je devais sortir sauver les êtres. Quand je suis arrivée dans un village, un chien a aboyé et m'a pourchassée. J'ai dit doucement au chien: «Viens ici, tu devrais aussi valider Dafa.» Le chien m'a alors conduite docilement vers chaque maison dans le village. Lorsque nous arrivions à la porte d'une maison, le chien aboyait tranquillement à deux reprises pour me rappeler de laisser les documents, puis il m'attendait patiemment. Il est parti une fois que j'ai eu fini de distribuer tout le matériel.
Une autre fois, après avoir mis un dépliant de clarification de la vérité sur une porte, il est tombé. Le propriétaire de la maison est sorti, j'ai donc essayé de lui clarifier la vérité. Toutefois, il a refusé d'entendre ce que j'avais à dire et a dit à sa famille d'appeler la police. J'ai alors commencé à fuir, mais il m'a poursuivie. Alors que je courais dans une petite ruelle, j'ai émis une pensée pour que la famille obtienne un signal occupé, de sorte qu'ils ne puissent pas téléphoner à la police. Alors j'ai croisé une femme qui a demandé au jeune homme qui me poursuivait, «Pourquoi es-tu en train de poursuivre cette vieille dame?» L'homme a répondu: «Elle pratique le Falun Gong.» La femme lui a dit d'arrêter, mais il ne l'a pas écoutée. Je suis arrivée à une impasse où une rivière me bloquait le chemin. Donc, je me suis retournée et j'ai émis la pensée de geler le jeune homme. Lorsque je l'ai regardé de nouveau, il avait été immobilisé avec une de ses mains levée et me regardait méchamment. Peu importe comment il essayait, il ne pouvait pas bouger. Je suis passée devant lui et j'ai couru vers la route principale. Là, un tricycle semblait m'attendre miraculeusement. J'ai alors été en mesure de rentrer chez nous en toute sécurité.
Traduit de l’anglais au
Canada