(Minghui.org)
Par un pratiquant en Chine
Nom: Yang Guanghui (刘益明)
Genre: M
Âge: Inconnu
Adresse: Résidence
familiale de l'Usine de courant de la ville de Dujiangyan, province
du Sichuan
Profession: comptable retraité de l'Usine de
courant de Yingxiuwan
Date du décès: Le 21 février 2011
Date de la dernière arrestation: Le 30 mars 2011
Dernier
lieu de détention: Centre de détention de Chengdu (成都市看守所)
City: Dujiangyan
Province: Sichuan
Persecution
endurée: Interrogatoires, détention, lavage de cerveau,
injections forcées/administration de drogue, torture, mise à sac du
domicile
Avant qu'il ne commence à pratiquer le Falun Gong, M. Liu Yiming avait toutes sortes de maladies. Après un an de pratique, sa santé mentale et physique s'était considérablement améliorée et toutes ses maladies avaient disparu. Il avait retrouvé teint éclatant et était plein d'énergie. Il était aussi devenu une personne compatissante et présentait avec enthousiasme les bénéfices de la pratique à ceux qu'il rencontrait.
M. Liu a fait face à une immense pression après que le Parti communiste chinois ait commencé à persécuter le Falun Gong en 1999. Du fait du stress, il est devenu déprimé et son état physique et mental s'est dégradé. Toutefois en maintenant sa croyance en Falun Gong, il a été capable de corriger son état mental et de retrouver encore une fois la santé.
Il a continué à pratiquer le Falun Gong et à clarifier les faits à propos de la persécution à ceux qu'il rencontrait.
Le 20 mars 2005, M. Liu roulait à byciclette dans la campagne autour de Pengzhou distribuant une information clarifiant les faits à propos du Falun Gong. Toutefois il a été dénoncé à la police puis illégalement arrêté. Des agents des services de police, les divisions de la sécurité intérieure et le Bureau 610 incitaient continuellement à la haine envers le Falun Gong en menaçant d'amendes, de réductions de salaires et autres punitions habitants et employeurs s'ils ne dénonçaient pas les pratiquants de Falun Gong.
Suite à l'arrestation, la police a escorté M. Liu à son domicile et commencé à fouiller sa maison. Ils ont alors trouvé des livres de Falun Gong et l'ont dénoncé au Bureau de police provincial. M. Liu a été détenu dans le Centre de détention de Chengdu, situé dans le canton de Pi. Lorsqu'il a été relâché quatre mois plus tard, il était devenu méconnaissable. Lui qui était plein d'énergie avait maintenant le regard fixe et sans expression, il avait beaucoup de cheveux gris et marchait comme un vieil homme. Ses compagnons de pratique lui ont demandé quelles sortes de tortures avaient été utilisées sur lui, mais il n'a pas répndu. Ils ont deviné qu'il avait été soumis au lavage de cerveau et contraint d'abjurer ses croyances, alors ils lui ont rappelé d'écrire une déclaration solennelle déclarant tout ce qu'il avait pu dire sour la pression de la persécution nul et non avenu. Mais il était effrayé et n'a rien pu écrire du tout.
Les deux fils de M. Liu travaillaient dans la compagnie annexe de l'usine de courant. La Power Corp. administration de la Province du Sichuan a menacé les autorités del 'usine qui se les pratiquants de Falun Gong continuaient à clarifier les faits à propos de la persécution, tous les directeurs seraient démis de leurs positions. Les autorités de l'Usine ont à leur tour menacé M. Li que s'il continuait à clarifier les faits, ses deux fils perdraient leur emploi. En conséquence, les fils de M. Liu criaient après lui et ne le laissaient pas sortir. Sous une telle pression, M. Liu a abandonné la pratique de Falun Gong pendant un long moment et sa santé a empiré.Après s'être fracturé la jambe en 2010, il restait alité.
Les pratiquants de Falun Gong ont fréquemment rendu visite à M. Liu lui apportant les nouveaux enseignements du Maître et Minghui Weekly. Il a peu à peu repris sa pratique, mais ne s'est jamais libéré de sa peur. Le 9 février 2011 il a demandé à sa famille de venir lui rendre visite trois jours de suite. Il leur a dit en pleurs: "Je pense que les gardes [au centre de détention ] m'ont injecté un poison. Je suis tombé plusieurs fois inconscient et avais des vertiges et le souffle court en reprenant conscience. Les gardes m'ont menacé de ne rien dire à personne, et comme je ne voulais pas compliquer la vie de mes amis et de mes membres de ma famille, en particulier mes deux fils, je n'ai rien dit jusque là." Neuf jour plus tard, le 21 février 2011 il est décédé.
Traduit de l'anglais