(Minghui.org)
Par un pratiquant de Falun Dafa de la province de Jilin, Chine
Je suis allé à Pékin pour valider la Loi (Fa) le 22 septembre 2001 avec plus de 20 pratiquants de Falun Dafa. La police m’a arrêtée alors que je déployais une banderole avec les mots «Falun Dafa est bon». Alors que j’étais en prison, mes pensées humaines ont fait surface avec de l’anxiété et du stress et j’ai eu des symptômes de maladie.
Je me suis rappelée l’histoire d’une pratiquante qui avait une tumeur de 20 centimètre au foie. Son médecin a conclu qu’une intervention chirurgicale était trop risquée et a refermé l’incision. Sa famille l’a amenée sur un brancard au séminaire de neuf jours de Maître dans une autre ville et sa tumeur est partie dans ses selles.
Elle a dit aux pratiquants qu’elle voyait souvent le corps de Loi du Maître et de belles scènes dans d’autres dimensions pendant la méditation. L'histoire m'a remonté le moral et j'ai senti qu’il n’y avait rien à craindre et que Dafa et le Maître sont merveilleux. Humain ou divinité, la différence réside dans une seule pensée. Après une pensée aussi simple, mes symptômes de maladie ont disparu et mon corps est devenu léger.
La nuit, les pratiquants détenus étaient emmenés dans les régions avoisinantes de Pékin. Une jeep m'a emmenée à un poste de police dans un village éloigné. Les agents m'ont interrogée pour obtenir mon nom et mon adresse. Je n'ai pas coopéré, mais j’ai émis des pensées droites, et expliqué les faits à propos de Falun Dafa et fait de mon mieux pour supprimer toutes les autres pensées. J'avais le sentiment que mon corps et l’environnement avaient disparus et mon corps était une immense énergie qui ne cessait de croître et de s'étendre. Après quelque temps, les policiers m'ont ordonnée de partir. Je me suis levée, les ai suivi et ai quitté la pièce. J'ai essayé de garder l'état d’émission de pensées droites et espérais que ce merveilleux état ne me quitterait pas.
Deux policiers m’ont emmenée dans une pièce et m’ont empêchée de dormir. Ils ont essayé de me tromper afin que je leur donne mon nom et adresse. Je n’ai pas coopéré, mais ça a interrompu mon émission des pensées droites. Je leur ai dit que j’étais innocente et qu’ils devaient me libérer immédiatement ou je porterais plainte contre quiconque me traiterait mal.
Vers 2h00 du matin j’ai eu besoin d’aller aux toilettes. Ils ont refusé ma demande et je leur ai dit que je les poursuivrai. Ils m’ont alors laissée utiliser les toilettes et laissé une policière pour me surveiller. Quand j’ai eu fini, la policière est entrée dans les toilettes qui étaient à côté d'un mur de briques extérieur haut de deux mètres. J'ai eu l'occasion de m'échapper, bien que mes mains touchaient à peine le haut du mur. J'ai essayé de soulever mon corps appuyée contre le mur, mais ça n'a pas fonctionné, car j'étais trop lourde. Sentant l'urgence, une pensée m'est venue: «Maître, aidez-moi.» Avec une seule pensée mon corps a flotté jusqu’en haut du mur. Il y avait un tas de sable de l'autre côté du mur et j'ai atterri sur le sable. Tout cela s'est produit en seulement quelques minutes. La policière s'est écriée: «Elle est partie, disparue!»
Maître a déverrouillé mes capacités surnaturelles. Mon corps a traversé les obstacles en douceur et mes mains ont touché le sommet. J'ai couru puis j’ai demandé à Maître de me rendre forte. Pendant que je courais, mes chaussures et mes vêtements se sont déchirés. La route se terminait au milieu d'un champ de maïs. Je me suis arrêtée et ai demandé auMaître de me guider, puis j’ai choisi une direction et j’ai marché. Après quelques pas, j'ai vu un sentier sinueux. Il a commencé à pleuvoir, mais j'ai continué à marcher sous la pluie battante, avec la foudre et le tonnerre. La pluie s'est arrêtée à l'aube. Des motos de police patrouillaient sur toutes les routes et toute la matinée j'ai réfléchi à comment j’allais m’en tirer sans me faire remarquer par la police.
Sans eau ni nourriture pendant deux jours et une nuit, j'avais soif et faim. J'ai demandé au Maître: «Votre disciple a très faim. Pourriez-vous s'il vous plaît trouver de la nourriture pour moi?» J'ai continué à avancer et peu de temps après j'ai atteint un verger de poiriers. Les poires étaient juteuses et sucrées et j'étais ravie. Comme la nuit tombait, j'étais terrifiée par les bruits étranges d'oiseaux dans l'obscurité. J'ai à nouveau demandé au Maître de me raffermir. Maître m'a ouvert l’œil céleste et j'ai vu les choses clairement dans l'obscurité, comme si on avait allumé une lumière pour moi. Au coucher du soleil, j'ai eu une indice du Maître que je serais capable de partir le soir.
Un conducteur de Pékin nous a emmenées dans sa voiture une personne âgée dans la soixantaine et moi vers 20h00. Il a dit qu’il avait eu tout à coup envie de voir un parent qu'il n'avait pas vu depuis de nombreuses années. Il nous a déposées dans une petite ville, mais il n’y avait plus de bus car il était très tard. La personne âgée a dit qu'elle connaissait quelqu’un prenait des passagers. La personne âgée est montée dans une camionnette de taille moyenne, puis avec son conducteur nous avons repris notre voyage. Le conducteur de la camionnette m'a dit plus tard «Le vieil homme a dit qu'il me connaissait, mais je ne me rappelle pas de lui.»
Je savais dans mon cœur que tout cela était arrangé par le Maître. Le conducteur du fourgon m'a emmenée dans une gare de la ville. Il était environ 22h00 quand je suis montée dans le train pour Pékin.
Traduit de l'anglais