(Minghui.org)
Les gens sont toujours étonnés d'entendre ma voix forte et claire, de voir mon teint rosé et ma façon de faire les choses rapidement lorsqu'ils entendent que j'ai 82 ans. Quand les autres expriment leur étonnement, je leur dis que c'est parce que je pratique le Falun Dafa.
Avant que je devienne une pratiquante de Dafa, j'avais plusieurs maladies sévères comme le syndrome de Ménière, une sciatique, une maladie du cœur et de longues migraines. Je ne pouvais ni manger ni dormir convenablement pendant longtemps. J'étais très maigre et pâle. Mes voisins et mes amis s’inquiétaient souvent pour moi.
Antérieurement, j'étais une personne agressive avec l'esprit de compétition. Quand j'étais une jeune fille de 15 ans, mon frère a dit quelque chose de mauvais à propos de moi. Pour prouver que j'étais innocente, j'ai marché durant plusieurs kilomètres, portant une statue de Bodhisattva d'un temple, je l'ai ensuite placée devant la porte de la chambre de mon frère (les gens utilisent souvent le dicton «ramener une bodhisattva chez soi», quand ils essaient de prouver leur innocence). Quand mon frère et ma belle-sœur se sont réveillés le lendemain, ils étaient très surpris que j'aie fait une telle chose. Mon frère devait inviter des gens pour qu'ils effectuent un rituel bouddhiste pour ramener la statue de la bodhisattva au temple. Une fois, alors que je luttais contre mon frère, quand il m'a frappée, je lui ai rendu le coup. Au cours de la lutte, il déchira mes vêtements. Après avoir vu les déchirures sur mes vêtements plus tard, j’allai le voir et déchirai aussi ses vêtements.
Après avoir commencé la cultivation et pratique, je devins une nouvelle personne et je me sentais joyeuse chaque jour. Même moi j'étais étonnée qu'un changement d'une si grande ampleur se soit produit en moi. Toutes mes maladies disparurent, et je cessai de lutter avec les gens. C'était si rapide qu'il n'y eut même pas de processus. Je commençai à faire de bonnes choses. Par exemple, quand il se mettait à pleuvoir soudainement, je prenais les vêtements de mes voisins qui pendaient dehors avant de prendre les miens.
Il y a seize ans, j'étais devant l'image du Maître et j'ai dit: «Maître, je le jure, peu importe ce qui arrive, je cultiverai avec détermination jusqu’à la fin.» Seize ans plus tard, je continue d'accomplir ce voeu.
Le Maître commença à ajuster mon corps deux ou trois mois après que j'aie commencé à pratiquer Dafa. Quand j'éliminais du karma, mon corps me faisait mal partout. J'avais des symptômes de fièvre et j'avais vraiment froid. Puis je m'endormis. Après que je me sois réveillée, toutes ses sensations désagréables avaient disparu. Depuis lors, quand je me sens inconfortable dans mon corps, je ne le vois pas comme une maladie. Je ne suis jamais apeurée par ses sensations inconfortables. C'est le karma que j'ai créé dans le passé, je dois l'endurer et le surmonter.
Je me suis écroulée lourdement sur le sol à de nombreuses reprises. Même si je suis octogénaire, cela ne me prenais pas plus d'une dizaine de jours pour récupérer. Quand j'ai fait une chute grave et que j'ai dû rester au lit plusieurs jours, je n'ai jamais eu aucun doute quand à savoir, si j'allais guérir. J'ai passé ces épreuves très facilement.
Je ne peux pas sortir tous les jours pour clarifier la vérité comme les jeunes disciples le font, mais je peux toujours faire quelque chose à la maison pour sauver les êtres. Dans notre région, des pratiquants de différents niveau de cultivation viennent souvent chez moi pour me parler. Je partage avec eux ma compréhension de la Loi et les encourage à croire dans le Maître et Dafa et à cultiver plus diligemment. S'ils peuvent faire les trois choses de mieux en mieux, je suis aussi en train de sauver les êtres indirectement.
Une fois que mes enfants ont grandi, ils sont partis de chez moi. Depuis lors, je loue ma maison à des gens. Les locataires restent en général là pour plusieurs mois ou une année, les locataires changent fréquemment. Je sais qu'ils viennent tous pour obtenir la Loi ou pour m'entendre leur clarifier la vérité. Même les locataires de chez mon voisin viennent pour discuter avec moi. Après qu'ils aient obtenu la Loi ou quitté le Parti communiste chinois et ses organismes affiliés, ils partent. Ensuite, les nouveaux locataires arrivent. Aucun de ces locataires ne part sans avoir appris la vérité.
Une des camarades de classe de ma fille est la femme d'un professeur de collège. Quand je l'ai rencontrée, je lui ai clarifié la vérité. Ils comprirent et le couple se mit d'accord pour quitter le PCC.
Cela faisait longtemps que je n'étais pas allée dans mon village. J'avais perdu tous les contacts avec mes proches et mes amis depuis un bon moment. Je voulais les sauver. Lorsque Maître a vu mon vœu de sauver les gens, il fit des arrangements pour moi. Un jour, j’allai visiter un bon ami. Alors que je montais les marches, j'entendis quelqu'un parler avec un accent très familier. J'allai en haut pour lui parler. C'était en fait une personne qui venait de mon village natal. Il me demanda comment cela se faisait que j'aie l'air en si bonne forme, et je lui parlai du Falun Dafa. Il accepta la vérité très bien et commença aussi à pratiquer Dafa. Il introduisit aussi Dafa à sa belle-mère et elle commença aussi à pratiquer. Après qu'il soit retourné au village, il trouva mon neveu et sa femme. Il leur donna mes coordonnées. Après un court moment, mon neveu et sa femme vinrent me visiter. Aussitôt, ils obtinrent la Loi aussi.
Au cours des années passées, des officiers de police et des agents du bureau 610 et des gens du comité résidentiel sont souvent venus chez moi pour me menacer dans l'espoir de me faire arrêter ma pratique de Dafa. Quand ils m'avertirent qu'ils pourraient m'envoyer dans un camp de lavage de cerveau. Je leur répondis par une seule phrase: «Je n'irai nul part. Je suis très déterminée dans ma pratique du Falun Dafa.» Peu importe leurs menaces, je leur répondais par cette phrase. Pour ces jeunes officiers qui venaient souvent me menacer, je trouvais des opportunités pour leur clarifier la vérité. Beaucoup d'entre eux cessèrent de venir. Plusieurs officiers viennent encore pour me surveiller, mais très souvent ils repartent sans rien dire. Parfois, je viens sur le sujet du Falun Gong directement et ils me disent calmement: «J’espère que votre Maître peut aussi me protéger.»
C'est déjà la période finale de la rectification par la Loi. Je vais mieux suivre les exigences du Maître et faire les trois choses.
J'invite les pratiquants à me mentionner tout ce qui pourrait être inapproprié.
Traduit de l'anglais au Canada