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Les citoyens de Hong Kong soutiennent le Falun Gong contre les agresseurs faisant partie de l’Association de protection de la jeunesse (photo)

24 novembre 2012 |   Écrit par Liu Wenxin, correspondant de Minghui à Hong Kong

(Minghui.org) Horus Yongkang, chef du comité politique et légal du Parti communiste chinois (PCC) et d’autres ont étendu la persécution du Falun Gong à Hong Kong, en initiant une série d’attaques contre les sites de clarification des faits des pratiquants de Falun Gong. Cela fait presque 4 mois que les harcèlements et les attaques ont débuté début juin. De nombreux citoyens critiquent l’interférence malveillante des agresseurs, et prennent fait et cause pour les pratiquants.


L’Association de protection de la jeunesse de Hong Kong, incitée par les agents du PCC, a d’abord commis une série de mauvaises actions sur un site d’informations à Lok Ma Chau, à la frontière avec la Chine continentale. Ils ont intimidé les pratiquants de Falun Gong avec des couteaux, ont calomnié le Falun Gong et son fondateur et injustement dénoncé les pratiquant à la police. Après cela, ils ont attaqué un autre site d’information à Wong Tai Sin.

Depuis août, les agressions se sont intensifiées. Les membres de l’Association de la protection de la jeunesse ont suspendu des bannières calomnieuses sur le site d’information du Falun Gong près de la station de métro Tung Chung, aux alentours de 19h, le 3 août. Les pratiquants ont découvert ce qu’ils faisaient et les ont arrêtés. Cependant, ces membres sont venus en plus grand nombre, tôt le lendemain matin, apportant de nombreuses bannières calomnieuses et couvrant de force les bannières de clarification des faits des pratiquants de Falun Gong.


Les gens prennent fait et cause pour les pratiquants de Falun Gong

Grâce aux efforts de clarification des faits des pratiquants de Falun Gong sur les sites touristiques de Hong Kong toutes ces années, de nombreux agents de police et résidents locaux ont réalisé la véritable situation. La police a immédiatement arrêté ces gens alors qu’ils tentaient de boucher les bannières des pratiquants.


Les résidents locaux ont fortement critiqué la perturbation des agresseurs, et certains passants ont mis en question leur comportement déclarant : « Comment pouvez-vous faire de telles choses à Hong Kong ? »


Un touriste de Guangzhou a vu les voyous bouchant délibérément les bannières tenues par le Falun Gong à la station Lok Ma Chau, le 24 septembre. Il n’a pas pu le supporter et les a apostrophés : « Comment pouvez-vous importer l’approche du PCC de persécuter les gens à Hong Kong ? C’est incroyable que la main noire du PCC s’étende aussi à une région libre. Je veux simplement voir les bannières du Falun Gong, vous n’avez pas le droit de m'en empêcher. » Les voyous ont crié furieusement après le touriste. Celui-ci était si en colère qu’il s’est plaint auprès des agents de police présents et leur a demandé de s'occuper d'eux.


De nombreux guides touristiques de Chine qui ont appris la vérité disent toujours aux touristes qu’ils peuvent prendre des documents d’informations de Falun Gong à volonté. Beaucoup de ces touristes ont dit aux membres de l’Association de protection de la jeunesse : « J’aime lire les documents de Falun Gong, ce ne sont pas vos affaires. »


Les gardes de la sécurité présents étaient aussi mécontents de la perturbation par les personnes de l’association, parce qu’ils devaient maintenir l’ordre sous un soleil brûlant.


Les employés des boutiques proches, les agents du bâtiment et les voisins soutiennent beaucoup les pratiquants de Falun Gong sur le site d’information de Ka Wai Chuen, appréciant leur gentillesse. Ces sympathisants du Falun Gong, profondément offensés par le comportement des voyous, se sont plaints auprès de la police que leur porte-voix générait un bruit excessif, interférant avec leurs affaires quotidiennes. Ils ont également demandé pourquoi la police ne les chassait pas.


Les résidents de Hong Kong accusent les agresseurs du PCC de perturber la paix

Selon Madame Liang, pratiquante de Falun Gong sur le site d’information de Tung Chung, les membres de l’Association de protection de la jeunesse diffusent des enregistrements calomnieux avec un haut-parleur dans la zone tranquille de Tung Chung. Ils se tiennent aussi délibérément devant les pratiquants de Falun Gong avec leurs propres bannières pour empêcher les résidents locaux et les touristes de prendre connaissance des messages sur les bannières. Ils intimident souvent les touristes pour qu’ils ne prennent pas de documents d’information du Falun Gong. Ils arrachent souvent les documents des mains des gens et les jettent par terre.


La perturbation a provoqué l’insatisfaction des citoyens habitant à proximité et de nombreuses personnes se sont plaintes des nuisances auprès de la police. Suite à l’intervention policière, les jeunes ont éteint leur haut-parleur. Mais, une fois la police partie, ils ont continué à interférer en se tenant tout près des pratiquants avec les haut-parleurs à plein volume. Les pratiquants sont restés paisibles et calmes et ont continué à parler avec les touristes et à distribuer des imprimés.

Un citoyen, M. Guo, a déclaré que les pratiquants de Falun Gong éveillent les consciences à propos de la persécution de manière pacifique et rationnelle. Il admire les pratiquants pour leur courage et leur persévérance. Il était en colère de la perturbation de l’Association de protection de la jeunesse, ces derniers mois. « C’est sans aucun doute le fait du Parti communiste. », a-t-il déclaré. Il s’est aussi plaint auprès de la police et a cité leur réponse comme quoi cette association avait de nombreuses ressources. Ils ont déclaré faire les choses en suivant les instructions de leurs supérieurs.


Le personnel de la société de parking enlève les bannières illégales des voyous

Les gens de la communauté ont demandé au gouvernement de Hong Kong d’interdire l’association. La société de gestion du parking de Wong Tai Sin, un des endroits où les agents du PCC provoquent des troubles, ont pris l’initiative d’envoyer des personnes retirer les bannières illégales suspendues dans le parking, dans la soirée du 22 août.


À 18h, la société de parking Jin Wei, à Wong Tai Sin, a envoyé près de huit agents sur place. Ils ont retiré les bannières calomniant et attaquant le Falun Gong qui couvraient le fil barbelé à la périphérie du parking, et les ont remplacés par un avis de la société du parking.


On pouvait y lire : « Selon les ordres du gouvernement, aucune bannière, pancarte ou panneau d’affichage ne sont autorisés à être suspendus et affichés [ici]. Les bannières offensantes seront immédiatement enlevées et détruites. » Il a été rapporté que le responsable de la société de parking a déposé une plainte à la police, demandant que le gouvernement exige l’enlèvement des bannières. Ils espèrent que la police enverra des agents garder la zone.

Lorsque, le lendemain, l’Association de protection de la jeunesse a découvert que leurs bannières illégales à la périphérie du parking avaient été retirées , ils ont en urgence, déployé davantage de main-d’œuvre sur place. Mais de nombreux jeunes temporairement recrutés ont montré moins d’intérêt. Certains ont commencé à passer des appels téléphoniques et ne voulaient pas coopérer. Leur responsable leur a ordonné de déployer plus de bannières illégales dans l’après-midi, mais finalement ils n'ont pas réussi à le leur faire faire.


Les membres de l’Association de protection de la jeunesse, après avoir brandi des panneaux et des bannières calomnieuses, ont tenté d’empêcher les pratiquants de Falun Gong de faire la clarification des faits, mais les pratiquants sont restés rationnels et paisibles, et ont continué à discuter avec les touristes et les citoyens sur la persécution du Falun Gong. Ils ont aussi continuellement persuadé les membres de l’Association de protection de la jeunesse de ne pas devenir les outils du PCC. Gagner de l’argent de cette manière n’en vaut pas la peine, parce qu’ils auront à rembourser la dette pour toujours. Beaucoup des membres de l’association ont accepté les conseils des pratiquants et ne sont pas revenus le lendemain.


Les services départementaux concernés entreprennent des actions pour enlever les bannières et les panneaux illégaux sur certains sites d’information.

Il a été rapporté que les services départementaux concernés entreprennent des actions pour retirer les bannières et les panneaux illégaux sur les sites d’informations de Falun Gong attaqués par les voyous du PCC. Les pratiquants de Falun Gong pressent les autorités de retirer totalement les bannières de lavage de cerveau, les panneaux d’affichage et les affiches calomniant le Falun Gong et incitant à la haine, et de s’assurer du juste droit des pratiquants de Falun Gong.

Des membres de l’Association de protection de la jeunesse suspendent des bannières calomniant le Falun Gong. La femme qui les dirige (1e à partir de la gauche) hurle après les pratiquants. Une pratiquante de Falun Gong de Shenzhen a identifié cette femme comme étant une criminelle de Chine. Elle était détenue dans le centre de détention de Nanshan en 2000 pour agression. Elle bat souvent les détenues à la demande des gardiens. À cette époque, la pratiquante était détenue dans le même centre de détention pour avoir fait appel au nom du Falun Gong.


Les législateurs condamnent fortement le PCC

Plusieurs conseillers législatifs ont vivement condamné le PCC pour exporter une « campagne politique de type Révolution culturelle » à Hong Kong. Ils ont averti le gouvernement de Hong Kong de ne pas être complice et appelé les citoyens à sauvegarder les droits humains basiques et les valeurs essentielles de Hong Kong.

Leung Yiu-chung (梁耀忠), conseiller législatif, s’est montré très inquiet, et a déclaré qu’il écrirait au chef de la police pour se plaindre. Il s’inquiète que la situation actuelle puisse être la réapparition d’activités de type Révolution culturelle à Hong Kong : dénoncer et critiquer avec des affiches et en manifestant. Une telle société dans son ensemble ne ressemble plus à une société du tout. Toute la tranquillité sociale est menacée.


Il a insisté sur le fait que les pratiquants de Falun Gong sont demeurés fermes dans leur croyance après de nombreuses années et devraient être respectés parce qu’il est très important que chacun puisse s’exprimer de manière pacifique.


Le membre du conseil, Albert Chan Wai-yip (
陈伟业) a déclaré que la répression du Falun Gong à Hong Kong cette fois-ci suggère que le comité politique et légal du PCC est derrière. Ils ont engagé tellement de gens, fabriqué tellement de bannières et pris de toute évidence des mesures spéciales pour cibler le Falun Gong, il est probable que cela soit soutenu par un financement spécifique en coulisses. Il a noté que la police favorise de plus en plus le groupe pro-communiste. Les mesures du PCC pour réprimer la liberté d’expression et la liberté de religion à Hong Kong sont devenues absolument méprisables, depuis le transfert de la souveraineté de Hong Kong, 15 ans plus tôt, a-t-il conclu.


Wang Haixian, porte-parole du groupe de surveillance des pouvoirs policiers sur le front des droits humains civils, pense que l’incident montre le sentiment de crise du PCC ; c’est pourquoi il resserre davantage son contrôle idéologique sur Hong Kong.

Traduit de l'anglais en Europe

Les citoyens de Hong Kong soutiennent le Falun Gong contre les agresseurs faisant partie de l’Association de protection de la jeunesse (photo)


Écrit par Liu Wenxin, correspondant de Minghui à Hong Kong

(Minghui.org) Horus Yongkang, chef du comité politique et légal du Parti communiste chinois (PCC) et d’autres ont étendu la persécution du Falun Gong à Hong Kong, en initiant une série d’attaques contre les sites de clarification des faits des pratiquants de Falun Gong. Cela fait presque 4 mois que les harcèlements et les attaques ont débuté début juin. De nombreux citoyens critiquent l’interférence malveillante des agresseurs, et prennent fait et cause pour les pratiquants.


L’Association de protection de la jeunesse de Hong Kong, incitée par les agents du PCC, a d’abord commis une série de mauvaises actions sur un site d’informations à Lok Ma Chau, à la frontière avec la Chine continentale. Ils ont intimidé les pratiquants de Falun Gong avec des couteaux, ont calomnié le Falun Gong et son fondateur et injustement dénoncé les pratiquant à la police. Après cela, ils ont attaqué un autre site d’information à Wong Tai Sin.

Depuis août, les agressions se sont intensifiées. Les membres de l’Association de la protection de la jeunesse ont suspendu des bannières calomnieuses sur le site d’information du Falun Gong près de la station de métro Tung Chung, aux alentours de 19h, le 3 août. Les pratiquants ont découvert ce qu’ils faisaient et les ont arrêtés. Cependant, ces membres sont venus en plus grand nombre, tôt le lendemain matin, apportant de nombreuses bannières calomnieuses et couvrant de force les bannières de clarification des faits des pratiquants de Falun Gong.


Les gens prennent fait et cause pour les pratiquants de Falun Gong

Grâce aux efforts de clarification des faits des pratiquants de Falun Gong sur les sites touristiques de Hong Kong toutes ces années, de nombreux agents de police et résidents locaux ont réalisé la véritable situation. La police a immédiatement arrêté ces gens alors qu’ils tentaient de boucher les bannières des pratiquants.


Les résidents locaux ont fortement critiqué la perturbation des agresseurs, et certains passants ont mis en question leur comportement déclarant : « Comment pouvez-vous faire de telles choses à Hong Kong ? »


Un touriste de Guangzhou a vu les voyous bouchant délibérément les bannières tenues par le Falun Gong à la station Lok Ma Chau, le 24 septembre. Il n’a pas pu le supporter et les a apostrophés : « Comment pouvez-vous importer l’approche du PCC de persécuter les gens à Hong Kong ? C’est incroyable que la main noire du PCC s’étende aussi à une région libre. Je veux simplement voir les bannières du Falun Gong, vous n’avez pas le droit de m'en empêcher. » Les voyous ont crié furieusement après le touriste. Celui-ci était si en colère qu’il s’est plaint auprès des agents de police présents et leur a demandé de s'occuper d'eux.


De nombreux guides touristiques de Chine qui ont appris la vérité disent toujours aux touristes qu’ils peuvent prendre des documents d’informations de Falun Gong à volonté. Beaucoup de ces touristes ont dit aux membres de l’Association de protection de la jeunesse : « J’aime lire les documents de Falun Gong, ce ne sont pas vos affaires. »


Les gardes de la sécurité présents étaient aussi mécontents de la perturbation par les personnes de l’association, parce qu’ils devaient maintenir l’ordre sous un soleil brûlant.


Les employés des boutiques proches, les agents du bâtiment et les voisins soutiennent beaucoup les pratiquants de Falun Gong sur le site d’information de Ka Wai Chuen, appréciant leur gentillesse. Ces sympathisants du Falun Gong, profondément offensés par le comportement des voyous, se sont plaints auprès de la police que leur porte-voix générait un bruit excessif, interférant avec leurs affaires quotidiennes. Ils ont également demandé pourquoi la police ne les chassait pas.


Les résidents de Hong Kong accusent les agresseurs du PCC de perturber la paix

Selon Madame Liang, pratiquante de Falun Gong sur le site d’information de Tung Chung, les membres de l’Association de protection de la jeunesse diffusent des enregistrements calomnieux avec un haut-parleur dans la zone tranquille de Tung Chung. Ils se tiennent aussi délibérément devant les pratiquants de Falun Gong avec leurs propres bannières pour empêcher les résidents locaux et les touristes de prendre connaissance des messages sur les bannières. Ils intimident souvent les touristes pour qu’ils ne prennent pas de documents d’information du Falun Gong. Ils arrachent souvent les documents des mains des gens et les jettent par terre.


La perturbation a provoqué l’insatisfaction des citoyens habitant à proximité et de nombreuses personnes se sont plaintes des nuisances auprès de la police. Suite à l’intervention policière, les jeunes ont éteint leur haut-parleur. Mais, une fois la police partie, ils ont continué à interférer en se tenant tout près des pratiquants avec les haut-parleurs à plein volume. Les pratiquants sont restés paisibles et calmes et ont continué à parler avec les touristes et à distribuer des imprimés.

Un citoyen, M. Guo, a déclaré que les pratiquants de Falun Gong éveillent les consciences à propos de la persécution de manière pacifique et rationnelle. Il admire les pratiquants pour leur courage et leur persévérance. Il était en colère de la perturbation de l’Association de protection de la jeunesse, ces derniers mois. « C’est sans aucun doute le fait du Parti communiste. », a-t-il déclaré. Il s’est aussi plaint auprès de la police et a cité leur réponse comme quoi cette association avait de nombreuses ressources. Ils ont déclaré faire les choses en suivant les instructions de leurs supérieurs.


Le personnel de la société de parking enlève les bannières illégales des voyous

Les gens de la communauté ont demandé au gouvernement de Hong Kong d’interdire l’association. La société de gestion du parking de Wong Tai Sin, un des endroits où les agents du PCC provoquent des troubles, ont pris l’initiative d’envoyer des personnes retirer les bannières illégales suspendues dans le parking, dans la soirée du 22 août.


À 18h, la société de parking Jin Wei, à Wong Tai Sin, a envoyé près de huit agents sur place. Ils ont retiré les bannières calomniant et attaquant le Falun Gong qui couvraient le fil barbelé à la périphérie du parking, et les ont remplacés par un avis de la société du parking.


On pouvait y lire : « Selon les ordres du gouvernement, aucune bannière, pancarte ou panneau d’affichage ne sont autorisés à être suspendus et affichés [ici]. Les bannières offensantes seront immédiatement enlevées et détruites. » Il a été rapporté que le responsable de la société de parking a déposé une plainte à la police, demandant que le gouvernement exige l’enlèvement des bannières. Ils espèrent que la police enverra des agents garder la zone.

Lorsque, le lendemain, l’Association de protection de la jeunesse a découvert que leurs bannières illégales à la périphérie du parking avaient été retirées , ils ont en urgence, déployé davantage de main-d’œuvre sur place. Mais de nombreux jeunes temporairement recrutés ont montré moins d’intérêt. Certains ont commencé à passer des appels téléphoniques et ne voulaient pas coopérer. Leur responsable leur a ordonné de déployer plus de bannières illégales dans l’après-midi, mais finalement ils n'ont pas réussi à le leur faire faire.


Les membres de l’Association de protection de la jeunesse, après avoir brandi des panneaux et des bannières calomnieuses, ont tenté d’empêcher les pratiquants de Falun Gong de faire la clarification des faits, mais les pratiquants sont restés rationnels et paisibles, et ont continué à discuter avec les touristes et les citoyens sur la persécution du Falun Gong. Ils ont aussi continuellement persuadé les membres de l’Association de protection de la jeunesse de ne pas devenir les outils du PCC. Gagner de l’argent de cette manière n’en vaut pas la peine, parce qu’ils auront à rembourser la dette pour toujours. Beaucoup des membres de l’association ont accepté les conseils des pratiquants et ne sont pas revenus le lendemain.


Les services départementaux concernés entreprennent des actions pour enlever les bannières et les panneaux illégaux sur certains sites d’information.

Il a été rapporté que les services départementaux concernés entreprennent des actions pour retirer les bannières et les panneaux illégaux sur les sites d’informations de Falun Gong attaqués par les voyous du PCC. Les pratiquants de Falun Gong pressent les autorités de retirer totalement les bannières de lavage de cerveau, les panneaux d’affichage et les affiches calomniant le Falun Gong et incitant à la haine, et de s’assurer du juste droit des pratiquants de Falun Gong.

 

Des membres de l’Association de protection de la jeunesse suspendent des bannières calomniant le Falun Gong. La femme qui les dirige (1e à partir de la gauche) hurle après les pratiquants. Une pratiquante de Falun Gong de Shenzhen a identifié cette femme comme étant une criminelle de Chine. Elle était détenue dans le centre de détention de Nanshan en 2000 pour agression. Elle bat souvent les détenues à la demande des gardiens. À cette époque, la pratiquante était détenue dans le même centre de détention pour avoir fait appel au nom du Falun Gong.


Les législateurs condamnent fortement le PCC

Plusieurs conseillers législatifs ont vivement condamné le PCC pour exporter une « campagne politique de type Révolution culturelle » à Hong Kong. Ils ont averti le gouvernement de Hong Kong de ne pas être complice et appelé les citoyens à sauvegarder les droits humains basiques et les valeurs essentielles de Hong Kong.

Leung Yiu-chung (梁耀忠), conseiller législatif, s’est montré très inquiet, et a déclaré qu’il écrirait au chef de la police pour se plaindre. Il s’inquiète que la situation actuelle puisse être la réapparition d’activités de type Révolution culturelle à Hong Kong : dénoncer et critiquer avec des affiches et en manifestant. Une telle société dans son ensemble ne ressemble plus à une société du tout. Toute la tranquillité sociale est menacée.


Il a insisté sur le fait que les pratiquants de Falun Gong sont demeurés fermes dans leur croyance après de nombreuses années et devraient être respectés parce qu’il est très important que chacun puisse s’exprimer de manière pacifique.


Le membre du conseil, Albert Chan Wai-yip (
陈伟业) a déclaré que la répression du Falun Gong à Hong Kong cette fois-ci suggère que le comité politique et légal du PCC est derrière. Ils ont engagé tellement de gens, fabriqué tellement de bannières et pris de toute évidence des mesures spéciales pour cibler le Falun Gong, il est probable que cela soit soutenu par un financement spécifique en coulisses. Il a noté que la police favorise de plus en plus le groupe pro-communiste. Les mesures du PCC pour réprimer la liberté d’expression et la liberté de religion à Hong Kong sont devenues absolument méprisables, depuis le transfert de la souveraineté de Hong Kong, 15 ans plus tôt, a-t-il conclu.


Wang Haixian, porte-parole du groupe de surveillance des pouvoirs policiers sur le front des droits humains civils, pense que l’incident montre le sentiment de crise du PCC ; c’est pourquoi il resserre davantage son contrôle idéologique sur Hong Kong.

Traduit de l'anglais en Europe