(Minghui.org) J'ai commencé la cultivation du Falun Dafa pendant la deuxième moitié de l'année 2009. J'écris mes expériences personnelles par gratitude envers le Maître bienveillant qui m'a sauvée, pour aider à valider le Fa et aider les êtres à mieux comprendre le Falun Dafa.
Je suis médecin. Mon mari a obtenu le Fa en 1997 et en l'observant, j'ai pu constater de première main les bénéfices de la pratique du Falun Dafa. Auparavant, mon mari souffrait de tuberculose, de pleurésie et de mal à la gorge et de rhumes réguliers. Après qu'il ait commencé à pratiquer, il n'a plus pris aucun médicament, même quand il a connu quelques épisodes difficiles, il a vite récupéré en quelques jours seulement. Un champ d'énergie exceptionnel l'enveloppait, et je sentais que cela lui permettait de guérir des graves symptômes qui auraient créé d'énormes difficultés à une personne ordinaire.
Un jour, j'ai été touchée par une voiture, mais miraculeusement je n'ai pas été blessée. Mon mari a dit : « À partir du moment où une personne cultive, sa famille en bénéficiera également. Tu devrais vite remercier le Maître pour sa protection. » Pour montrer mon respect au Maître, j'ai brûlé de l'encens devant son portrait.
La persécution du Falun Gong menée par Jiang et sa clique a commencé le 20 juillet 1999. Mon mari était très déterminé à continuer la pratique, et suite à cela, il a perdu son emploi et il a été détenu à deux reprises dans des camps de travaux forcés. Auparavant, nous vivions de façon économe, mais quand mon mari a perdu son emploi, gagner assez d'argent pour survivre devenait de plus en plus dur. Les gens que nous connaissions ne venaient plus chez nous, car ils avaient peur d'être également menacés ou harcelés par le Parti communiste chinois (PCC). Comme j'étais toute seule avec un enfant, je me battais pour gagner assez pour aider ma famille, prenant congé chaque fois que c'était possible pour rendre visite à mon mari au camp de travaux forcés. À cette époque, quelques pratiquants venaient me rendre visite régulièrement et j'étais contente d'avoir leur soutien, car je sentais que je pouvais leur faire confiance. Mais dans notre société matérialiste, je glissais de plus en plus bas, tout comme la tendance. Après sa libération, mon mari a aidé aux tâches ménagères, il lavait nos vêtements, cuisinait et supervisait l'éducation de notre enfant. Les quelques fois où j'ai demandé le divorce, mon mari a catégoriquement insisté pour continuer le xiulian, en me disant : « Tu peux divorcer de moi, mais tu ne peux en aucun cas dire que c'est parce que je pratique Dafa. » En réalité, mon mari m'a pardonné mes erreurs de nombreuses fois. S'il n'avait pas pratiqué le Falun Dafa, il n'aurait jamais pu être aussi tolérant envers moi.
Un jour, j'ai dû m'occuper d'une patiente en plein milieu de la nuit. Dix minutes après avoir commencé à lui administrer une injection intraveineuse, la patiente a commencé à trembler. Pensant que c'était le symptôme d'une allergie au médicament, j'ai retiré la seringue. Cependant, ses symptômes s'aggravaient et peu de temps après, elle ne voyait plus rien ; elle tremblait et a murmuré : « Cette jeune fille a commis tellement de péchés dans sa vie, je vais la prendre avec moi. » La mère de la patiente était horrifiée et s'est agenouillée par terre en suppliant : « Je n'ai que cette fille-là, ne me la prenez pas. » Impuissante et pas sûre de ce que je devais faire, je n'ai pu que rester à ses côtés tandis que cette scène a continué pendant bien une demi-heure. Alors mon mari est arrivé et il a dit à la vieille dame qui était à genoux : « Je peux vous parler d'une méthode qui peut sauver à jamais votre fille. » La dame l'a écouté, sans vraiment le croire. Mon mari a dit : « Vous devez réciter « Falun Dafa hao » à haute voix et continuellement. » La dame d'un certain âge a commencé à réciter et très vite, la jeune fille se tenait la tête entre les mains en disant : « Arrêtez de réciter, j'ai mal à la tête. » La dame l'a ignorée et a même récité d'une voix encore plus forte. La patiente s'est réveillée deux ou trois minutes plus tard, et elle parlait et se comportait normalement. En parlant avec elle, nous avons pu constater qu'elle ne se souvenait plus de rien du tout, et que sa maladie avait disparu. Les personnes présentes ont vu de leurs propres yeux la puissance du Falun Dafa. Grâce à cet incident, j'ai pu assister en personne à une manifestation de possession par des esprits.
Une autre fois, un escroc qui venait de blesser quelqu'un avec un couteau est entré dans mon magasin pour emprunter un peu d'argent afin de s'enfuir. Dès que j'ai vu le sang qui couvrait ses vêtements et le couteau dans sa main, je me suis réfugiée au fond de ma maison et j'ai barré la porte. De l'extérieur, le voyou m'a menacée : « Ouvre la porte ou je vais la casser ! » Mon mari était tout seul dans un autre coin de la maison et il a crié au voyou : « Tu portes un couteau, comment ne pourrait-elle pas avoir peur de toi ? » Le bandit a couru vers mon mari et a pointé son couteau vers la poitrine de mon mari et lui a ordonné : « Donne-moi ton argent ! » Mon mari a répliqué : « Nous n'avons rien à te donner. » Mon mari était debout là en silence et les deux hommes sont restés immobiles pendant plusieurs minutes. À la fin, le voyou a abandonné et est parti. Mon mari m'a crié : « Tu peux sortir. » J'étais toute surprise quand j'ai repris mes sens. Quand mon mari m'a raconté ce qui s'était passé, je n'ai pu me retenir de poser la question : « Pourquoi n'avais-tu pas peur ? » Mon mari m'a répondu : « Le Maître me protège. Qu'y a-t-il à craindre ? » Quand j'ai entendu cela, j'étais très reconnaissante et stupéfaite.
Pendant l'année 2005, mon mari a souvent essayé de me convaincre de quitter le PCC et les Jeunes Pionniers, mais sans succès. Ou bien je l'ignorais ou bien je le grondais parce qu'il essayait de persuader mes patients de quitter eux aussi le PCC. Mon mari continuait toujours à clarifier la vérité et à persuader les gens de démissionner malgré mes avertissements. Un jour, mon mari m'a dit : « J'ai déjà soumis un pseudonyme pour toi pour te retirer de la Ligue de la Jeunesse et des Jeunes Pionniers. » (En réalité, il ne l'avait pas encore fait effectivement mais il était en train d'essayer une autre approche afin de me persuader.) J'ai accepté l'idée et je lui ai dit : « C'est bon, donc j'ai déjà quitté. » Le lendemain, j'ai souffert de migraine, et pourtant, je n'en avais jamais souffert auparavant. Mon mari a dit : « Hier quand tu as dit que tu étais d'accord pour quitter la Ligue de la Jeunesse et les Jeunes Pionniers, tu as agréé sans avoir été sincère. Tiens, prends ce bout de papier et note ce que je dis. » J'ai noté tout comme il a dit : « J'exprime ma volonté sincère de quitter la Ligue de la Jeunesse communiste et les organisations des Jeunes Pionniers. » J'ai signé le papier et peu de temps après, mon mal de tête a disparu. C'est alors que j'ai réalisé combien les facteurs pervers du PCC nuisent à l'homme, et à partir de ce-moment-là, j'ai aidé mon mari à persuader les gens de quitter les organisations du PCC.
Un jour, j'ai vu un programme à la télévision qui parlait de l'usage de la médecine traditionnelle chinoise pour la santé. Fascinée, j'ai commencé à étudier cela honnêtement. Pourtant, plus j'étudiais, plus je réalisais que les pratiquants de Falun Gong ne souffrent pas de maladies. La cultivation est la meilleure voie pour garder un corps sain. J'ai commencé à réfléchir pour pratiquer, mais les diverses tentatives de lire les livres de Dafa de mon mari venaient au mieux de la moitié de mon coeur et je lisais par à-coups. En plus, certaines de mes anciennes camarades de classe que je n'avais pas vues depuis vingt ans, m'ont tout à coup rendu visite et elles m'ont invitée à des réunions et à des réceptions. Cet attachement à mes anciennes camarades de classe m'a fait oublié mon souhait de cultiver, et ainsi, j'ai perdu deux ou trois ans. À un certain moment, j'ai même à nouveau essayé de me séparer de mon mari. Mais mon mari m'a parlé avec patience et m'a de nouveau pardonné. Plus tard, une pratiquante que je connais est venue chez moi pour emprunter la collection de VCD des conférences du Maître. Elle avait souffert de problèmes de santé dernièrement et elle a dit que regarder les conférences du Maître allait l'aider.
Quelques jours plus tard, mon mari est rentré avec les VCD des « conférences à Guangzhou » et il m'a demandé si je voulais les regarder. J'ai acquiescé par curiosité et ainsi, j'ai finalement décidé de regarder la série complète de conférences. Après avoir vu les vidéos, mon esprit semblait plus clair et rafraîchi et mes problèmes d'insuffisance vasculaire cérébrale ont été résolus. J'étais ravie et j'ai regretté de ne pas avoir obtenu le Fa plus tôt. Ce n'est qu'après avoir commencé la cultivation que j'ai réalisé qu'il n'est pas facile pour une personne ordinaire d'obtenir le Fa. Non seulement mon corps est maintenant en bonne santé, mais mes relations avec ma belle-famille se sont également beaucoup améliorées, c'est comme si j'étais devenue une toute autre personne. Ceux qui m'ont connue auparavant s'exclament quand ils me voient maintenant pour dire : « Comment se fait-il que tu aies tellement changé ? Tu as l'air d'être plus jeune qu'avant. Quel élixir magique as-tu pris ? » À chaque fois, je profite de cette opportunité pour répandre le Fa et je raconte aux gens mes expériences personnelles afin qu'ils puissent être sauvés.
Après avoir obtenu le Fa, ma mère, ma sœur cadette, ma belle-sœur, ainsi que mon enfant, ma belle-famille et d'autres parents ont commencé à cultiver. Même la parenté qui nous avait évités pendant la persécution ont su distinguer les mensonges du PCC et ont commencé à pratiquer. Pendant ces années de persécution intense, les membres de ma famille n'avaient pas compris pourquoi mon mari désirait continuer assidûment la cultivation. Maintenant que je cultive dans le Falun Dafa, ils ont su reconnaître les bienfaits de la pratique. Cultiver dans Dafa apporte le salut aux pratiquants et aux personnes autour d'eux ! Moi, par exemple, j'ai expérimenté que c'est vrai.
À cause de la persécution du PCC, mon mari a perdu son emploi et il en a beaucoup souffert. Aux yeux des gens ordinaires, il est inconcevable d'avoir survécu à ces dix ans. Mais nous ne le voyons pas comme des souffrances, car toute notre famille est libérée des maladies, et les revenus de notre ménage augmentent de jour en jour. Et il n'y a pas que cela, notre enfant est classé dans le top d'une université prestigieuse.
Traduit de l'anglais en Belgique