(Minghui.org) Depuis le 1er octobre, congé national en Chine, de nombreux groupes de touristes chinois visitent l'Europe. Selon les pratiquants de Falun Gong volontaires au Centre d'aide pour quitter le PCC, beaucoup sont choqués en apprenant que le Parti communiste chinois (PCC) prélève les organes d'êtres humains vivants. L'ayant appris, ils prennent volontiers les documents d'information, écoutent les histoires internes à propos de l'implication de Bo Xilai et Gu Kailai dans le prélèvement d’organes et le trafic de cadavres, et quittent le PCC et ses organisations affiliées. La plupart sont déjà au courant du mouvement de démissions et quittent le PCC sans hésitation lorsque les volontaires le leur conseillent.
Tout un bus de touristes chinois de la province du Sichuan s'est écrié : « Le Falun Gong travaille dur, nous vous souhaitons à vous et à votre Maître de bonnes fêtes de la Mi-automne », dès qu'ils ont vu les pratiquants de Falun Gong. Beaucoup viennent leur dire : « Falun Gong est bon. Nous le savons tous. Vous verrez bientôt la lumière au bout du tunnel. Prenez soin de vous ! »
De nombreux touristes ont dit que récemment ils avaient été en mesure de voir des informations concernant le prélèvement d’organes sur Internet, sans avoir eu besoin du logiciel de contournement du grand pare-feu chinois. Certains ont dit que l’Internet avait été bloqué voici quelques jours, puis débloqué quand Bo Xilai a été expulsé du PCC et démis de son poste au sein du Parti. Ils ont commenté avoir du mal à comprendre ce qu'il en était des crimes commis par Bo Xilai, Gu Kailai et Wang Lijun, impliqués dans les prélèvements d'organes de pratiquants de Falun Gong encore vivants. La nouvelle se propage parmi les touristes et ils posent de nombreuses questions sur le sujet.
Certains touristes, comme s’ils s'y étaient préparés, vont directement trouver les pratiquants en descendant de leur bus et leur demandent de les aider à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Certains réclament des documents spécifiques avec des révélations concernant l’affaire de Bo, Gu et Wang, et spécialement des informations sur le prélèvement d’organes et le trafic de cadavres. Un grand nombre de documents ont été pris à l’arrêt d’un seul bus rempli de touristes. Et les documents ont presque manqué face à une aussi forte demande. Certains touristes voyant les gros titres des journaux et des éditions spéciales disent joyeusement : « C’est exactement ce dont nous avons besoin et ce que nous voulons savoir, merci au Falun Gong ! »
Des touristes : La chute de Bo et de Gu est une rétribution karmique, le Parti communiste chinois est pervers !
Les touristes de la province du Sichuan étaient spécialement ravis d’apprendre la nouvelle de l’expulsion de Bo Xilai du PCC et de son limogeage. Ils ont dit que le fait que Bo et sa femme aient été jetés en prison était une rétribution karmique. Après avoir appris la vérité concernant l'implication de Bo et Gu dans le prélèvement des organes de pratiquants de Falun Gong encore vivants et du trafic de cadavres pour le profit, les touristes ont tous grondé, disant : « Les hauts responsables du PCC ont secrètement fait des choses tellement mauvaises. Ce ne sera pas toléré par le Ciel. Des êtres humains ne peuvent faire d'aussi mauvaises choses, seuls les démons le peuvent. Le PCC est le diable ! »
Certains ont dit que les peines de Wang Lijun et Gu Kailai étaient trop légères et qu’ils s’en sortaient trop facilement. Leurs principaux crimes ont été intentionnellement gardés secrets et le PCC n’ose pas les dévoiler. En ce qui concerne les prélèvements d’organes sur des êtres humains vivants perpétrés par le PCC, il ne s'agit pas de l’affaire d’un ou deux cas individuels. Si des milliers et des milliers de pratiquants de Falun Gong ont été victimes de prélèvements d’organes, alors le PCC ne sera pas en mesure de cacher la vérité de son implication. Les mauvaises personnes telles que Bo et Gu ont commencé à recevoir leur rétribution karmique, et chacun d’entre eux aura son tour et ne pourra pas impunément échapper à la rétribution pour ses crimes. Les touristes ayant appris les faits concernant les prélèvements d’organes faisaient la queue pour démissionner du PCC avant de remonter, l'un après l'autre, dans leur bus touristique.
À l’extérieur du Palais des Nations, le Bureau des Nations Unies à Genève, des fonctionnaires du PCC démissionnent du PCC
La vingt-et-unième session du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies a eu lieu au Palais des Nations à Genève. Dans l’après-midi du 18 septembre 2012, à l’extérieur du Palais, un volontaire a rencontré deux fonctionnaires chinois en costumes avec leur badge d’identification épinglé à leur chemise. Une dame d’âge mur a accepté un document d'information d'une volontaire, s’est assise sur une chaise, et l'a tranquillement écoutée lui clarifier la vérité. Cette dernière lui a rappelé de prêter attention au rapport de l’éditrice en chef du journal Epoch Times, Mme Guo Jun, à la conférence de ce jour-là, exposant les crimes du PCC concernant les prélèvements d’organes sur des êtres humains encore vivants. La volontaire lui a dit : « Quoi que les humains fassent, les divinités le voient. Chacun doit se positionner soi-même par rapport au PCC et choisir entre le bien et le mal. » La dame n’a rien dit, mais son visage arborait une expression de désapprobation vis-à-vis du PCC. La volontaire lui a demandé : « Puis-je vous aider à choisir un pseudonyme et démissionner du PCC ? » Elle s’est levée, a acquiescé et a dit : « Volontiers, merci. » Puis elle a fait demi-tour et est rentrée dans le bâtiment des Nations Unies.
« Le PCC prélève des organes sur des êtres humains encore vivants ? C'est creuser sa propre tombe, l'issue est fatale ! »
En Italie, les volontaires ont rencontré un jeune homme chinois, qui travaille pour une entreprise chinoise à Rome. Il était sous le choc en apprenant que le PCC prélève les organes des pratiquants de Falun Gong encore vivants et a exprimé son incrédulité. Il a dit : « Je ne peux pas l’imaginer. C’est impossible ! Un être humain ne peut pas faire une telle chose ! » Le volontaire lui a dit : « C’est pourtant la vérité et ça commence à être dévoilé. » Il était tellement secoué qu’il est resté figé là, puis il a dit avec écœurement : « Démission, démission ! Le PCC fait de telles choses. C’est pire que les nazis et les fascistes. C'est creuser sa propre tombe, l'issue est fatale ! »
En entendant que le PCC prélève des organes sur des êtres humains encore vivants, un intellectuel a immédiatement accepté de démissionner du PCC
Un volontaire a rencontré un intellectuel sino-américain qui était en route pour l’aéroport de Rome. Quand on lui a conseillé de démissionner du PCC, il a dit qu’il vivait en dehors de Chine depuis de nombreuses années, qu’il ne pourrait probablement pas retrouver trace de son adhésion au PCC et à la Ligue de la Jeunesse du PCC, et qu’il n’avait pas fait partie de ces organisations depuis des années. Le volontaire lui a demandé : « Savez-vous que le PCC prélève les organes d'êtres humains encore vivants ? » L'homme a dévisagé le volontaire pendant quelques secondes, puis il a immédiatement dit : « Aidez-moi à annoncer ma démission du Parti et de ses organisations affiliées. Merci ! »
Des enfants de nantis refusent au premier abord d’apprendre la vérité, mais après avoir appris le prélèvement d’organes, ils acceptent de démissionner du PCC
À Venise, les volontaires ont rencontré des groupes de jeunes gens originaires de Chine nés dans les années 1980 et 1990. On pouvait dire qu’ils étaient issus de riches familles en Chine, tout ce qu'ils portaient étant des vêtements de marque et en voyant leur façon de dépenser l’argent. Quand les volontaires ont tenté de leur clarifier la vérité, ils ont dit qu’ils ne voulaient rien entendre, ils étaient très aigris. Ils ont dit qu’ils n’étaient « pas intéressés par la politique » et ont même dit à des volontaires qu’ils « humiliaient la Chine de l'étanger ». Quand les volontaires ont mentionné le fait que Bo et Gu étaient impliqués dans le prélèvement d’organes, ils sont devenus silencieux. Quand on leur a demandé si de tels crimes contre l’humanité étaient mauvais, ils l'ont reconnu. Les volontaires ont dit alors : « S'il est vrai que le bien est récompensé par le bien et le mal rétribué par le mal, alors n’est-il pas vrai que le pervers PCC va recevoir sa rétribution ? Est-ce tenir des propos fallacieux que de dire que le Ciel va détruire le PCC, et que démissionner du PCC assurera votre sécurité ? Le fait que vous démissionniez du PCC et de ses organisations affiliées n’est pas pour le Falun Gong ou dans un quelconque but politique. C’est pour votre propre sécurité. En vous éloignant du mal vous aurez un avenir ». Nombre de ces jeunes gens ont accepté de démissionner du PCC. Ceux qui n’ont pas pris de documents de clarification ou ne se sont pas exprimés ont dit qu’ils décideraient après avoir fait quelques recherches sur Internet.
À Rome en Italie, un groupe entier d’hommes d’affaires démissionne
Dans les rues de Rome, un volontaire a rencontré un groupe d’hommes d’affaires chinois qui venait tout juste de descendre d’un train et était à la recherche de leur hôtel. Tout en leur indiquant le chemin, le volontaire leur a clarifié la vérité. Quand il a mentionné que le PCC avait tué 80 millions de Chinois innocents après avoir pris le pouvoir en Chine, un technicien qui marchait à l’arrière du groupe a dit : « Le PCC est un meurtrier. Quand n'a-t-il pas tué ? » Le volontaire lui a demandé : « Vous connaissez bien la vérité ? » Le technicien a dit : « De toutes les personnes en Chine, combien ne connaissent pas encore la vérité ? Bien sûr, on peut obtenir des informations plus détaillées à l'étranger, puisque les informations sont bloquées en Chine. Mais que le PCC est mauvais est quelque chose que tout le monde sait. » Quand le volontaire a parlé du fait que le bien est récompensé par le bien et que le mal reçoit une rétribution, le technicien a immédiatement dit : « C'est sûr que j'y crois. Démission ! Démission ! »
Quelques personnes marchant en tête d’un groupe ont pris joyeusement des journaux de clarification de la vérité et remercié à plusieurs reprises le volontaire qui les leur avait donnés. Ils ont dit qu’ils n’étaient pas membres du PCC et n’avaient pas besoin d'en démissionner. Le volontaire leur a parlé de la nécessité d’effacer le serment qu’ils avaient fait de dévouer leur vie entière à lutter pour le communisme en rejoignant les Jeunes Pionniers et la Ligue de la Jeunesse communiste. Cette promesse laisse une marque mauvaise qui peut coûter la vie à celui qui la porte. C’est seulement en annonçant sa démission du PCC et de ses organisations affiliées que la marque peut être effacée. Quelques-unes des personnes ont dit : « Qu’attendons-nous encore pour démissionner ? Démission, démission, démission ! S’il vous plaît aidez-nous à déclarer notre démission. »
Une jeune femme désignant un vieil homme qui marchait à l’avant du groupe a dit à un volontaire : « Notre chef est un haut fonctionnaire du PCC. Pouvez-vous lui demander de démissionner du Parti ? » Le volontaire s’est mis à courir pour rattraper le vieil homme et lui a dit : « Ils ont dit que vous êtes un haut fonctionnaire. Je pense que vous en avez vraiment l’air. » En entendant cela, l’homme s’est mis à rire. Le volontaire lui a demandé : « N’êtes-vous pas au courant des actes mauvais que le PCC a commis ? » Il a dit : « Ah, il n’y a personne qui ne soit pas au courant de cela. » Le volontaire a répondu : « Plus de 100 millions de Chinois ont démissionné et ont quitté le PCC. N’allez-vous pas démissionner ? » Il a dit : « Merci, merci ! Ok, je démissionne. Je démissionne ! »
Le volontaire a dit au groupe que les prélèvements d’organes criminels du PCC avaient été révélés. Ils ont dit qu’ils aimeraient aller voir ça sur Internet et ils ont tous dit « merci » au volontaire.
Un étudiant international à Strasbourg, en France : « Comment peut-on aimer un parti comme le PCC ? »
Un étudiant venu de Chine faire ses études de maîtrise a dit à un volontaire : « Ce n’est pas un problème pour moi que de démissionner du parti. Dans ma tête, j'en ai déjà démissionné. Le PCC a déjà poussé le pays dans un tel état. Il est vrai que les gens en Chine n’ont aucun moyen de gagner leur vie. Quand j’étais en Chine, mes parents ne pouvaient pas s’acheter de viande. Je n’ai pu m’en offrir qu’après être venu ici. Les loyers sont exorbitants. Regardez ceux qui peuvent s’acheter des maisons ou des appartements, quel genre de personnes sont-elles ? D’où vient leur argent ? Il y a un énorme fossé entre le riche et le pauvre, et l’injustice est présente partout dans la société. Les gens ne peuvent pas gagner leur vie. Ma famille fait face à un problème de survie. Comment peut-on aimer un parti comme celui-là ! »
Un guide touristique en Suisse : « Mes parents m’ont dit de ne pas revenir même mort ! »
De nombreux touristes se plaignent des conditions de vie en Chine. Un guide touristique a dit : « Je suis venu ici pour essayer de gagner ma vie. Mes parents m’ont dit, quelle qu’en soit la raison, ne reviens pas en Chine même mort ! Ce n’est pas un environnement de vie pour des êtres humains. » Un touriste a dit : « Vous pouvez voir le prix des marchandises s’envoler, même le prix de l’huile usagée monte en flèche. C’est votre affaire que vous mangiez ou pas. Personne ne s’en préoccupe. » Le volontaire a dit : « Les Chinois qui connaissent la vérité recevront des bénédictions. Démissionner du PCC assurera votre sécurité. Après que vous ayez démissionné du parti, rappelez à vos amis et parents de faire de même. Ils recevront également des bénédictions. » Les touristes ont dit : « Selon vous, il semble que nous ayons encore un espoir. Inscrivez nos noms et aidez-nous à démissionner du parti s'il vous plaît. »
Traduit de l'anglais en Europe