Falun Dafa Minghui.org www.minghui.org IMPRIMER

L'expérience de cultivation d'une jeune pratiquante

26 mars 2012 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa de la province du Henan


De la huitième conférence de partage d’expériences par Internet pour les pratiquants de Chine

(Minghui.org)


Extrait :


Je suis une jeune pratiquante qui pratique le Falun Dafa depuis quatre ans. Quand j'ai commencé l'université en l'an 2000, ma mère a commencé à parler du Falun Dafa. On m'avait enseigné l'athéisme à l'école depuis que j'étais petite et je ne croyais ni en Dieu, ni en Bouddha, ni dans la cultivation. Je lui ai dit que la cultivation et les êtres de niveau supérieur étaient pour les gens sans instruction qui n'avait pas appris les sciences et qui recherchaient la spiritualité. Le Maître bienveillant a arrangé que je fasse une percée dans mes conceptions humaines, et du jour au lendemain je suis devenue une pratiquante.


- De l'auteur


Bonjour vénérable Maître ! Bonjour compagnons de pratique !


Je suis une jeune pratiquante qui pratique le Falun Dafa depuis quatre ans. Le Maître prend soin de moi laborieusement et je ne peux rembourser la grâce immense du Maître. Je tiens à partager mes expériences de cultivation.


Faire une percée à travers la notion d'athéisme et obtenir le Fa


Mon père nous a quittées quand j'avais cinq ans et par la suite nous étions dans une situation désastreuse. Les difficultés ont exercé une pression mentale sur ma mère, qui s'affaiblissait quotidiennement et s'évanouissait souvent. Je ne dormais donc pas bien quand j'étais petite. J'étais dans la peur constante, toujours malheureuse, peu sociable et introvertie. Pour plaire à ma mère, je travaillais dur à l'école et j'avais d'excellentes notes. La santé de ma mère ne s'améliorait pas. Alors que nous étions au bord du désespoir, ma mère a appris le Falun Dafa grâce à une pratiquante. Très vite elle est devenue en bonne santé et optimiste. J'étais heureuse qu'elle ait retrouvé l'espoir et n'y ai plus pensé.


Quand j'ai commencé l'université en l'an 2000, ma mère a commencé à parler du Falun Dafa. Le Parti communiste chinois (PCC) a fait tout son possible pour veiller à ce que nous devenions des athées à l'école. Je n'étais donc absolument pas intéressée par les pratiques spirituelles. Je ne croyais ni en Dieu, ni en Bouddha, ni dans la cultivation. J'ai dit à ma mère que ces choses étaient pour les gens sans instruction qui n'avaient pas appris les sciences et qui recherchait la spiritualité. J'étais impatiente avec ma mère et j'ai été perdue dans le monde humain pendant encore sept ans. Le Maître bienveillant a arrangé que je fasse une percée dans mes conceptions humaines, et du jour au lendemain je suis devenue une pratiquante.


Le 10 janvier 2007, j'étais stressée par la pression à cause de mes études. Ma mère m'a emmenée à la maison d'une pratiquante, mais je me sentais très mal à l'aise et je voulais partir. Elles ont insisté pour que j'y reste toute la nuit. Cette nuit-là, de nombreux pratiquants faisaient les exercices et m'ont demandé de les rejoindre. Ils m'ont placée au centre du cercle qu'ils formaient. J'ai hésité à me joindre, mais j'étais trop timide pour refuser. Quand j'ai fait le deuxième exercice, avec les mains au-dessus de la tête j'avais la nausée, mais je ne pouvais pas vomir. Je me sentais très mal, mais en voyant les autres si confortables et paisibles, j'ai continué. Peu après, j'ai vu du bleu foncé devant mes yeux et je n'entendais plus la musique des exercices. Je me suis évanouie. Selon les pratiquants, mon visage est passé du violet au blanc. Je me suis souvenue d'avoir sentir un courant glacé circulant dans mon corps, suivi par un courant très chaud. J'ai senti clairement un liquide visqueux s'écouler de mes oreilles. Lorsque je me suis réveillée, j'ai essayé de m'essuyer les oreilles mais il n'y avait rien.


Cette expérience m'a profondément touchée. De retour à la maison, j'ai lu le Zhuan Falun. Je ne me souviens pas quand j'ai commencé à me sentir mieux, mais mon arthrite ne me gênait plus les jours de pluie, mes brûlures d'estomac chroniques ont disparu, les démangeaisons sur mes jambes en été et les vertiges causés par l'hypoglycémie ont disparu. Une pratiquante avec son œil céleste ouvert m'a dit que quand j'ai fait les exercices au début, une cage de fer est tombée du ciel et m'a mise en cage. Une vie ressemblant à un dragon a été chassée de mon corps et a été ensuite absorbée par le Falun du Maître et déchirée en petits morceaux.


Étudier la Loi et cultiver pour élever le xinxing


Le Maître souligne l'importance d'étudier le Fa et comme j'ai commencé tellement tard, je croyais que je devais faire encore plus preuve de diligence dans mon étude de Fa. Je devais m'assimiler au Fa et abandonner mes conceptions humaines déformées avant de pouvoir me fondre dans le travail de la rectification par la Loi. J'ai découvert que la mémorisation du Fa m'aidait beaucoup. Quand je marchais, le Fa apparaissait phrase par phrase dans mon esprit. Quand je faisais face à des épreuves de xinxing, le Fa me venait rapidement à l'esprit et je pouvais me discipliner. Je passais les épreuves mieux qu'avant de mémoriser le Fa. Par conséquent, lorsque je n'étais pas occupée, je lisais et mémorisais le Fa. Ma mère avait choisi de recopier le Fa et de le lire du début à la fin. Nous comparions nos expériences et ainsi nous nous améliorions. J'étais une personne différente un mois après avoir commencé la pratique.


Je me souviens d'un de mes rêve en 2006. Un énorme Bouddha d'or est apparu dans le ciel faisant un signe de la main. Je l'ai dit à ma mère et elle était vraiment heureuse, disant que j'avais une affinité prédestinée avec le Falun Dafa. Elle avait noté la date, le 10 janvier, le même jour où j'avais appris les exercices ! J'ai senti à ce moment-là que je m'éveillais d'un rêve et j'ai fait l'expérience de la splendeur de Dafa. Tout était parfaitement organisé. J'ai compris ce que le Maître avait fait pour moi et j'ai pleuré. J'ai dit au Maître dans mon cœur : « Maître, je vous remercie, votre disciple a finalement obtenu le Fa ! »


« Apprendre la Loi, obtenir la Loi


Comparer l'étude, comparer la cultivation


Pour chaque chose on se réfère à la Loi


Arriver à faire ainsi, c'est la cultivation »


(« Cultiver réellement » de « Hongyin »)


Le Maître organise chaque épreuve sur notre chemin afin d'élever notre xinxing. Un jour en été 2009, quand je suis rentrée chez moi, j'ai senti des démangeaisons sur mon visage et mes bras qui augmentaient et commençaient à se répandre. J'ai regardé dans un miroir et j'ai remarqué que tout mon corps était couvert de points rouges. En quelques minutes, les rougeurs couvraient tout mon corps et avaient formé des croûtes qui m'irritaient terriblement. J'en avais aussi dans les cheveux et sur les sourcils. Je me sentais comme si je souffrais d'une allergie à de la nourriture. J'ai pensé : « Continuez, c'est une excellente occasion de me débarrasser de vous. » Je me suis grattée un peu et les croûtes se sont répandues comme une traînée de poudre. Ça allait pendant la journée, mais pendant la nuit, les démangeaisons étaient terribles et je n'arrivais pas à m'endormir. Tout à coup, je me suis souvenue que quand j'étais petite, j'avais entendu dire que les trous de fourmis pouvaient faire s'effondrer des barrages et que les gens pouvaient se noyer. J'avais versé de l'eau bouillante dans une fourmilière et tué de nombreuses fourmis. Sur le moment, j'étais vraiment triste de les voir mourir. Je me suis repentie et me suis sentie très coupable. J'étais vraiment désolée.


Ma mère, voyant que je ne dormais pas la nuit, a suggéré que je prenne de la médecine alternative. Je savais qu'il y avait une raison pour que ça se produise et que c'était juste que je rembourse ma dette. Je ne pouvais pas demander au Maître d'endurer mon karma. Si je pouvais rembourser ces pauvres vies, je pouvais bien souffrir les démangeaisons. En fait, je me sentais mieux. Et puis, utiliser un médicament alternatif, c'était comme aller chez le médecin, c'était éviter la souffrance et ne pas vouloir rembourser la dette. J'ai pensé que je ne pourrais pas atteindre la plénitude parfaite en portant la dette. J'ai refusé la suggestion de ma mère et lui ai dit pourquoi. Miraculeusement, les croûtes ont disparu en quelques secondes, comme si elles avaient été aspirées. J'ai réalisé l'importance de traiter les problèmes avec des pensées droites et d'abandonner ainsi la pensée des gens ordinaires.


Une fois, mon pied droit a été pris dans la roue d'un vélo. L'ongle du gros orteil a été enlevé et la chair était toute en bouillie. Les Chinois disent : « Les dix doigts (orteils) sont reliés au cœur. » Une telle blessure allait certainement faire très mal et on aurait dit que j'avais été frappée par un objet pointu, mais je sentais peu de douleur. Je savais que le Maître endurait la plus grande partie pour moi, et une énorme quantité de karma a été éliminé. J'ai pleuré en marchant et j'ai dit au Maître : « Maître, vous avez encore souffert pour moi. Je n'ai pas peur de la souffrance du karma que j'ai accumulé au cours de nombreuses vies. Je vais faire de mon mieux dans la pratique et rentrer à la maison avec le Maître. » L'ongle de l'orteil a repoussé en une semaine.


Les occasions d'améliorer notre xinxing peuvent apparaître à tout moment. En 2007, j'ai commencé mes études universitaires dans une école hors de la ville. Ma mère a aussi déménagé pour s'assurer que je puisse continuer la pratique et pour économiser de l'argent. Nous avons loué une chambre sur le campus à une enseignante. Après avoir signé le contrat, elle nous a fait payer 350 yuans de dépôt et a promis de rembourser l'argent si nous payions le loyer à temps. Plus tard, ma mère a trouvé une autre maison qui était plus pratique et calme et a dit à l'enseignante que nous déménagerions le mois suivant. L'enseignante a refusé de rembourser le dépôt en donnant plusieurs raisons. Elle n'était pas raisonnable et nous a dit beaucoup de choses désagréables. Nous n'étions pas riches et les dépenses étaient élevées. Nous avions économisé nos centimes et 350 yuans couvriraient deux semaines de dépenses. Ma mère a dit à l'enseignante qu'elle devait être honnête, car ce n'était pas bon pour sa santé. La personne était professeur d'éducation physique, mais elle avait l'air malade et haletait quand elle parlait. Elle était très têtue et nous savions que c'était une épreuve de xinxing pour nous. Nous sommes parties sans rien dire. Un mois plus tard, l'école m'a informé qu'une conférence académique allait avoir lieu et que tous les élèves pouvaient participer gratuitement. Cela n'était jamais arrivé auparavant et les frais d'inscription était de 350 yuans. Nous n'avions rien perdu. Le Maître a dit : « Nous, les pratiquants, nous disons qu’il faut laisser les choses se faire naturellement ; ce qui est à vous, vous ne le perdrez pas et ce qui n’est pas à vous, vous ne l’aurez pas, même si vous luttez pour l’avoir. » (Zhuan Falun) Ma mère et moi avons réalisé que tant que nous vivons selon les principes de Fa et abandonnons nos conceptions, peu importe la façon dont un conflit se termine, c'est le meilleur dénouement pour un pratiquant.


Aider le Maître dans la rectification de Fa et clarifier les faits au sujet du Falun Dafa


J'avais une certaine compréhension de Fa avant de rejoindre la pratique grâce à ma mère, qui est devenue pratiquante dix ans avant moi. Je savais l'importance de clarifier les faits sur la persécution du Falun Gong. J'ai commencé à clarifier la vérité sur le Falun Dafa un mois après avoir commencé la pratique. Tout d'abord, je parlais seulement à des camarades de classe, des parents et des personnes que je connaissais. De cette façon, même si je faisais des erreurs, je n'aurais pas une mauvaise influence. Parfois, je distribuais les Neuf commentaires sur le Parti communiste et des prospectus sur le Falun Dafa. La première fois que j'ai donné une copie des Neuf commentaires, j'étais avec ma mère. Je devais le donner à une personne sur un tricycle. J'avais tellement peur que je me suis sauvée. J'ai été très contrariée parce que je n'avais pas bien fait. Mais cet incident m'avait appris quelque chose, je savais clairement que c'était dû à mon attachement à la peur et que je devais l'éliminer. Je devais bien faire cette tâche et ne pas l'éviter. Peu à peu, j'ai été en mesure de bien traiter toutes sortes de situations. Même si une personne était pressée pour rentrer chez elle en vélo, ne reconnaissant pas cela, je lui donnais une copie du dépliant de clarification de la vérité. Cette expérience a établit une base solide pour éliminer rapidement ma peur.


Quand je travaillais pour ma maîtrise en septembre 2007, ma mère et moi avons essayé de fabriquer des documents à la maison. Pendant la journée, quand j'étais en classe, elle produisait des dépliants de poèmes et de chansons du site Zhengjian (Pureinsight) et le soir, j'allais les distribuer dans des quartiers résidentiels ou des endroits publics bien fréquentés. Une fois, je suis allée dans un bâtiment éloigné. Quand j'étais sur le point de l'afficher, j'ai vu sur un autre mur une grande affiche disant « Falun Dafa est bon ». Les larmes me sont montées aux yeux et ça m'a fait chaud au cœur. Le Maître avait arrangé que je vienne ici pour que je puisse sauver les êtres et aider les pratiquants locaux.


Le Maître a arrangé que nous rencontrions des pratiquants locaux. Un pratiquant nous a donné une imprimante et nous avons commencé à imprimer des documents. Nous avons émis les pensées droites près d'une prison, clarifié la vérité dans les quartiers, posté des lettres pour clarifier les faits sur le Falun Gong et distribué des DVD de Shen Yun Performing Arts. Mon école suivait la politique agressive du Parti communiste chinois (PCC). D'autres étudiants pratiquants et moi émettions souvent les pensées droites sur le campus pour éliminer les facteurs pervers persécutant le Falun Dafa. Il y avait beaucoup de caméras de surveillance autour de l'école. J'ai demandé au Maître que les caméras tombent en panne pour que je puisse mettre des dépliants dans les boîtes aux lettres de la faculté et du personnel. Un des professeurs est allé en visite à Taïwan et a raconté à ses élèves à son retour comment le Falun Dafa était répandu à l'étranger. J'ai saisi cette occasion pour aider les étudiants à quitter le PCC et ses organismes affiliés. Mes journées à l'école m'ont permis de partager et de m'élever avec les pratiquants locaux et d'acquérir de la maturité dans ma cultivation.


À l'automne 2009, j'ai eu la chance de visiter une amie que je n'avais pas vue depuis 6 ans. Dans le passé, elle avait refusé d'écouter les faits à propos de Dafa. Dans le train, j'ai émis les pensées droites en voulant qu'elle apprenne la vérité. Après avoir échangé des salutations, je lui ai montré une fleur d'Udumbara qui poussait sur une feuille de pêcher. Elle l'a regardée encore et encore et était très excitée. Elle a pris une photo. Je lui ai parlé de la médecine chinoise, de la moralité, du destin, de la foi et des leçons historiques. J'ai finalement eu l'occasion de lui parler de la persécution. Elle était bien disposée. Plus tard, je lui ai montré un DVD de clarification de la vérité et elle a été émue aux larmes. Avant son mariage, je lui ai à nouveau rendu visite. Je lui ai donné une copie du Zhuan Falun, le logiciel pour percer le blocus Internet et une vidéo des exercices. Elle est devenue pratiquante et a aidé beaucoup de gens à quitter le PCC et ses organismes affiliés.


Avant d'obtenir mon diplôme, j'ai fait un stage dans une entreprise à Pékin. Ma mère m'a accompagnée. Nous avons rencontré un pratiquant dont les grands-parents (des pratiquants) avaient aussi grandi dans le Henan. Ils n'étaient pas au courant des démissions du PCC, alors je les ai aidés. Ma mère travaillait dans une cuisine et a aidé beaucoup de cuisiniers à quitter le PCC.


Ma mère et moi avons acheté une imprimante après être revenues à la maison. Nous imprimions des messages de clarification de la vérité sur des billets. J'ai clarifié la vérité aux gens face à face. J'ai essayé de faire comprendre à tous la persécution et de dissiper leurs incompréhensions dues à la propagande du PCC. Ceci a eu un bon effet à long terme et en valait la peine. J'ai distribué des dépliants, des CD ou des logiciels. De tels cadeaux pouvaient être passés à d'autres personnes désirant en savoir davantage sur le Falun Gong.


Une fois, j'ai vu une petite statue de Bodhisattva dans un camion. J'ai expliqué au chauffeur que les gens feront face à une rétribution pour avoir persécuté le Falun Gong du point de vue de la culture divine et je lui ai donné des exemples de cas de récompenses pour le bien et de châtiments pour le mal. Il a quitté le PCC et ses organismes affiliés immédiatement. Une personne à côté de lui n'était pas d'accord et a dit : « Vous parlez bien, mais vous devez quand même manger », voulant dire que faire de l'argent était plus important. Entre-temps, plusieurs personnes se sont jointes à notre conversation. J'ai pensé qu'ils venaient pour être sauvés et que je devais leur faire comprendre la vérité. J'ai dit : « Je ne vous ai pas dit que vous ne pouvez pas faire d'argent si vous m'écoutez. C'est important que les gens mangent et gagnent leur vie. Les riches ont de la bonne fortune, c'est ce qui les rend riches. C'est précisément avoir la bonne fortune qui libère les gens. Tout le monde veut avoir de la bonne fortune, mais savez-vous comment l'obtenir ? » Tout le monde écoutait et voulait entendre ma réponse. « Vous voyez la réponse est déjà dans le caractère « fu (bonne fortune) », si vous connaissez la culture divine. Le côté gauche ne signifie-t-il pas « divinité » ? Cela signifie que pour avoir la bonne fortune, vous devez suivre les conseils des divinités et quand vous avez la foi, vous serez bénis. Le côté droit contient « un champ de riz », ce qui signifie avoir la richesse et avoir de la nourriture. Et pourquoi est-ce que les bénédictions divines précèdent la richesse ? Être béni par les divinités est la base de nos vies. Sans base vitale, vous pourriez ne pas être en mesure de dépenser l'argent que vous avez. »


Tout le monde hochait de la tête et réfléchissait. J'ai poursuivi : « Vous ne pouvez pas regarder les manifestations superficielles des choses, surtout dans une société où le bien et le mal sont mélangés et où la moralité se dégrade. Tout le monde pense que le gain personnel est le plus important, tout le monde croit ce qui est dit à la télévision. Pourquoi croyez-vous des choses quand vous ne savez pas si c'est vrai ou faux ? » Tout le monde écoutait tranquillement. J'ai parlé des causes des catastrophes naturelles, des désastres causés par l'homme et des leçons historiques. J'ai ensuite parlé de la propagation du Falun Dafa, j'ai dit la vérité sur le coup monté de l'auto-immolation sur la place Tiananmen et comment les gens peuvent être sauver. J'ai répondu aux questions. De plus en plus de gens se sont rassemblés pour m'écouter et certains passants, dont le propriétaire d'un café, ont compris la vérité.


Je donnais des dépliants tout en parlant. Les gens qui sont arrivés plus tard, ne comprenaient pas ce dont je parlais, donc je ne cessais de répéter les principaux faits de la vérité sur le Falun Gong. Un jeune homme m'a souri et m'a dit qu'il m'avait entendue parler de la vérité auparavant et avait quitté le PCC et ses organismes affiliés. Il était heureux de me revoir. Quand j'étais en train de répéter ce que j'avais dit plus tôt pour ceux arrivés plus tard, le jeune homme et d'autres personnes qui avaient entendu les faits sur le Falun Gong auparavant m'ont aidé à répéter l'information, ce qui m'a épargné beaucoup de temps. Ils m'ont aidé à valider le Fa et de nombreux passants ont été convaincus par mes propos. Certaines personnes qui avaient tout d'abord peur, sont venues écouter et ont accepté le dépliant. Quelques personnes qui croyaient dans la propagande du PCC et argumentaient avec nous, se sont faites ridiculisées par ceux qui ont été sauvés. En moins de deux heures, tous les dépliants que j'avais étaient partis et plusieurs personnes avaient quitté le PCC.


Une fois, j'ai parlé à plusieurs ouvriers de la construction sur la persécution. Un membre du PCC a essayé de me chasser en disant qu'il ne pouvait pas écouter les propos « anti-PCC ». Cela ne m'a pas perturbée. J'ai donné un dépliant à tout le monde. Je leur ai dit que je ne partirais pas et que je répondrais à leurs questions. Le membre du PCC a demandé un dépliant et a commencé à le lire. Ils lisaient pendant que je parlais. Le membre du PCC a terminé de lire en premier et m'a dit qu'il démissionnerait du PCC une fois qu'il eut mémorisé le contenu du dépliant. Je savais que le Maître m'avait aidée à briser la glace. J'ai répondu rapidement au membre du PCC que le PCC était un navire échoué sur le point d’être éliminé par l'histoire et connaître la vérité et quitter le PCC et ses organismes affiliés étaient le seul bateau à quai. Il a tout de suite accepté de quitter le PCC et était très heureux.


Plusieurs d'entre eux m'ont demandé de continuer à parler. Certains d'entre eux avaient lu les documents de clarification de la vérité et certains avaient écouté d'autres pratiquants. Je leur ai raconté des histoires vraies sur la façon dont le Falun Dafa purifie le cœur des gens et améliore le niveau de moralité. Ils avaient tous une compréhension positive du Fa. Ils voulaient tous des amulettes (1) que je distribuais et ils les ont toutes mises à leur cou. Leur superviseur m'a dit avec un sourire : « Notre chauffeur fait 700 yuans (100 dollars américains) par voyage. Il préfère vous écouter que de gagner cet argent. » Celui qui avait quitté le PCC a dit : « Vive le Falun Dafa. Nous serons un groupe de soutien du Falun Dafa à partir de maintenant. Je leur ferai tous porter les amulettes. » Avant de partir, je leur ai donné quelques CD de clarification de la vérité, afin qu'ils puissent faire connaître la vérité à leurs familles.


Clarifier la vérité face à face non seulement utilise à plein la puissance des documents de clarification de la vérité, mais élimine également la crainte imposée par le PCC pervers sur les gens. Les gens vont comprendre que les pratiquants les sauvent ouvertement et noblement. Une fois, une personne a tenté de fuir quand j'étais sur le point de lui dire les faits sur le Falun Gong. Il m'a dit qu'il voulait écouter, mais avait peur. Alors j'ai remarqué que sa tête était en sueur. Je savais que j'ébranlais les éléments pervers derrière lui. Je lui ai souri et lui ai parlé de la vérité du point de vue de la loi, du droit à l'information, des droits de l'homme et de l'actualité. Il a rapidement accepté ce que j'avais à dire.


Plus tard, j'ai rencontré cinq personnes et essayé de leur donner des dépliants. L'un d'eux qui ressemblait à un fonctionnaire du bourg a refusé d'en prendre et m'a dit que c'était contre la loi. D'autres ont refusé de prendre les brochures dès qu'il a dit cela. Je lui ai immédiatement demandé : « Honnêtement, dites-moi, qui fait la loi en Chine ? Est-ce que les lois sont justes et équitables ou sont-elles pour le profit de certaines personnes et pour qu'ils intimident les gens ? » Il s'est tu. Je leur ai demandé de réfléchir à leur vie en Chine : « Pensez-vous que vous êtes en sécurité quand il s'agit de nourriture, de transport et de logement ? Il y a tellement d'injustices et de mauvais jugements au niveau légal, de produits alimentaires toxiques, d'informations bidon et de cas de corruption. Qu'est-ce qui fait que la société punit le bien et récompense le mal ? » Ils étaient tous d'accord avec moi. Je leur ai alors parlé des principes du Falun Dafa et comment Dafa enseigne aux pratiquants à être de bonnes personnes.


Le fonctionnaire du bourg ne cessait de m'interrompre et de critiquer Dafa et le Maître. J'ai émis les pensées droites pendant que je tentais de contrer chaque fausse accusation. Les quatre autres personnes, avec leur côté éveillé, ne croyaient pas le fonctionnaire et lui ont demandé de « se retirer et d'aller se reposer ». L'un d'eux m'a dit : « Je pensais auparavant que le Falun Gong était comme ce qui est dit à la télévision et je ne comprenais pas. D'après ce que vous avez dit, la pratique semble vraiment bonne. » Ils ont commencé à discuter et étaient d'accord avec les principes de Dafa. Le fonctionnaire du bourg a essayé de me diffamer en disant que j'étais payée plus de 5 000 yuans (700 dollars américains) par mois pour parler aux gens et que l'argent venait de l'étranger. Je lui ai dit que si je ne pratiquais pas Dafa, je ne leur parlerais pas, car ils étaient des étrangers pour moi. Tant que j'étais en sécurité, pourquoi devrais-je me préoccuper d'eux ? Je leur ai dit que Dafa m'obligeait à être désintéressée et altruiste et d'assurer leur sécurité, j'ai épargné chaque centime et risqué ma vie pour leur dire les faits.


Ils étaient très émus et ont commencé à me défendre, ils ont dit que j'étais une fille très courageuse. J'ai dit au fonctionnaire du bourg : « Peut-être que vous ne me croyez pas, mais pour votre propre bien, vous ne devriez pas dire de mauvaises choses, en particulier sur les êtres divins et ceux qui croient en eux. Vous serez tenu responsable pour vos propos. » Le fonctionnaire est resté silencieux après cela.


Ce matin-là, plusieurs personnes ont entendu la vérité et ont quitté le PCC et ses organismes affiliés. Ils ont demandé des CD, des brochures et des logiciels pour briser le blocus Internet. Une personne m'a dit : « C'est la première fois de ma vie que je rencontre une personne aussi courageuse et qui dit la vérité. Vraiment, je n'ai jamais rencontré quelqu'un comme vous. » Je lui ai dit que c'était parce que j'étais une pratiquante de Falun Dafa.


Bien sûr, je suis tombée aussi sur ceux qui ne pouvaient pas accepter ce que je disais ou ceux qui me faisaient des reproches. Tant que j'avais des pensées droites et que j'étais consciente de ma mission en tant que pratiquante de la rectification par la Loi, j'étais capable de faire face à la situation. J'ai vécu de nombreuses histoires miraculeuses et touchantes au cours des quatre dernières années. Toutes sont dues à l'immense compassion du Maître. Je ne peux rembourser la grâce immense du Maître qu'en progressant avec diligence sur mon chemin de cultivation. Je serai digne du Maître et des êtres à sauver.


Note : (1) Amulettes – En Chine, les pratiquants parfois « clarifient la vérité » en donnant aux gens un petit souvenir à porter ou à chérir, portant quelques mots leur rappelant la bonté de Dafa.



Traduit de l'anglais au Canada