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Le printemps se fait attendre

27 mars 2012 |   Écrit par Wan Qiu une pratiquante de Dafa de la province du Hebei


(Minghui.org)




Salutations à notre vénérable Maître!


Salutations aux compagnons de pratique!


  1. Expérience incroyable en obtenant le Fa


En 2004, l'épouse de mon quatrième plus jeune frère m'a proposé de m'accompagner pour avoir un bilan de santé. Les résultats des examens sont revenus et le personnel m'a dit que le résultat n'était pas bon. Ils ont suggéré que j'aille dans un grand hôpital pour un deuxième avis. Après l'examen physique de l'hôpital, j'ai décidé de faire l'opération qu'ils me recommandaient. Le jour avant l'opération, j'étais de très mauvaise humeur. Je m'inquiétais beaucoup et je n'ai rien pu manger à l'heure du repas. Pendant la nuit, je tournais et me retournais sans cesse dans le lit et ne pouvais pas m'endormir. Je me suis levée et j'ai commencé à regarder un DVD. Je pensais que ce serait une bonne façon de soulager mes inquiétudes.


De façon inattendue, le DVD parlait de l'Histoire éternelle. Les paysages spectaculaires, l'appel de Bouddha, et l'histoire touchante a attiré mon attention de suite. Le grand firmament cosmique fait face à une catastrophe sans précédent. Pour sauver un nombre incommensurable d'êtres vivants, et pour prévenir la destruction de l'univers, la grande miséricorde du Seigneur Bouddha a conduit les dieux vers ce monde humain pour rectifier la Loi. À l'heure actuelle, nous jouons la scène finale. J'ai été bouleversée. J'ai réalisé que notre Maître bienveillant est le miséricordieux Seigneur Bouddha et les disciples de Dafa sont les êtres divins qui viennent assister le Maître dans la rectification par la Loi. J'étais toujours perdue parmi les êtres humains et j'ignorais le chemin de retour à mon vrai domicile originel.


En regardant le DVD, j'ai pleuré et pleuré. Les larmes me coulaient sans arrêt sur les joues. Je ne sais pas combien de fois j'ai regardé ce DVD. Le choc spirituel était au-delà des mots. Mes sentiments à ce moment-là étaient semblables au personnage principal des Contes de fées des Gens du Futur. L’Histoire éternelle était un très bon DVD. Je me suis demandée pourquoi le destin ne m'avait pas conduit à regarder le DVD avant ça?


Le lendemain, je ne pouvais pas attendre l'arrivée de la pratiquante pour lui parler de ce sujet. Elle n'a rien dit, mais au lieu de cela, elle m'a lu le livre Zhuan Falun. J'ai écouté et je n'ai pas cessé de pleurer. Mon être tout entier a été imprégné par la Loi. A ce moment je ne savais pas comment j'étais revenue à la maison.


Ma seule pensée était que le Fa était très bon et je voulais cultiver et pratiquer. Mais j'étais une personne facilement contrôlée par les autres et avec la persuasion des membres de ma famille, j'ai décidé d'aller de l'avant avec l'opération. La compagne de pratique n'a pas porté de jugement sur ma décision mais m'a donné la série de conférences de neuf jours du Maître et un exemplaire de Zhuan Falun. Allongée dans mon lit à l'hôpital, j'écoutais parfois les conférences du Maître, et parfois ma sœur aînée me lisait Zhuan Falun. À cette époque, j'étais très faible et en mauvais état. Cependant, plus j'écoutais les conférences du Maître, plus je me sentais à l'aise et plus je les chérissais, et plus clair d'esprit je devenais. Dans mes rêves, j'ai même vu le Falun tournant à mon chevet. Il était extraordinairement beau.


En 2005, j'ai de nouveau décidé de pratiquer le Falun Dafa. Mon mari s'y est opposé fermement et a dit: «Le Parti communiste persécute le Falun Gong si violemment, et tu veux continuer à le pratiquer. Tu es cinglée. N'as-tu pas peur d'affecter l'avenir de nos enfants?» Il ne m'a pas permis de pratiquer le Falun Gong. Il a menacé de demander le divorcer. Il a même invité le père de mon oncle (secrétaire du village), le père de ma tante (le directeur du poste de police) et mon oncle (secrétaire du village) à venir faire pression sur moi pour que je ne pratique pas. A cette époque, je n'avais pas bien étudié la Loi et ne passais pas beaucoup de temps à faire les exercices. Sous leur pression, et dans mon état de confusion, j'ai raté une autre occasion.


Bien que je n'aie pas cultivé et pratiqué, je n'ai jamais abandonné le Maître et Dafa. À une occasion, je me suis procuré le portrait de Maître et j'ai brûlé de l'encens pour lui montrer mon respect.


En mars 2009, après avoir épuisé tout l'encens à la maison, je suis allée chez une pratiquante pour en acheter un peu plus. Après mon arrivée chez elle, je n'avais pas envie de partir. Je me sentais très à l'aise. Je lui ai demandé, «Puis-je étudier la Loi et faire les exercices chez toi?» Elle a répondu, «Bien sûr.» Nous avons ensuite commencé à faire les exercices. Quand nous avons fait le cinquième exercice, la méditation assise, bien que je ne pouvais pas ramener mes jambes bien loin, je me suis sentie très à l'aise.


Au cours de la nuit du troisième jour de ma pratique des exercices, j'ai rêvé que je saignais beaucoup et je cherchais un hôpital. Soudain, j'ai vu trois anges. L'un d'eux m'a regardée et m'a souri, et m'a aidé à nettoyer le sang avec une boule de coton. Il a dit, «Vous n'êtes pas malade.» Dans la nuit même, ma compagne de pratique a également eu un rêve. Elle a rêvé que le Maître donnait une conférence et quand le Maître m'a vue entrer dans la salle, il lui a joyeusement dit de donner de bons conseils à cette nouvelle pratiquante (en parlant de moi). Ce fut l'essentiel de son rêve.


Trois autres jours se sont écoulés. Pendant la sieste, j'ai fait un autre rêve. J'ai rêvé que j'étais couchée sur un lit et le Maître a démoli mon corps comme s'il travaillait sur une machine. Il a ensuite mis toutes les pièces sur le lit et les a ré-assemblées. Moins d'un mois après avoir commencé à faire les exercices et étudié la Loi chez ma compagne de pratique, je ne m'étais jamais sentie aussi bien. Je pouvais aussi faire le double lotus des jambes en position assise pendant 45 minutes. Les pouvoirs supranormaux de Dafa ont renforcé ma confiance dans la cultivation-pratique. Je ne pourrai jamais cesser de cultiver dans Dafa. Dafa est profondément enraciné dans mon cœur.


II. Gérer les épreuves au sein de la famille par la pensée droite


Un jour, je suis rentrée à la maison après l'étude de la Loi. Je m'apprêtais à préparer le dîner, et ma fille et mon mari étaient assis sur le canapé. En me voyant, mon mari s'est fâché très fort et agitant la main, il m'a dit, «Tu n'as pas besoin de préparer le dîner. Nous allons divorcer demain.» Je me suis dit, «Pourrait-il être fâché contre moi pour avoir convaincu ses amis de se retirer du PCC et de ses organismes affiliés il y a quelques jours?» Je lui ai demandé doucement: «Qu'est-ce qui te tracasse?» En colère, il m'a répondu: «Tu m'as fait perdre la face devant de mes amis. Tu es allée chez un tel et leur as demandé de se retirer du PCC. Est-ce important pour toi de savoir si oui ou non il va se retirer du PCC? Tu as même fait l'achat d'un vélo et tu vas partout pour parler aux gens. Tu as l'air d'une idiote. Je ne peux pas vivre une vie comme ça.» Puis il s'est levé et est descendu. Ma fille n'a pas pu l'arrêter. Elle a eu si peur qu'elle s'est assise sur le canapé et a pleuré.


Je me suis retournée et je suis allée dans la cuisine. J'ai préparé le dîner, tout en récitant la Loi du Maître. J'ai entendu ma fille appeler mes parents et tout leur raconter. Le lendemain matin, mes parents sont venus chez nous. Mes tantes et mon oncle sont également venus. Mon oncle et mes tantes m'ont demandé d'aller dans ma chambre, où ils m'ont parlé. Ils ne cessaient de me parler et voulaient me faire abandonner ma pratique du Falun Gong. Ma mère m'a dit, «Si tu obtiens un divorce, que feras-tu?» Je leur ai fermement dit: «Je ne vais pas abandonner ma croyance. Il n'y a rien de mal à suivre les principes d' «Authenticité-Bienveillance-Tolérance» et être une bonne personne.»


Je leur ai dit qu'avant de commencer à pratiquer le Falun Gong, chaque fois que je ne me sentais pas bien, ma mère devait venir prendre soin de moi. Les jours chauds d'été, les autres femmes pouvaient porter des jupes. Je devais porter des pantalons en laine épaisse. La nuit, je devais aller au lit avec des chaussettes en coton épais. Tout le monde dans ma famille, y compris mes beaux-parents, le savait. J'ai dit que je ne leur en parlais pas parce que je ne voulais pas les inquiéter à mon sujet. Je devais dépenser plusieurs centaines de yuans chaque mois pour recevoir des injections pour m'empêcher d'attraper un rhume. L'argent que je dépensais pour les traitements gynécologiques était encore plus important. Ma vie était misérable. Je n'avais pas vécu un jour à l'aise. Si j'ai vraiment une maladie qui ne peut pas être guérie, est-ce qu'il aura (mon mari) de l'argent pour me sauver? Je ne veux pas un divorce. Notre Maître nous enseigne à ne pas obtenir un divorce en raison de la pratique du Falun Gong. Mais mon mari insiste sur l'obtention d'un divorce. Je n'ai pas peur de cela. J'ai le Maître et Dafa. J'ai aussi mes mains. Je peux encore aider mes parents. Après avoir pratiqué le Falun Gong, je suis libre de toutes les maladies. Il m'a menacée auparavant, en utilisant le divorce comme raison et il m'a forcée à abandonner ma pratique. J'ai fait une erreur alors, mais je ne vais pas faire la même erreur de nouveau.»


Après avoir entendu ce que j'avais à dire, ils ont tous pleuré.


Mon père et mon oncle n'ont rien dit et sont partis dans l'après-midi. Mon mari a quitté la maison pendant plusieurs jours. De retour chez lui, il n'a pas mentionné quoi que ce soit au sujet du divorce. Plus tard, j'ai entendu de ma tante que son mari avait appelé mon mari et lui a dit qu'il devrait y réfléchir et ne devrait pas obtenir un divorce à cause de ma pratique du Falun Gong. Je me suis dit, «Ces mots ne ressemblent en rien à mon oncle. Il était évidemment que le Maître se servait de la bouche de mon oncle pour me protéger et prendre soin de moi.»


Une autre fois, je suis allée à la ville provinciale faire quelques achats. Dans la matinée, avant mon départ, mon mari m'a dit de ne pas prendre mon sac à main, en me disant que ce n'était pas sûr car il contenait mes livres de Dafa et de l'argent. J'ai pensé que c'était peut-être le Maître qui me donnait une sorte d'indice pour me dire que mon livre de Dafa serait plus sûr à la maison. Je n'y ai pas trop pensé et j'ai pris le sac avec moi. J'ai décidé de mettre le sac dans le coffre arrière de la voiture. Après mon retour à la maison, j'ai oublié mon sac et l'ai laissé dans le coffre. Après le dîner, mon mari a dû faire une course et a pris la voiture avec mon fils. Après leur départ, je me suis souvenue que mon sac était toujours dans le coffre. J'ai appelé mon mari et lui ai dit que j'avais laissé mon sac dans le coffre et lui ai demandé de faire attention si quelqu'un d'autre l'aidait à charger les achats dans le coffre. Ils sont retournés après 9 heures. Mon fils m'a remis mon sac dès qu'il est entré dans la maison. Je l'ai ouvert tout de suite et j'ai vu que l'argent était toujours là, mais je n'ai pas vu mon livre. Inquiète j'ai demandé à mon fils, «Où est mon livre?» Il a immédiatement soulevé une main et a juré, en disant: «Je ne l'ai pas pris.» J'ai alors demandé à mon mari, «Où est mon livre?» Je lui ai dit, «Comment se fait-il que l'argent soit encore à l'intérieur du sac, mais mon livre n'y soit pas?» Il a vu que j'étais très anxieuse et puis il s'est détourné et s'est dirigé dehors. Je l'ai suivi. Dans l'ascenseur, je lui ai demandé de me rendre mon livre. Il a dit qu'il ne savait pas où il était. J'ai cherché partout dans la voiture, mais ne l'ai pas trouvé. Je lui ai dit, «Si je ne trouve pas mon livre, tu ne peux pas partir d'ici jusqu'à ce que je trouve.» Il m'a ensuite menti et m'a dit qu'il avait donné le livre à quelqu'un d'autre, mais a ensuite changé d'idée pour me dire qu'il l'avait déchiré. Il m'a alors dit de chercher le livre dans le fleuve Yangtze. Il m'a menée devant la porte du poste de police, en disant qu'il allait me dénoncer à la police. Il y avait un policier devant la porte à ce moment-là. J'ai demandé au Maître de renforcer mes pensées droites de sorte qu'il ne le fasse pas. A ce moment, le policier nous a demandé de partir. Mon mari m'a alors emmenée sur les rives de la rivière Yangtze et m'a dit de vérifier la rivière. J'ai dit, «Tu me dis de me suicider? Le suicide c'est tuer. Je ne vais pas me suicider.» Après avoir cherché dans un grand cercle, il était presque minuit. Il m'a vue toujours en train de chercher mon livre et m'a dit: «Divorçons demain» J'ai dit, «Tu utilises la menace du divorce pour faire pression sur moi de nouveau. Si tu veux, je peux divorcer de toi. Je ne me soucie pas de ton argent. Je peux partir sans rien. Nous n'avons pas besoin de nous disputer. Je suis d'accord avec toutes tes demandes. Mais tu dois me rendre mon livre de Dafa.» Après cela, il n'a rien dit et nous sommes retournés à la maison.


Le lendemain matin, mon mari s'est levé et s'est préparé à partir. Je lui ai dit, «Si tu ne me donnes pas mon livre, je te suivrai partout où tu iras.» Afin d'éviter cela, il m'a dit que notre fils me donnerait le livre. Je l'ai cru et ainsi je l'ai laissé partir. Après que mon fils se soit levé, il a dit qu'il ne savait pas où était le livre. Je lui ai dit: «Si tu ne sais pas, tu devrais m'emmener à l'endroit où vous et ton père êtes allés la nuit dernière. Toi et ton père avez comploté pour me tromper. Si vous ne me rendez pas mon livre aujourd'hui, je vais retourner dans ma ville natale.» Puis je me suis levée et je suis partie. Mon fils m'a suivie. En me voyant si inquiète au sujet de mon livre, il a appelé son père. Je n'ai pas entendu ce qu'il a dit au téléphone, mais après mon fils m'a dit doucement: «Papa pourrait vraiment jeter ce livre. Que dirais-tu si nous retournions à ta ville natale pour acheter un autre exemplaire.» Je lui ai dit, «Ce n'est pas comme cela. Comment se fait-il que tu sois si confus? Ne sais-tu pas que vous violez une loi céleste?» Ainsi mon fils et moi sommes allés dans ma ville natale ensemble. Après notre arrivée, je suis allée tout de suite voir ma compagne de pratique et nous avons échangé nos compréhensions. La compagne de pratique et moi sommes retournées à la ville provinciale et avons cherché le livre. Nous ne sommes pas rentrées avant 21 heures et encore là, nous n'avions toujours pas trouvé le livre.


Après son retour à la maison, je me sentais très triste et me suis assise sur mon lit. Mon fils m'a suivie dans la chambre et dit: «Maman, pourquoi es-tu si têtue? Tu viens tout juste d'arriver de ta ville natale, pourquoi es-tu revenue à Wuhan de nouveau?» A ce moment, j'étais en larmes, pleurant. Je lui ai dit: «Mon fils. J'ai l'impression que dans cette maison je n'ai ni dignité, ni liberté. Bien que j'essaie de faire de mon mieux pour prendre soin de vous, j'utilise mon temps libre à lire mon livre de Dafa et faire les exercices. Dafa m'a permis d'améliorer mon sens moral et m'a enseigné aussi comment être une bonne personne. Je suis devenue de nouveau en bonne santé. Auparavant, je passais mon temps à jouer aux cartes, faire du shopping, ou danser. Maintenant je suis les principes de l' «Authenticité-Bienveillance-Tolérance». J'ai un but dans la vie. Y a-t-il quelque chose de mal avec ça? Tu ne devrais pas écouter les mensonges du PCC et tromper ta propre conscience.» A ce moment, la bienveillance de mon fils est sortie et il a dit: «Maman, je ne vais plus t'empêcher de faire ta pratique.»


Je n'ai pas trouvé mon livre et mon mari n'avait pas encore changé, mais mon fils avait changé son point de vue.


  1. Valider la Loi


Un jour, une compagne de pratique et moi avions essayé de convaincre un ami de mon mari et sa famille de se retirer du PCC et de ses organismes affiliés. Sur le chemin du retour, j'ai soudain eu une pensée, «Je leur ai clarifié la vérité. Que dois-je faire s'ils le disent à mon mari?» Je n'ai pas parlé de cette mauvaise pensée à ma compagne de pratique, et ne l'ai pas éliminée. Plus tard, mon mari a utilisé cet événement comme une raison pour vouloir divorcer à nouveau. Il a réuni ma famille et a causé un grand tapage sur ça. Après cela, j'ai regardé à l'intérieur, et réalisé que la vraie cause était cette unique pensée. Tout comme le Maître dit dans Zhuan Falun: «Nous disons que le bien ou le mal surgit d’une seule pensée, une différence dans la pensée provoque un résultat différent.» Plus tard, j'ai été capable de maintenir des pensées droites plus fortes.


Un autre jour, après le groupe d'étude de la Loi à 16:00 heure, j'ai eu la pensée que je voulais aller dehors pour clarifier la vérité aux gens. Tout en marchant, je n'arrêtais pas de demander au Maître de me renforcer et de permettre aux gens qui avaient une affinité prédestinée de venir vers moi pour être sauvés. Peu de temps après, je me suis dirigée vers l'intersection du supermarché. Il y avait beaucoup de gens à pied. Une belle jeune fille s'est dirigée vers moi et m'a remis un dépliant sur le pouvoir de la main et m'a expliqué un peu sur le sujet et les endroits où je pouvais me renseigner davantage. J'en ai profité pour lui clarifier la vérité sur le Falun Gong. Je lui ai dit, «Je veux vous dire quelque chose.» Elle m'a regardée avec ses grands yeux et a dit: «Quoi?» J'ai dit, «Avez-vous entendu parler d'avoir une vie sûre en vous retirant du PCC et ses organismes affiliés?» Elle a répondu, «Non» Je lui ai demandé, «Avez-vous déjà été membre de la Ligue de la jeunesse?» Elle a dit, «Oui. Je l'ai fait.» J'ai dit, «Si vous étiez un membre de la Ligue de la jeunesse, alors vous êtes un membre du PCC. Le PCC est corrompu et a fait beaucoup de mauvaises actions. Les cieux le détruira. Vous êtes une personne gentille, si jeune. Si vous ne démissionnez pas, votre situation ne sera pas bonne. Je peux vous aider à démissionner du PCC et après vous serez en sécurité.» Je lui ai également dit quelques vérités de Dafa.


Après avoir compris ce que j'ai dit, elle m'a dit son nom de famille. Je l'ai aidée à choisir un pseudonyme. Elle a souri, hoché la tête, et a exprimé sa gratitude. J'ai dit, «Vous devriez remercier mon Maître. C'est notre Maître qui m'a dit de venir et de vous sauver. Vous devez vous rappeler: «Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon.» Elle a accepté. Je lui ai aussi donné quelques documents de clarification de la vérité.


Je n'avais pas peur à ce moment, mais dans mon cœur, j'ai remercié le Maître pour m'avoir protégée et aussi pour avoir sauvé la jeune fille. Je savais qu'elle avait fait un choix judicieux, après avoir appris la vérité sur le Falun Gong et en protégeant un pratiquant de Dafa au moment du danger. Elle est un être très précieux.


  1. Conclusion


Il y a encore beaucoup de choses que j'aimerais dire. J'ai du regret d'avoir obtenu la Loi si tard et de ne pas avoir étudié la Loi assez bien. Comparée aux pratiquants initiés, j'ai encore un long chemin à faire pour les rattraper. Après avoir lu les conférences récentes de Maître, je suis plus claire sur l'objectif de la cultivation et sur ce que cela signifie d'être une disciple de Dafa. Dans ma cultivation à venir, je vais essayer de faire de mon mieux pour bien étudier la Loi, et me dépêcher à sauver plus de gens.



Traduit de l’anglais au Canada