(Minghui.org)
Bonjour vénérable Maître! Bonjour compagnons de pratique!
1. Une histoire unique au sujet de l’obtention de la Loi
En juillet 2000, j’attendais d’être condamnée dans le centre de détention de la ville de Zibo dans la province du Shandong pour commerce d'enfants. J’ai vu une prisonnière qui était si différente des autres: elle souriait toujours et j’étais très heureuse d’avoir été mise à côté d’elle. Elle a dit qu’elle était pratiquante de Falun Gong et elle m’a récité tout ce dont elle pouvait se souvenir des poèmes de Maître Li. Cette pratiquante est rentrée chez elle après 28 jours. D’autres pratiquantes ont ensuite été arrêtées et détenues à l’intérieur. En trois mois, elles m’ont récité les 72 poèmes de Hong Yin, et aussi Lunyu, «Dao Fa (Parler de la Loi)», «Riche et grand», «Le Xiu véritable», «L’exposé du bouddhisme est la partie la plus faible et la plus petite de la Loi de Bouddha», «Cultiver l’intérieur pacifie l’extérieur», «Eveil», etc. Les pratiquantes m'ont écrit le texte sur du savon avec la pointe acérée de baguettes chinoises cassées.
Une prisonnière m’a dénoncée aux gardes, qui m’ont demandé comment les pratiquantes se comportaient dans notre cellule. J’ai dit qu’elles nous enseignaient à être de bonnes personnes, à ne pas se battre et à être tolérante. Ils m’ont alors changée de cellule. Rapidement une autre prisonnière m’a de nouveau dénoncée et un garde m’a frappée, il m’a prévenue que je ne devais plus pratiquer.
Les gardes m’ont de nouveau changé, pour une cellule où une pratiquante était en grève de la faim depuis sept jours. Les gardes avaient planifié de la gaver brutalement et m’ont demandé de me joindre à la torture. J’ai dit aux gardes que j’étais fatiguée et je les ai suppliés de me laisser la persuader de manger. Je lui ai dit: «Je cultive en secret, je ne veux pas te faire souffrir. Est-ce que tu voudrais s’il te plaît manger un peu?» Elle a souri et elle a approuvé. Rapidement, ma condamnation de cinq ans a été remise et j’ai été emmenée à la prison de la province du Shandong.
2. Solide détermination
J’ai d’abord été emmenée dans la cellule d’une nouvelle prisonnière, là où deux autres prisonnières venaient juste d’apprendre Dafa comme moi. L’une d’elle faisait les exercices la première nuit et a été dénoncée. Les gardes lui ont donné un coup de pied puis l’ont laissée. Nous avons été toutes trois assignées à la même cellule.
Une fois, une pratiquante était très triste à cause de l’émotion, et j’ai récité une phrase d'un poème du Maître. Les autres prisonnières ont immédiatement rapporté aux gardes que j’avais récité une phrase du Falun Gong. Les gardes m’ont demandé ma vision du Falun Gong. J’ai répondu: «Ils sont tous de bonnes personnes.» Mais quand on m’a demandé si je pratiquais le Falun Gong, je n’ai pas osé l’admettre à ce moment-là.
Plus tard j’ai fait un rêve. Toutes les poules que nous avions élevées sont mortes puis sont ensuite revenues à la vie, sauf les miennes, parce que je les avais recouvertes d’un couvercle. Après m’être réveillée, je me suis demandé ce que Maître essayait de me dire. Cela m’a pris deux à trois jours pour comprendre que c'était dû au fait que je n’avais pas osé admettre que j’étais une disciple de Dafa. Trois minutes seulement après m’être éveillée à cela, un prisonnier m’a dit que les gardes m’appelaient. Je lui ai dit comment j’avais obtenu la Loi en prison, comment je cultivais, comment toutes mes maladies avaient disparu et comment la nature de mon esprit avait changé.
Après cela, nous avons été appelées pour écouter chaque fois qu’un collaborateur venait raconter des compréhensions déviées. La gardienne nous demandait d’écrire nos compréhensions de nos crimes avant de cultiver Dafa, et nos compréhensions du Falun Gong. J’ai écrit comment Dafa a guéri mes maladies. Comme mes écrits n’étaient pas conformes aux exigences, la gardienne m’a demandé de m’accroupir dans le couloir. Elle m’a même une fois forcée à m’accroupir toute la nuit en hiver. Je n’était pas habillée chaudement, mais le Maître m’a renforcée et m’a fait ressentir un peu de chaleur.
Je récitais souvent la Loi avec les autres nouveaux pratiquants. Nous nous enseignions les uns les autres les écritures que nous avions appris chacun. Une fois quand j’écrivais «Cultiver l’intérieur pacifie l’extérieur», les gardiens l’ont emmené. Quand une autre prisonnière a obtenu la Loi dans une autre cellule, les gardes m’ont blâmée. Ils m’ont appelée dans une pièce, ont fermé les rideaux et m’ont demandé d’enlever mon manteau. Je n’avais aucune idée de ce qu’ils allaient faire quand soudainement j’ai senti deux matraques électriques me frapper. Environ six gardes m’ont entourée avec des matraques électriques et j'ai roulé sur le sol. Les gardes me frappaient en avant en arrière comme un ballon. Je saignais. Je ne pouvais plus le supporter après plus d'une heure. J’ai écrit une déclaration de repentir, mais j’ai refusé d’écrire des informations sur les autres pratiquants.
Ma misère a augmenté. Dès qu’un garde ou un groupe devait faire des heures supplémentaires ou des travaux supplémentaires pendant la nuit, je devais y participer. Je ne pouvais seulement dormir que deux ou trois heures par nuit. Le Maître me donnaient des conseils dans mes rêves. Je récitais la Loi sans cesse. J’ai maintenu fermement une pensée: «Même si je meurs, je dois porter la Loi avec moi. Même si ma tête est coupée, mon corps sera toujours assis en position de lotus. Je ne ferai jamais rien qui portera tort à Dafa!»
Un autre jour, les gardes m’ont demandé de me rendre à leur bureau. Dès que je suis entrée, ils m’ont demandé d’enlever mon manteau. J’ai enlevé mon manteau sans hésiter et je l’ai mis de côté. Les gardes étaient choqués. Ils m’ont demandé si j’avais peur quand ils ont essayé de me choquer. Les gardes ont testé leurs matraques électriques contre le mur et elles semblaient ne pas bien fonctionner. L’un d’entre eux s’est étonné: «Pourquoi ne marchent-elles pas? Je les ai juste rechargées la nuit dernière?» À la place ils m’ont forcée à m’accroupir dans le couloir toute la nuit.
Finalement, ils m’ont enfermée en confinement solitaire. Les gardes me criaient dessus et me disaient que si je ne fournissais pas d’information sur les autres pratiquants, je ne serai pas relâchée. Ma mère a aussi été arrêtée pour trafic d’enfants et elle était enfermée dans une autre cellule. Les gardiens l’ont utilisée pour essayer de me «transformer». Elle a pleuré, crié et m’a menacée. Je n’ai pas été touchée et j’ai émis les pensées droites pour éliminer les éléments pervers derrière elle. Elle a arrêté de parler et m’a juste écoutée.
Les gardes ont ordonné aux collaborateurs de prendre part en essayant de me rééduquer à tour de rôle. J’ai commencé une grève de la faim pour protester. Ils ont dit que si je continuais de refuser d’accepter leur rééducation, ils allaient me gaver. J’ai dit: «Si vous cessez de m’envoyer ces collaborateurs, je mangerai.» Ils ont cessé de venir.
Deux procureurs sont venus au confinement solitaire. Ils avaient appris que j’avais commencé la cultivation après avoir été détenue pour avoir commis d’autres crimes. Ils étaient furieux et ont crié: «Dis-tu que le Falun Gong est droit ou pervers?» J’avais peur et je n’ai pas répondu. Après qu’ils soient partis, j’ai récité l’article du Maître «Dao Fa (Parler de la Loi)»: «Alors pourquoi le côté de la nature originelle ne rectifie-t-il pas la Loi?» J’ai pensé: «Oui, pourquoi ne rien dire? Pourquoi ne pas écrire que le Falun Dafa est merveilleux?»
Le douzième jour de confinement solitaire, j’ai dit aux gardes qui me surveillaient: «Donnez-moi du papier, je vais écrire.» J’ai écrit «Le Falun Dafa est droit! Le Maître vient pour sauver les gens. C’est impossible de me convaincre d’arrêter le Falun Dafa.» Les gardes ont pris mon papier dès qu’ils ont vu ce que j’avais écrit. J’allais encore signer mon nom comme «Disciple de Dafa».
Les gardiens ont été choqués de ce que j’avais écrit. J’ai dit que j’étais devenue plus ferme pendant tout ce temps qu’ils m’ont gardée enfermée. Un gardien m’a demandé comment il se faisait que j’étais maintenant comme une vraie pratiquante de Falun Gong, alors qu’avant j’étais une criminelle. J’ai émis les pensées droites tout le temps qu’il était là, lui donnant mal à la tête. Le jour suivant il est venu toujours avec un mal de tête et m’a fait sortir du confinement solitaire. Je lui ai dit que de quelque façon qu’il participe à la persécution, il en recevrait la rétribution karmique à moins qu’il n’arrête de faire de telles choses. Il a tout de suite arrêté de frapper les pratiquantes.
Les gardiens ont complètement changé leur attitude à mon égard: plus un seul n’osait être brutal avec moi. La pratiquante qui m’avait enseigné le Falun Gong dans le centre de détention était dans un état d’esprit confus et les gardiens lui ont demandé de me rééduquer. Je n’ai pas dévié. Il y avait 17 pratiquantes dans notre unité, et seulement quatre confinements solitaire. Nous avons décidé de faire les exercices de Falun Gong ensemble. Le premier jour les gardes étaient furieux, mais ne nous ont pas vraiment empêchées. Nous avons fini les exercices. Toutes celles qui avaient une fois accepté d’être rééduquées ont regretté leur «transformation» et ont publié une déclaration solennelle pour exprimer leur détermination à cultiver Dafa.
Une autre pratiquante qui a obtenu la Loi en prison a été torturée pendant ma période de confinement solitaire. Elle a échoué au test. J’ai rêvé qu’elle était morte. Puis j’ai supplié le Maître de me laisser la voir pour l’aider. Le Maître a réalisé mon vœu. Je lui ai raconté mon rêve. Les gardiens lui ont demandé qu’elle me rééduque, mais je lui ai dit comment j’avais réussi à surmonter ce test et je l’ai aidée à écrire une déclaration solennelle. Elle est devenue une pratiquante ferme.
J’ai ensuite été torturée jusqu’à être méconnaissable. J’ai dénoncé les gardes qui m’ont battue à la matraque électrique et ceux qui m’ont enfermée en confinement solitaire. Le directeur de la prison est venu me voir et je lui ai raconté comment j’ai été torturée.
Une pratiquante a chanté une chanson composée par un disciple de Dafa, «Je viens pour toi», le jour de la fête des mères. Les gardiens ont pris le microphone, l’ont empêchée d’avoir des contacts avec qui que ce soit et ont essayé de l’enfermer en confinement solitaire. Les autres 16 pratiquantes ont entamé une grève de la faim et une grève du travail avec la condition qu'elle soit relâchée inconditionnellement. Les gardiens ont dû la relâcher très vite.
Les gardiens voulaient m'ordonner de m’accroupir quand je suis entrée dans le bureau. J’ai répondu avec dignité: «J’ai payé pour mon crime originel, maintenant vous me rajoutez de fausses peines! Je n’ai plus de crimes à payer maintenant.» Les gardiens ont essayé de me forcer mais en vain. Puis, ils m’ont proposé une petite chaise dans leur bureau. Chaque fois qu'ils me demandaient d’écrire quelque chose, j’écrivais «Falun Dafa est merveilleux» ou un poème du Maître. Finalement les gardes ont eu peur de me laisser écrire quelque chose. Ils ont aussi arrêté de mettre un quota sur mon travail forcé, je pouvais faire autant que je voulais.
J’ai rêvé d’un athlète acceptant des prix, et mon nom était sur la liste. Les autres ont reçu de petits morceaux de jade et j’ai eu deux clés. J’ai aussi rêvé que j’avais été admise par une université et que j'étais même devenue une étudiante diplômée. J’ai ensuite été relâchée 11 mois plus tôt et je suis rentrée chez moi.
3. Ne jamais se relâcher dans la cultivation
En 2004, je suis rentrée à la maison, dans une province éloignée. Je n’ai au début trouvé aucun pratiquant. J’ai ensuite clarifié la vérité à mes amis et à ma famille, et ma troisième belle-sœur a obtenu la Loi. J’ai écrit de mémoire Hong Yin dans un agenda et les sous-titres du Zhuan Falun. Des compagnons de cultivation dans la prison du Shandong ont apporté beaucoup de nouveaux écrits et des informations sur le processus de la rectification de Fa. Je savais que je devais clarifier la vérité et sauver les êtres quand je suis partie.
J’ai acheté du papier et un pinceau et j’ai écrit «Falun Dafa est merveilleux» et «Zhen-Shan-Ren est merveilleux» sur du papier et des vêtements, puis je les ai affichés dehors. Les compagnons de pratique du Shandong que j’avais rencontré en prison ont continué à m’envoyer les nouveaux textes, jusqu’à ce que je sois connectée à des pratiquants locaux.
Je n'ai pas pu trouver de pratiquants dans mon village pendant plus d’un an, alors je suis retournée dans la province du Shandong en train et j’ai retrouvé une pratiquante que j’avais rencontrée en prison. Elle m’a donné une copie du Zhuan Falun , les Neuf commentaires sur le Parti communiste, des nouveaux textes et les autres enseignements du Maître, toute une boîte pleine. Ils ont émis les pensées droites pour que je rentre saine et sauve à la maison. J’ai aussi émis les pensées droites et je suis rentrée à la maison sans incident.
J’ai ouvert un restaurant et je passais la vidéo des Neuf commentaires pendant que mes clients mangeaient. Un vieil homme m’a dit qu’un pratiquant lui avait donné un DVD, mais il n’osait pas le regarder. Sa femme aussi avait rencontré une pratiquante en prison qui l’avait aidée. Il voulait la remercier. J’en étais très ravie et je lui ai tout de suite demandé où se trouvait cette pratiquante. J’ai découvert qu’elle était toujours détenue, mais la deuxième fois, elle a été relâchée. Finalement, j’ai été connectée avec un groupe local.
Ma cultivation est devenue calme, mais mon xinxing se maintenait toujours. Je n’osais pas me relâcher dans le salut des êtres. J’ai utilisé les vieux rayons-X de ma famille pour découper des pochoirs pour «Falun Dafa est merveilleux, Zhen-Shan-Ren est merveilleux». Puis je suis allée avec un pratiquant peindre avec une bombe de peinture pendant la nuit avant un grand évènement de marché. Nous étions chacun d’un côté de la rue. J’ai prié pour qu'il pleuve un peu, alors il s’est mis à pleuvoir légèrement, afin que les gens restent à l’abri chez eux. Nous avons peint sur des murs blancs, des poteaux et des vitres. C’était si beau! Nous avons terminé avant minuit. Normalement il n’y avait plus de taxis, mais quand nous avons regagné la route, un chauffeur était justement en train de faire une sieste. Je l’ai réveillé. Il a dit: «Je vous attendais.» Je sais que c’est le Maître qui lui avait demandé de nous attendre ici!
Le jour suivant était lumineux et ensoleillé. Je suis allée sur le grand marché et j’ai vu que notre travail de la nuit passé était merveilleusement accompli. Les gens discutaient: «Est-ce que la réputation du Falun Gong a été rétablie? Comment ces mots sont-ils arrivés ici?» Beaucoup de gens les ont photographiés.
Nous distribuions les documents dans les banlieues environnantes individuellement. Au début, je n’osais pas distribuer des documents de clarification de la vérité directement, ayant peur que les gens se fâchent en disant: «Que faites-vous?». J’ai regardé à l’intérieur: «Pourquoi ne pas être ouverte et digne quand tu sauves les gens?» Le Maître nous a enseigné dans «Les disciples de Dafa doivent impérativement étudier Fa»:
«Comment faire pour travailler sur le courant principal de la société? Vous ne savez pas comment faire. Lorsque vous arrivez dans les beaux quartiers, en rencontrant les gens, vous n'osez même pas leur parler, vous hésitez à tendre un document avec la peur au ventre. Comment pourriez-vous sauver les gens? Immédiatement cette personne va penser que vous n’êtes pas crédible, n’est-ce pas? Ça ne demande vraiment pas que vous vous preniez trop la tête, vous n'avez qu'à le faire ouvertement et loyalement. Vous êtes un disciple de Dafa. Ne réalisez-vous pas que vous êtes en train de sauver les gens?»
Je me suis éveillée au fait que je devais sauver les gens ouvertement. J’ai pris les documents et je suis allée les donner aux gens directement, avec une forte détermination. Je disais: «Nous sommes maintenant dans une période de temps désastreuse. Je vous donne ici une lettre de paix.» Ou bien je disais: «Je suis ici pour vous apporter la paix et la sécurité.» Les gens acceptaient très facilement. Certains faisaient les trois démissions, d’autres étaient hésitants. Alors je leur disais: «Vous pouvez écrire sur des billets que vous quittez le parti. Les divinités le verront.»
J’ai aide à peu près sept personnes à commencer la cultivation après leur avoir clarifié la vérité. L’une d’elle travaillait avec moi dans un supermarché. Mon patron m’a promue après seulement une demi-année, et j’obtenais le même salaire que ceux qui travaillaient là depuis quatre ans, parce que, comme pratiquante, je suis une bonne employée. La nouvelle pratiquante était fâchée et pensais que je n’étais pas loyale. Elle a ensuite émis le vœu d’arrêter la cultivation. J’ai juste souri et je lui ai dit: «Si je refuse d’accepter ce peu d’argent en échange que ton xinxing puisse s’élever à travers cet incident, je préfère alors refuser cette promotion.» Elle n’était alors plus en colère, elle a repris l’étude de la Loi avec moi et nous avons ensemble travaillé à écrire des lettres pour sauver les gens.
Récemment nous avons lu un article sur L’hebdomadaire Minghui concernant l’achat et la mise à feu de feu d’artifices. J’ai senti que c’était notre responsabilité. Nous nous sommes dépêchées d’allumer des feux d’artifices à côté des départements locaux de police. Une nouvelle pratiquante avait peur et s’était déguisée en vieille femme, mais après avoir allumé les feux d’artifices, elle a dit que sa peur était partie en fumée!
Deux pratiquants ont été arrêtés. Nous sommes allés à côté du centre de détention pour émettre les pensées droites. Nous avons travaillé ensemble pour exposer la persécution sur Internet, fabriquer des documents exclusivement sur cet incident et les envoyer sur nos lieux de travail, domiciles, communautés, à la police, aux tribunaux, aux palais de justice et dans les centres de détention. Quand nous sommes allés au centre de détention, beaucoup de pratiquants ont émis la pensée droite. Grâce à nos efforts, ces deux pratiquants ont été relâchés en moins de dix jours.
Mais la perversité sévit toujours de part nos attachements humains. L’un de ces deux pratiquants nous a dit après avoir été relâché: «Les autorités nous ont d’abord relâchés pour trouver d’autres pratiquants.» Beaucoup de pratiquants ont pris peur et ne voulait plus voir ces pratiquants. Ils ont même cessé d’étudier la Loi avec eux. Rapidement ils ont tous deux de nouveau été arrêtés et emmenés directement en prison pour terminer leur condamnation. Cela a été une grande leçon pour nous autres. J’ai réalisé que nous sommes faibles dans la coopération en tant que corps entier, nous avons échoué à nous débarrasser de la peur et nous avons échoué à exposer la perversité à temps. En fait, nous nous cachions juste nous-mêmes.
Conclusion
C’est ainsi que j’ai changé et que je suis devenue disciple de Dafa après avoir été criminelle dans le commerce d’enfants. Les changements en moi ont été nombreux. La cultivation doit être solide. Chaque mot du Maître est un test. La réponse se trouve dans la pratique en accord avec les mots du Maître et dans l’éveil à la profondeur intérieure des significations de Dafa. Je vais avancer diligemment ensemble avec tous les autres disciples!
Heshi!
Traduit de l’anglais en Belgique