(Minghui.org)
Par Cheng Jie, un pratiquant de Chine
J’ai
soixante-dix ans. Le 20 juillet 2008, j’ai été illégalement
arrêté et emmené dans un poste de police.
Sept à huit policiers m’ont giflé. Tout mon corps
a été attaché à une chaise
en fer et ils mon giflé à plusieurs reprises. Je
les ai avertis d’arrêter en disant : “Vous allez
sentir la douleur mais pas moi !” Effectivement, je n’ai
ressenti aucune douleur, ils ont donc arrêté.
Je leur ai dit que j’étais né pour Dafa. Quand ils ont réalisé qu’ils étaient incapables de me faire renoncer à mes convictions en me battant, ils ont apporté une machine à laquelle ils ont connecté mes doigts. Ils ont allumé l’électricité pour m’électrocuter. Je me suis dit qu’il ‘y aurait aucun impact sur moi mais que c'était eux qui ressentiraient les décharges électriques. Cela m’a juste fait frissonner. Ils ont accru l’intensité quatre fois et j’ai frissonné quatre fois.
Cinq ou six policiers sont entrés, très droits et la tête haute, essayant de se montrer très intimidants. L’un d’eux a dit : “Tu as lu les Neuf commentaires sur le parti communiste .” J’ai répondu : “Y-a-t-il quelque chose dans le livre qui ne soit pas vrai ? Si oui, allez-y, prenez le livre et lisez-le. Peut-être qu'après avoir lu le livre vous apprendrez les faits au sujet du Falun Gong et vous serez sauvés.” Il a dit : “Et ces brochures?” J’ai dit: “Les brochures de clarification de la vérité apprennent aux gens comment devenir meilleur et elles parlent des principes d’Authenticité-Compassion-Tolérance. Où est le problème ? ” Il n'a plus rien eu à dire. Puis il a crié : “les pratiquants de Falun Gong ne prennent pas de médicament! ” J’ai répondu : “de vrais pratiquants n'ont pas de maladies. Si vous n'avez aucune maladie pourquoi gaspiller votre argent en achetant des médicaments? Feriez-vous cela? ” Finalement ils n’ont plus rien eu à dire.
Il était minuit passé et il ne restait qu’un seul policier. Il a mis trois chaises ensembles et s’est allongé. Il m’a dit : “Ils ont fini. Allez, vous pouvez aller dormir.” J’ai fait oui de la tête. Toutefois, je me suis dit: “Je ne vais pas dormir. Je dois quitter cet endroit et sauver les êtres.” J’ai essayé de détacher mes mains mais je n’ai pas réussi. Le Maître dit :
En tant qu’êtres humains, nous avons un corps dans une multitude d’espaces. Les plus grands composants du corps humain que nous voyons aujourd’hui sont les cellules, celles de notre corps de chair. Si vous pouviez pénétrer dans l’espace entre les cellules et les molécules, dans l’espace entre une molécule et une autre, vous éprouveriez physiquement ce que c’est que d’être dans un autre espace. Sous quelle forme ce corps-là existe-t-il? Bien sûr, vous ne pouvez pas saisir cela avec les conceptions de notre espace qui existent aujourd’hui, votre corps doit se conformer aux formes d’existence requises dans ces autres espaces. Comme le corps situé dans les autres espaces a en lui-même la capacité d’agrandir ou de réduire sa taille, à ce moment vous pourriez découvrir que ces espaces eux aussi sont incomparablement vastes. Il s’agit là d’une forme simple d’existence d’autres espaces, des espaces qui existent en même temps et au même endroit. ” ( Zhuan Falun , première leçon)
J’ai pu alors tout d’un coup bouger ma main gauche ! Les entraves étaient en acier et j’ai essayé de les séparer mais je n’ai pu faire qu’un écart d’un centimètre. J’ai demandé au Maître de m’aider. Soudain l’écart s’est élargi et mes jambes se sont libérées. Je me suis levé de la chaise en fer et j'ai demandé au Maître de ne pas laisser le policier se réveiller. J’ai quitté la salle et je suis allé dans la cour arrière. Il y avait là aussi un gardien. Toutefois, il n’y avait rien là-bas qui puisse me permettre de grimper dessus afin d’enjamber le mur qui entoure le poste de police. J’ai alors remarqué un robinet d’eau près du mur. Bien que le robinet était fait de métal, le tube était en pastique. Je me suis tenu debout sur le robinet et me suis retrouvé soudain entrain de flotter par-dessus le mur. De l‘autre côté il y avait une maison de l’autre côté du mur 1,50 mètres plus bas, ce qui vous permet d’imaginer à quelle hauteur était le mur. J’allais sauter quand j’ai remarqué un poteau que j’ai utilisé pour facilement atteindre le sol.
Une autre chose magique est arrivée qui valide également la puissance de Falun Dafa. Il y avait deux caméras de chaque côté du mur, les deux dirigées vers moi. Plus tard quand le policier est allé faire réparer sa voiture près de chez moi, il a demandé aux voisins comment j’avais réussi à quitter le poste de police. On ne me voyait pas sur la vidéo.
En plus quand j’ai quitté le poste de police il était déjà deux heures du matin. Ma fille a reçu un appel de moi. “Ne t’inquiètes pas. Je viens juste de sortir.” C’était ma voix. Réfléchissez, les policiers ont pris tout mon argent – deux cent yuans d'espèces – ainsi que mon téléphone portable. Je n’avais aucun moyen de l’appeler et il n’y avait pas non plus d'endroit avec un téléphone public ouvert. J’ai dit à ma fille : “Sais-tu qui a appelé?” Elle a dit: “Oh, c’était le Maître!”
Une lourde averse derrière moi
Un jour de juillet 2008, je suis allé en moto délivrer des brochures de clarification de la vérité à une distance de trente li (48 Km). Juste quand j’avais fini vers environ 2h30 du matin il a commencé à pleuvoir.
Je me suis rappelé d’une histoire qui s’est passé quand le Maître donnait des conférences de la ville de Dalian à celle de Jinzhou et il pleuvait. Le roi dragon a dit au Maître qu’il était supposé pleuvoir. Le Maître a dit de laisser pleuvoir derrière nous. Alors qu’ils conduisaient la pluie tombait réellement derrière eux et il n’y avait pas de pluie devant eux.
J’ai pensé à cette histoire tout en conduisant ma moto à 80km/heure. Dans mes phares je voyais qu’il pleuvait légèrement devant moi. Je ne me suis pas retourné pour regarder. Après plusieurs kilomètres en prenant un tournant, j’ai vu qu’il pleuvait à verse derrière moi.
Quelques jours plus tard, je suis allé dans une région qui était plus loin que la première où j'étais allé. Après que j’ai délivré les brochures, il s’est de nouveau mis à pleuvoir. Un pratiquant m’a dit que je devrais attendre que la pluie soit plus légère afin que les brochures ne soit pas mouillées. Je me suis dit intérieurement : “S’il te plaît, pleut légèrement.” Ensuite il a plu légèrement devant moi. Quand je suis arrivé à la maison j’ai été très surpris de constater que mes habits étaient secs et pas mouillés du tout. Le jour suivant quand j’en ai parlé avec un pratiquant il m’a dit : “Le Maître t‘a donné une couverture.”
Je pratique Falun Dafa depuis plus de dix ans et j’ai vécu de nombreuses choses magiques. J’ai voulu partagé certaines de mes expériences pour valider Dafa.
Merci Maître !
Traduit
de l'anglais en Europe