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La vérité sur les soi-disant « 1 400 cas de décès » : la mort de mon fils n'avait rien à voir avec le Falun Gong

20 avril 2012


(Minghui.org)



Cet article a été publié pour la première fois en janvier 2002 Mon nom est Xia Zurong. Mon mari et moi sommes tous deux pratiquants de Falun Dafa. Je suis la mère de Gang Long, qui s'est suicidé en se jetant dans une rivière. Son décès a été signalé par la Télévision centrale chinoise (CCTV) comme l'un de ses « 1 400 cas de décès » faussement attribués au Falun Gong. Nous vivons au 70 rue Shuangqiao dans le village de Shuangshi, dans le district de Yongchuan, de la ville de Chongqing.


En tant que parents, nous savons clairement si oui ou non notre fils avait un problème de santé mentale, et il en avait un. Au moment où il a sauté dans la rivière, il venait d'avoir un épisode psychotique, qui n'avait rien à voir avec le Falun Gong. Comme parents, nous devons dire ce qui est vrai. Nous ne pouvons pas, par rapport à nos consciences, regarder le gouvernement utiliser notre fils pour diffamer Dafa.


Après la mort de notre fils, un journaliste, surnommé Du, est venu interviewer ma belle-fille, en lui demandant de prétendre que son mari était un pratiquant de Falun Gong. Le journaliste a écrit sur une feuille de papier quelques mots calomniant le Falun Gong et lui a demandé de les lire, la contraignant à dire de mauvais mots contre Dafa. À ce moment-là, ma belle-fille a cédé sous la pression et elle a fait ce qu'il lui disait de faire. Le lendemain, on lui a donné 200 yuans RMB en espèces. Ceux qui font le mal ont souvent recours à l'argent pour acheter la conscience et manipuler quelqu'un pour faire du mal. Mon petit-fils (l'enfant de mon fils décédé) a même appris à calomnier Dafa. C'est ainsi que les « nouvelles » à la télévision ont été faites.


Afin d'aider les gens ordinaires à ne pas être trompés en se retournant contre Dafa, nous avons révélé la vérité aux fonctionnaires du gouvernement : la mort de notre fils n'a pas été causée par la pratique du Falun Gong, mais c'est le résultat de sa maladie mentale.


Le 13 janvier 2000, je suis montée dans un train pour Pékin, prête à faire appel au gouvernement et leur dire la vérité sur la mort de mon fils. Parce que je lisais un livre de Falun Dafa dans le train, j'ai été placée en détention par un policier et escortée vers un poste de police dans la ville de Xichang. Plus tard, j'ai été transférée au centre de détention de Xichang et tout mon argent (3 600 yuan) a été confisqué. Le 18 janvier, un officier de police du village de Shuangshi me conduisit au poste de police, et le lendemain j'ai été envoyée à un centre de détention, où j'ai été détenue pendant 31 jours. Puis j'ai été transférée au poste de police de Jishan dans le district de Yongchuan, où j'ai été détenue pendant 3 jours. Après cela, j'ai été enfermée dans le centre de détention pour toxicomanes pendant 10 jours. Enfin, j'ai été transférée dans un camp de travaux forcés pour femmes de la ville de Chongqing, où j'ai été détenue pendant environ un an. J'ai continué à pratiquer le Falun Gong alors que j'étais dans le camp de travail, et j'ai donc été amenée à voir Li, la directrice du camp. Je lui ai dit : « Ne dites pas que le Falun Gong est mauvais, et ne croyez pas aux mensonges de la station de TV. La mort de mon fils n'a rien à voir avec Dafa. C'est sa psychose qui l'a fait sauter dans la rivière. Ce que je dis est la vérité ». Après cela, Li a ordonné à la policière Huang Yan de me mettre les menottes pendant neuf jours.


À de nombreuses reprises, des représentants du gouvernement du village Shuangshi sont allés voir mon ex-belle-fille, qui est remariée depuis. Ils l'ont menacée verbalement et lui ont demandé de coopérer avec eux en signalant mes allées et venues ; sinon, ils disent qu'ils vont fermer son entreprise.



Traduit de l'anglais au Canada