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Plusieurs histoires de pratiquants âgés validant le Fa par leurs actions

24 mai 2012 |   Écrit par Qianwu de Chine

(Minghui.org)

Les histoires qui suivent portent sur des compagnons de pratique âgés autour de moi.

I. Un sac de riz

La fille cadette du pratiquant B âgé et sa cousine sont allées rendre visite à leurs grands-parents. Sur le chemin du retour, elles ont vu un sac de riz sur la route. Elles avaient à peine huit ou neuf ans à l'époque et ont dû faire un certain effort pour ramasser le sac et le mettre sur leur vélo, et puis elles se sont relayées pour pousser le vélo. Elles étaient toutes les deux fatiguées et en sueur quand elles sont rentrées chez elles et ont raconté l'incident avec joie au pratiquant B. Le pratiquant B leur a dit : « Nous ne pouvons pas garder ce riz et nous avons besoin de savoir qui l'a perdu. » Les enfants étaient très malheureuses. À l'époque ils étaient très pauvres et ne pouvaient pas se permettre d'avoir toujours du riz. Le compagnon de pratique B a patiemment expliqué aux enfants, « Nous sommes des pratiquants de Falun Gong et le Maître nous a appris à penser d'abord aux autres. Alors, pensez à ceci : ne pensez-vous pas que la personne qui l'a perdu ne soit très inquiète ? Nous devons écouter le Maître. » Les enfants ont compris et ont accepté. Mais comment pouvaient-ils savoir qui l'avait perdu ? En fin de compte, ils sont allés parler au directeur de l'école, qui a écrit un avis pour eux : « Objets trouvés » Peu de temps après avoir affiché l'avis, le propriétaire est venu et a été très touché et les a remerciés encore et encore. Le compagnon de pratique B lui a dit, « Nous sommes des pratiquants de Falun Gong et c'est ce que notre Maître nous a enseigné à faire. Vous pouvez le remercier pour cela. »

II. Un lopin de terre


La compagne de pratique âgée C avait un lopin de terre. Après que son mari soit décédé, son voisin s'en ait saisi comme le sien. La belle-fille de compagne de pratique C après avoir appris la nouvelle est allée parler au voisin, mais le voisin a insisté que cela lui appartenait. La belle-fille est revenue et a demandé à C, « À qui appartient le terrain en fait ? » La pratiquante C a répondu : « Ne vous embêtez pas avec ça. Laissez-le-lui ! » Juste comme ça avec un sourire sur son visage, elle a laissé le terrain au voisin.
Par la suite, elle a dit, « C'est parce que je pratique le Falun Gong, je peux subir des pertes, en sachant exactement ce qui se pass, et mon cœur n'est pas ému du tout. Sinon, je ne serais pas capable de faire cela. »

III. Retourner la monnaie


Le pratiquant âgé D est allé à une petite boutique pour acheter des bonbons avec les enfants. Le propriétaire de la boutique jouait au mahjong à l'époque, alors il a rendu la monnaie en toute hâte car il voulait retourner à la table de jeu. Le compagne de pratique D regarda la monnaie retournée et vit que cela était incorrect. Ils avaient acheté deux sacs de bonbons, mais le propriétaire n'a chargé que pour un seul sac. D dit au propriétaire, « Vous m'avez remis le mauvais change. » Le propriétaire a été très contrarié, car il ne voulait être dérangé en jouant au mahjong, et il pensait qu'il les avait floués. En colère, il dit : « Quel est le problème ? » D lui a calmement expliqué , « Vous nous avez donné de la monnaie en trop. »
Plus tard, le pratiquant Dl a révélé au propriétaire que c'est grâce au Falun Gong qu'il peut faire ce genre de choses. Suite à cela le propriétaire admire beaucoup les pratiquants de Falun Gong.

IV. Le plant de citrouille du voisin a produit des citrouilles dans la cour du pratiquant


La voisine de pratiquant D est âgée de plus de 70 ans. Pour les 15 ou 16 dernières années, chaque année les plants de citrouille de la dame croissaient de plus bel et jusque dans la cour du pratiquant D. Chaque fois que sa belle-fille lui rendait visite, elle suggérait qu'ils relancent les plants de citrouille dans la cour du voisin. Mais D a dit : « Elle a plus de 70 ans et vit seule. C'est tout à fait difficile pour elle. Si nous jetons les plants de citrouilles de l'autre côté, probablement que les citrouilles ne pousseront pas. Disons, que nous les gardons tout simplement ici. »

L'année dernière, les plants de citrouille se sont répandus sur les 2/3 de la cour. Le pratiquant D a demandé au voisin de lever le plant de citrouille au-dessus du poulailler afin qu'il ne soit pas à court d'espace pour grimper. À l'automne, il y avait sept ou huit gros potirons qui ont fini dans la cour de D et D les a tous retournés à la voisine. La voisine a été très touchée.

Traduit de l’anglais au Canada